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1 - INTRODUCTION À L’ÉLASTOPLASTICITÉ

2 - PRISE EN COMPTE DE L’ÉCROUISSAGE

3 - ANISOTROPIE PLASTIQUE

4 - COMPORTEMENTS PLASTIQUES SENSIBLES À LA PRESSION HYDROSTATIQUE

Article de référence | Réf : M3004 v1

Prise en compte de l’écrouissage
Plasticité en mise en forme - Métaux à froid

Auteur(s) : Eric FELDER

Relu et validé le 11 avr. 2017

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RÉSUMÉ

Après mise en forme, un alliage métallurgique est rarement isotrope, puisqu’il subit des sollicitations mécaniques et thermiques qui, très souvent, sont orientées dans la même direction par rapport à la matière. Cet article traite du cas du comportement des métaux à froid. L’ensemble des caractéristiques est passé en revue, élasticité, écrouissage, anisotropie plastique et sensibilité à la pression hydrostatique, soit dans les phases d’endommagement des produits massifs, soit pour les produits issus de la métallurgie des poudres. Sont présentés pour chaque propriété divers exemples relatifs au cas des métaux en feuilles, pour lesquels ces notions sont particulièrement importantes et utilisées.

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Auteur(s)

  • Eric FELDER : Ingénieur civil des Mines de Paris, Docteur ès Sciences - Maître de recherches au Centre de mise en forme des matériaux (CEMEF) - École des Mines de Paris, CNRS de Sophia-Antipolis

INTRODUCTION

L’objectif de cette partie est de tenir compte de manière plus réaliste du comportement des métaux à froid décrits dans le dossier  : élasticité, écrouissage, anisotropie plastique et sensibilité à la pression hydrostatique, soit dans les phases d’endommagement des produits massifs, soit pour les produits issus de la métallurgie des poudres.

Par rapport au dossier , nous abandonnerons donc l’hypothèse E∞ et les hypothèses du paragraphe 1 (sauf le principe du travail maximal), mais de manière séparée. Nous ne discuterons pas en détail les modèles les plus élaborés combinant tous ces aspects qui, en pratique, sont plus ou moins liés : par exemple, l’anisotropie du matériau implique, a priori, anisotropie élastique et plastique.

Cette partie est illustrée par divers exemples relatifs au cas des métaux en feuilles, domaine où ces notions sont particulièrement importantes et utilisées.

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-m3004


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2. Prise en compte de l’écrouissage

L’écrouissage du matériau est induit par la multiplication dans le matériau des dislocations engendrées par le champ de contrainte pour accommoder la déformation plastique et qui modifient la frontière d’écoulement, c’est-à-dire les états de contrainte permettant de poursuivre la déformation plastique.

En traction, cela conduit au moins, dans un premier temps, à une élévation de la contrainte d’écoulement plastique. Nous allons préciser les deux grandes classes de modèles utilisés pour décrire cette évolution et généraliser la relation (25) du dossier [42] relative à une histoire de déformation très particulière, la « traction ».

2.1 Écrouissage isotrope

L’état d’écrouissage du matériau n’évoluant que du fait de sa déformation plastique, on généralise naturellement la définition de la vitesse de déformation généralisée (25) du dossier [16], en l’affectant à la composante plastique des vitesses de déformation, et on définit ensuite la déformation généralisée comme son intégrale, tout au long de l’histoire de l’élément de matière entre l’instant initial (u = 0) et l’instant courant u = t :

ε ¯ · = ( 2 3 ε · ij p ε · ij p ) 1/2
et
...

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