Article de référence | Réf : TBA2200

Troisième famille : les enduits intérieurs
Les peintures et produits connexes

Pour explorer cet article
Télécharger l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !

Sommaire

Présentation

INTRODUCTION

Depuis plusieurs décennies maintenant, les peintures, enduits et vernis n’ont plus comme seule fonction la décoration. Ces produits doivent posséder des qualités plus étendues : imperméabilisantes, isolantes, antifongiques, hydrofuges, suivant la nature et l’exposition du support. Ainsi, aux constituants de base, que sont les liants, pigments et solvants, s’ajoutent de multiples éléments visant à lui conférer des caractéristiques spécifiques lors de son stockage, son application, son séchage et son vieillissement. La classification sépare les peintures en cinq familles, classées suivant la résine principale qui les constitue ; eau, alkyde, vinylique, copolymère…la liste est longue. Pour chacune d’entre elles, l’article présente propriétés, formulations, applications et usages. Les peintures englobent également les produits bitumeux naturels ou issus du pétrole, qui sont davantage utilisés dans le bâtiment. L’ensemble des peintures et produits connexes possède une terminologie adaptée à leur fabrication, mise en œuvre, et caractéristiques, et tout un vocabulaire nécessaire à leur définition et à leur qualification.

La préparation du support est d’autant plus primordiale que les fonctions attendues sont davantage protectrices que décoratives. La mise en peinture du bois nécessite ponçage, surfaçage et sous-couche, notamment en extérieur, où il faut assurer la protection contre les intempéries. Vernis polyuréthane, produits d’imprégnation, résines de synthèse, sont nombreux sur le marché, il n’est pas forcément aisé de les distinguer. Pour les supports de plâtre, le principal paramètre impactant l’adhérence est l’humidité résiduelle. Quant aux ciments, les modalités d’application sont fortement liées à la finition recherchée.

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 93% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-tba2200


Cet article fait partie de l’offre

Techniques du bâtiment : le second oeuvre et les lots techniques

(90 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

ABONNEZ-VOUS

Plan de la page

I - Classe 1 : enduits en phase solvant

Enduits gras traditionnels

Constitués de charges fines et de 10 % d’huile de lin, ils étaient autrefois fabriqués par le peintre sur le chantier à partir de blanc broyé. Il était alors possible de régler la qualité de son enduit en fonction de la nature du support. De nos jours, l’enduit gras est livré tout préparé. Il est vrai qu’il est de moins en moins employé en raison de la qualité médiocre des supports et du coût de l’enduisage.

Une seule passe d’enduit est dite « enduit simple ». Deux passes d’enduit sont dites « enduit repassé ». Le ponçage à l’abrasif à l’eau qui suit l’enduisage est long et délicat.

Enduit maigre

Lorsque le peintre désirait appliquer une plus forte épaisseur, il augmentait la quantité de charges (craie) et son enduit devenait un enduit maigre. Il se conservait mal et, de ce fait, a été avantageusement remplacé par un enduit à l’eau ou à base d’une résine en dispersion.

Enduit à réviser

Entre l’enduit gras et l’enduit maigre se situe un enduit « à réviser ». Enduit gras et enduit « à réviser » sont préparés par le fabricant.

II - Classe 2 : enduits en phase aqueuse

Les enduits à colle

Appelés enduits à l’eau ou à mouiller, ils se présentent en poudre et contiennent une colle en poudre mélangée à des charges fines et des produits de conservation. Ils s’additionnent d’un tiers d’eau qui fait gonfler la colle et donne au produit une consistance idéale pour le lissage à la lame. Ces enduits n’ont qu’un faible retrait. Malgré tout, employés en charges épaisses, ils devront être additionnés de plâtre à modeler pour un durcissement rapide en profondeur.

Quand ces enduits en poudre doivent avoir d’autres qualités d’adhérence ou de collage, on leur ajoute des dispersions acryliques sèches qui retrouvent leur phase...

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 94% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

Cet article fait partie de l’offre

Techniques du bâtiment : le second oeuvre et les lots techniques

(90 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

ABONNEZ-VOUS

Lecture en cours
Troisième famille : les enduits intérieurs
Sommaire
Sommaire

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 92% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

Cet article fait partie de l’offre

Techniques du bâtiment : le second oeuvre et les lots techniques

(90 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

ABONNEZ-VOUS