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Article

1 - APPELLATIONS COURANTES

2 - THÉORÈMES DE G. MICHEL

3 - CONSIDÉRATIONS SUR LA COTATION FONCTIONNELLE

4 - TRANSFERTS DE COTES

5 - AUTRES NOTIONS

6 - CONCLUSION

Article de référence | Réf : BM7020 v1

Conclusion
Cotation fonctionnelle

Auteur(s) : François VILLARS

Date de publication : 10 avr. 1999

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Auteur(s)

  • François VILLARS : Ingénieur diplômé de l’École centrale de Lyon - Responsable calcul boîtes de vitesses chez PSA Peugeot-Citroën

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INTRODUCTION

La cotation fonctionnelle est basée sur l’étude approfondie et exhaustive des conditions d’aptitude à l’emploi du produit, dont elle permet de définir les dimensions des éléments fonctionnels et leur position relative, par une cotation ni insuffisante, ni surabondante.

Pour travailler correctement, il faut d’abord faire une étude fonctionnelle de l’ensemble étudié à l’aide des méthodes appropriées (analyse fonctionnelle…). Cela permettra de définir les fonctions réelles à satisfaire et facilitera la constitution d’une liste de « chaînes de cotes » à vérifier.

Il faut se rappeler également que la « cotation fonctionnelle » doit être prise au sens large c’est-à-dire que, en plus des cotes et tolérances, elle englobe toutes les autres spécifications pourvu qu’elles soient fonctionnelles parce que conditionnant l’aptitude à l’emploi (tolérancement géométrique, matériau, caractéristiques mécaniques, chimiques, états de surface, etc.) et même celles conditionnant la vendabilité : fiabilité, aspect, sécurité (pas d’arêtes coupantes).

Toutefois, il ne faut pas être trop puriste car à vouloir rester fonctionnel, on risque fort d’oublier des conditions qui sont implicitement contenues dans la prescription méthode : tenue à la température qui peut exclure certaines matières plastiques, tenue à la corrosion (acier, magnésium) ou à l’huile (pour les embrayage et synchroniseur de boîte de vitesses).

Le but de cet article est de faire progresser la compréhension de la notion du fonctionnel dans la cotation des dessins techniques émis par les bureaux d’étude, surtout des dessins de détails, dits dessins de définition (du produit fini).

Nota :

Dans cet article toutes les cotes sont en millimètres et, dans ce domaine, il est d’usage pour ne pas alourdir l’écriture d’indiquer les valeurs sans unités.

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-bm7020


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6. Conclusion

La cotation fonctionnelle permet les plus larges tolérances possibles. C’est donc elle qu’il faut appliquer sur le dessin de définition pour donner à coup sûr aux méthodes les plus larges possibilités de transfert lorsqu’elles le jugent avantageux, en particulier dans la commande numérique des machines-outils.

Dans la fabrication en série, il faut abandonner l’ancien principe : toutes les pièces sont bonnes et situées de façon quelconque dans l’intervalle de tolérance.

La nouvelle voie suppose que les méthodes, la fabrication et le contrôle connaissent leur « capabilité » (coefficients Cp et Cpk ) et que l’intervalle de tolérance fixé par les études est respecté avec une certaine probabilité (6 σ en général soit 2,7 de pièces « hors tolérances »).

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BIBLIOGRAPHIE

  • (1) -   *  -  Norme NF E 04-550 (mars 1983). Dessins techniques. Cotation et tolérancement fonctionnels.

  • (2) -   *  -  Norme NF E 04-551 (déc. 1995). Dessins techniques. Tolérancement de dimensions linéaires et angulaires (NF ISO 406).

  • (3) -   *  -  NF E 04-552 (nov. 1983). Dessins techniques. Tolérancement géométrique. Généralités, définitions, symboles, indications sur les dessins.

  • (4) -   *  -  NF E 04-553. Dessins techniques. Cotation et tolérancement. Tolérancement géométrique. Exploitation des normes NF E 04-552 et NF E 04-554.

  • (5) -   *  -  Notice du logiciel Mechanical Advantage de la société Cognition.

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