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1 - PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE

  • 1.1 - Contexte de microfilière, « de la fourche à la fourchette »
  • 1.2 - Clients concernés (magasins, collectivités, grossistes)
  • 1.3 - Outils mis en place

2 - HISTORIQUE DE LA MISE EN PLACE DU SYSTÈME DE TRAÇABILITÉ

3 - DISPOSITIFS ACTUELS DE TRAÇABILITÉ

4 - CONCLUSION : SE POSER LES BONNES QUESTIONS

Article de référence | Réf : F1164 v1

Historique de la mise en place du système de traçabilité
Mise en place de la traçabilité dans une microfilière viande

Auteur(s) : Daniel LASAYGUES

Date de publication : 10 sept. 2005

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RÉSUMÉ

Le secteur agroalimentaire, et particulièrement la filière viande, n’échappe pas aux évolutions règlementaires et à l’obligation de mettre en place un système permettant une traçabilité sans faille. Il existe de nombreux systèmes de suivi  des produits agroalimentaires, encore faut-il retenir  le plus adapté. L’exemple d’une entreprise est prise afin d’illustrer concrètement, et le plus pertinemment possible, la problématique de la mise en œuvre d’un système d’information dans le contexte de microfilière.

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Auteur(s)

  • Daniel LASAYGUES : Ingénieur de l’École nationale supérieure d’agronomie ENSA Montpellier, - Directeur Général Délégué - Recapé SA

INTRODUCTION

Les évolutions réglementaires récentes en terme de traçabilité nous rappellent que cette préoccupation, aujourd’hui largement généralisée, est particulièrement stratégique pour le secteur agroalimentaire et en particulier la filière viande.

Divers systèmes existent pour assurer le suivi des produits agroalimentaires, du plus simple au plus complexe. La plus grande difficulté réside dans le choix du concept le mieux adapté, qui permettra, effectivement, sur le terrain, de structurer le système d’information.

Après avoir succinctement présenté l’entreprise, ainsi que l’historique de la mise en place du système de traçabilité au sein de cette société, cet article listera les principales questions à se poser afin de choisir un système d’information pertinent.

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-f1164


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2. Historique de la mise en place du système de traçabilité

Dès 1995, Recapé SA s’est engagé dans une démarche de modernisation des outils de production, de mise en place de système qualité.

2.1 Mise en place du système HACCP

La direction de Recapé SA décide, dès 1994, de se lancer dans une démarche de type HACCP Hazard Analysis Critical Control Points pour son atelier de production.

Elle démarre alors cette étude avec l’aide d’un cabinet conseil spécialisé en agroalimentaire ; un premier audit est réalisé faisant apparaître deux éléments principaux : un attachement de l’ensemble des personnels à la qualité des produits (conforté par un niveau élevé de savoir-faire) mais une limite rédhibitoire : la configuration des locaux existants.

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2.2 Remise aux normes de locaux

Afin de lever cette contrainte structurelle, et pour maintenir l’équilibre entre la capacité de production et les outils de commercialisation, la décision de reconcevoir et d’agrandir l’atelier de transformation s’impose.

En parallèle à la démarche HACCP, un projet de remodeling est débuté avec un architecte spécialisé dans le secteur agroalimentaire.

Pour synchroniser l’ensemble de ces démarches et en assurer l’animation en interne, un ingénieur « agro » est alors recruté.

En 1997, l’aménagement dans les nouveaux locaux sera le point de départ de l’application de nouvelles méthodes de travail, expérimentées au préalable sur les anciens locaux (exemple : suivi de production, enregistrements de températures, contrôles en cours de production...).

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2.3 Système d’acquisition des données par code-barres

L’avancement des différentes démarches de remodeling et de mise en place de l’HACCP fait apparaître la nécessité de pouvoir acquérir sur le terrain des données en cours de production (quantités mises en œuvre, quantités de produits finis obtenus...).

La tenue manuelle de fiches papier pour assurer les contrôles HACCP trouve alors ses limites, inhérentes...

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BIBLIOGRAPHIE

  • (1) -   *  -  Cahier des charges interbev VBF, 17 février 1997.

  • (2) - FISCHLER -   Manger magique, aliments sorciers, croyances comestibles,  -  collection autrement, série mutation/mangeurs, no 149, novembre 1994, 200 pages.

  • (3) - HADIDA (H.) -   Pow-wow : Chez Recapé, produits du terroir et technologies s’associent pour ajouter la sécurité à la gastronomie.  -  Scanismes No 22, mars 1999.

  • (4) - BENEDINI (J.L.) -   Qualiboo : La traçabilité dans les ateliers agro-alimentaires.  -  Entreprises Midi-Pyrénées, page 32, mars 2002.

  • (5) -   Quand le boucher regarde Claire Chazal.  -  Revue Agrobiosciences, mission animation des agro-biosciences, INRA Toulouse, page 8, juin 2001.

  • (6) - MOREL (F.) -   Le 3e âge de la traçabilité  -  ....

1 Organismes

EAN : European Article Numbering

UCC : Uniform Code Council

GENCOD : Groupe d’étude et de normalisation codification (GS1 France)

DGAI : Direction générale de l’alimentation (ministère de l’agriculture et de la pêche)

INTERBEV : Interprofession du bétail et des viandes

CIV : Centre d’information des viandes

ADIV : Association pour le développement des industries de la viande

CTV : Centre technique de la viande

ARIA Midi-Pyrénées : Association régionale des industries alimentaires

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2 Constructeurs • Fournisseurs • Distributeurs

Challenge Technologie

IER

INTERSCAN SYSTEM

GENCOD

...

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