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1 - MÉTHODES TRADITIONNELLES

2 - MÉTHODES RAPIDES

  • 2.1 - Tests biochimiques miniaturisés
  • 2.2 - Tests physico-chimiques
  • 2.3 - Méthodes immunologiques
  • 2.4 - Méthodes génétiques

3 - LIMITES DES MÉTHODES RAPIDES DE MICROBIOLOGIE ALIMENTAIRE

4 - CONCLUSION

Article de référence | Réf : F1130 v1

Conclusion
Méthodes de détection rapide en microbiologie alimentaire

Auteur(s) : Christine VERNOZY-ROZAND

Date de publication : 10 sept. 1999

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Auteur(s)

  • Christine VERNOZY-ROZAND : Thèse de doctorat de 3 cycle (Ph. D), Habilitation à diriger des recherches (HDR) - Maître de conférences à l’École nationale vétérinaire de Lyon

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INTRODUCTION

Les toxi-infections alimentaires affectent plus de dix mille personnes en France chaque année sur lesquelles nous n’enregistrons heureusement que quelques décès à l’opposé des États-Unis où les décès annuels dus aux intoxications alimentaires se comptent par centaines. Les bactéries pathogènes le plus souvent citées sont les salmonelles (plus de 50 % des cas), Staphylococcus aureus et Clostridium perfringens. Il faut également noter l’émergence de nouveaux pathogènes comme Yersinia enterocolitica, Listeria monocytogenes, E. coli O157 : H7, Aeromonas spp, Plesiomonas spp. Les changements de mode de vie (prise de nombreux repas à l’extérieur du domicile familial) expliquent la recrudescence des accidents alimentaires collectifs. Les industriels agroalimentaires ont besoin de méthodes rapides pour apprécier la qualité hygiénique des denrées produites et pouvoir maîtriser efficacement leurs procédés de fabrication. Ils veulent disposer de méthodes d’analyse leur permettant de commercialiser leurs produits sans attendre 4 à 5 jours comme c’est le cas actuellement avec les méthodes microbiologiques traditionnelles d’isolement et d’identification. Les méthodes de détection rapide sont également importantes pour vérifier la qualité microbiologique des matières premières entrant dans la composition d’un produit.

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-f1130


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4. Conclusion

Les méthodes d’analyses rapides en microbiologie alimentaire sont de plus en plus fréquemment utilisées, mais les scientifiques doivent être conscients de leurs avantages mais aussi de leurs limites. Malgré la nécessaire phase d’enrichissement, la durée totale de l’analyse alimentaire est souvent réduite de 1 à 2 jours par rapport aux méthodes traditionnelles. L’avantage évident de ces tests est donc la rapidité. Cependant, l’extrême variété des technologies utilisées dans ces méthodes rapides nécessitent une réelle formation des personnels et une réelle adéquation avec les besoins du laboratoire d’analyses.

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BIBLIOGRAPHIE

  • (1) - ANDREWS (W.H.), 1991 -   General referee reports : food microbiology.  -  (non dairy). J. Assoc. Off. Anal. Chem. 74 : 158-62.

  • (2) - BOURGEOIS (C.M.), LEVEAU (J.-Y.), 1991 -   Techniques d’analyse et de contrôle dans les industries agroalimentaires.  -  Volume 3. Le contrôle microbiologique. Collection Sciences et Techniques Agroalimentaires. Éd. Lavoisier-Tec. § doc., Paris.

  • (3) - CLARK (J.A.), 1980 -   *  -  The influence of increasing numbers of non-indicator organisms upon the detection of indicator organisms by the membrane filter and presence-absence tests. Can. J. Microbiol. 26 : 827-32.

  • (4) - DUPONT (H.L.), LEVINE (M.M.), HORNICK (R.B.), FORMAL (S.B.), 1989 -   Inoculum size in shigellosis and implication for expected mode of transmission.  -  J. Infect. Dis. 159 : 1126-28.

  • (5) - DZIEZAK (J.D.), 1987 -   Rapid methods for microbiological analysis of foods.  -  Food Technol. 41 : 56-73.

  • ...

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