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Auteur(s)
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Philippe POUPEAU
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- Version courante de déc. 1999 par Jean HERTZ
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5. Alliages binaires contenant Au
5.1 Au-Cu (or-cuivre – figure 26)
Le liquidus et le solidus sont connus avec précision, sauf vers le minimum où les résultats diffèrent de 20 ˚C environ.
La solubilité mutuelle à l’état solide du cuivre et de l’or est illimitée ; il y a une faible déviation positive à la loi de Végard (cf. ).
Il existe des phases ordonnées à basse température. Le diagramme or-cuivre est devenu l’exemple le plus courant de systèmes présentant des transformations ordre-désordre ; il existe un très grand nombre de données. Le passage de CuAu I à CuAu II s’effectue par une transformation martensitique. On a découvert récemment une phase Cu3Au II (analogue à CuAu II) qui ne figure pas sur le diagramme ; les limites du domaine d’existence de cette phase sont encore mal connues, mais elles sont très proches de celles du domaine de Cu3Au I.
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Structures des phases
(Cu, Au) :c. f. c.
Cu3Au I :c. ordonnée
Cu3Au II :orth. ordonnée (analogue à CuAu II)
CuAu I :t. ordonnée
CuAu II :orth. ordonnée
CuAu3 :c. ? ordonnée
5.2 Au-Hg (or-mercure – figure 27)
Le liquidus est connu avec une extrême précision dans la région riche en mercure (on a proposé à 20 ˚C la valeur de 0,130 6 atome % d’or I), mais il est mal déterminé entre 280 ˚C et 400 ˚C. Seule la phase Au3Hg est bien connue, alors qu’il y a une très grande divergence dans l’interprétation des structures et sur l’existence des autres phases intermédiaires (amalgames). Ces difficultés de détermination proviennent probablement de la volatilisation du mercure.
La limite de solubilité à l’état solide du mercure dans l’or est connue à ± 1 % en masse près seulement, malgré des études précises récentes.
Le diagramme proposé n’est pas très sûr, mais c’est actuellement le plus probable.
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