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Article

1 - TRAÇABILITÉ : DÉFINITION

2 - EXIGENCES LÉGALES ET NORMATIVES : LA NORME ISO 9001:2000

3 - BESOINS

  • 3.1 - Une étape essentielle : l’identification des besoins
  • 3.2 - Réglementation
  • 3.3 - Risques
  • 3.4 - Exigences des clients
  • 3.5 - Besoins internes

4 - MISE EN ŒUVRE DE LA TRAÇABILITÉ

5 - DIFFÉRENTS MODES DE TRAÇABILITÉ SELON LES ACTIVITÉS

  • 5.1 - Systèmes informatiques
  • 5.2 - Autres services et départements de l’entreprise

6 - CONCLUSION

| Réf : TR430 v1

Mise en œuvre de la traçabilité
Traçabilité et norme ISO 9001:2000 - Objectifs, moyens et méthodes

Auteur(s) : Christian DOUCET

Date de publication : 10 nov. 2006

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RÉSUMÉ

La traçabilité fait partie des exigences établies dans la norme ISO 9001: 2000. Elle s’y trouve pourtant souvent un peu malmenée. Cet article rappelle sa fonction essentielle, puis déroule les étapes à franchir pour aboutir à un système de traçabilité efficace et pertinent dans le contexte spécifique de la norme ISO 9001. L’analyse et la définition des besoins doit notamment prendre en compte la gestion des risques et les exigences réglementaires de la norme ISO 9001.

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ABSTRACT

 

Auteur(s)

INTRODUCTION

Lors de la mise en œuvre de la norme ISO 9001:2000, la traçabilité est parfois considérée comme une exigence mineure, quand elle n’est pas tout simplement négligée. Pourtant, elle joue souvent un rôle fonctionnel essentiel quand ce n’est pas vital, notamment pour gérer et prévenir les risques majeurs (pensons aux épizooties, retours de séries pour malfaçons, procès suite à accidents... récents).

L’entreprise ou l’Administration ont donc tout intérêt à profiter de la certification pour dresser un bilan de leur traçabilité interne avec, pour objectif, d’améliorer à la fois leur prévention des risques, leur compétence technique et leur gestion interne, tout en faisant la chasse aux lourdeurs formelles inutiles.

Ce dossier en jette les bases, en montrant comment utiliser au mieux les exigences de la norme ISO 9001:2000.

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VERSIONS

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-tr430


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4. Mise en œuvre de la traçabilité

4.1 Problématique générale

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4.1.1 Principes

La traçabilité repose sur deux piliers :

  • l’identification des produits, tout au long de la chaîne, depuis les pièces et matières de base jusqu’à la distribution, voire à l’utilisation et à l’après-vente (quelquefois au démantèlement des produits en fin de vie).

  • Chaque item est identifié de deux façons :

    • • une référence « fabricant », qui identifie son type et qui doit évoluer lorsque sa définition évolue,

    • • un numéro de série ou de lot, qui identifie l’exemplaire concerné ;

  • les données associées (concrétisées par des documents, des marquages, des saisies informatiques... ), qui ont aussi deux états :

    • • les références : par exemple spécifications, plans, gammes, procédures..., qui caractérisent « ce qui doit être » pour la version considérée du produit,

    • • les données réelles, basées sur des mesures et des constats sur les exemplaires réalisés (PV de contrôle, relevés d’écarts ou de non-conformité, cahiers de poste, bordereau de livraison...). Dans la terminologie de la norme, ce sont les enregistrements.

Ces données se présentent sous la forme de documents ou, de plus en plus fréquemment, de données informatiques ou analogues [étiquettes intelligentes RFID (Radio Frequency Identification) code à barres...].

Cela donne lieu à un ensemble de correspondances qui doivent être rigoureuses :

  • la version du produit est identifiée par sa référence fabricant, qui renvoie aux documents de définition, de fabrication et d’utilisation de référence ;

  • chaque exemplaire a un numéro individuel ou de série, qui complète la référence fabricant et renvoie aux enregistrements qui eux, indiquent les caractéristiques précises de cet exemplaire ;

  • les enregistrements se référent aux documents de référence....

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BIBLIOGRAPHIE

  • (1) - DOUCET (C.) -   Que sais-je « La qualité »  -  . PUF (2005).

  • (2) - DOUCET (C.) -   Certification qualité utile, remettre la qualité au service du développement de l’entreprise  -  . INSEP Éditions (2003).

  • (3) - DOUCET (C.) -   La certification qualité d’entreprise  -  . La Documentation Française (1987).

  • (4) - DOUCET (C.) -   La maîtrise de la qualité  -  . Éditions EME (1986).

  • (5) - DOUCET (C.) -   La construction de la qualité des matériels et systèmes complexes  -  . Les éditions de l’ENSTA (1983).

NORMES

  • Systèmes de management de la qualité – Exigences Norme française identique : NF EN ISO 9001 - ISO 9001:2000 - déc. 2000

  • Systèmes de management environnemental – Exigences et lignes directrices pour son utilisation Norme française identique : NF EN ISO 14001 - ISO 14001:2004 - nov. 2004

  • Plans d’échantillonnage progressif pour le contrôle par mesures des pourcentages de non-conformes (écart-type connu). Norme française identique : NF ISO 8423 - ISO 8423-1991 - nov. 1991

  • Occupational health and safety managements systems. Guide Identique à BS OHSAS 18001 2002 - BS 8800 : - 2004

1 Quelques conseils pour la documentation qualité

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1.1 1. Trois principes

  • Principe no 1 : le document doit être conçu comme un « outil » : l’objectif est de permettre à son utilisateur d’effectuer les travaux prévus sans erreur et dans le minimum de temps

    Pourquoi ? : c’est l’utilité et l’adaptation à son usage d’un document qui compte, et non par exemple sa simplicité : un document épais, mais utile et bien conçu, sera apprécié ; une simple feuille mais inutile sera considérée comme superflue.

    Pourquoi ? : un document couramment utilisé sera tenu à jour, un document non utilisé ne le sera pas.

  • Principe no 2 : la méthode d’évolution doit être simple et rapide

    Pourquoi ? : si la procédure d’évolution est trop lourde, les documents ne seront pas tenus à jour.

    Pourquoi ? : un document non à jour est pire que l’absence de document.

  • Principe no 3 : sauf consignes critiques, l’utilisateur doit rester tenu par une obligation de résultats et non de conformité aux méthodes et procédures

    Pourquoi ? : un document ne peut pas représenter la complexité des situations concrètes : cas particuliers, incidents... L’utilisateur du document doit...

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