Présentation

Article

1 - INTRODUCTION

2 - POURQUOI FAIRE PETIT ?

3 - STABILITÉ

4 - PROPRIÉTÉS OPTIQUES

5 - FABRICATION DES COLLOÏDES

6 - QUEL AVENIR POUR LES COLLOÏDES ?

Article de référence | Réf : NM3200 v1

Introduction
Colloïdes et nanosciences

Auteur(s) : Jean-Marc DI MEGLIO

Date de publication : 10 sept. 2007

Pour explorer cet article
Télécharger l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !

Sommaire

Présentation

RÉSUMÉ

Le terme de nanoparticule est associé autant aux particules de taille nanométrique, comme le nom l’indique, qu’aux particules dont la taille est égale jusqu’à parfois des centaines de nanomètres. Les nanoparticules sont ainsi des colloïdes de petite taille. Elles possèdent des paramètres d'échelle, de structure et de stabilité (électrostatique et stérique)qui leur sont bien spéficiques . De même, leurs propriétés optiques comme la diffusion de la lumière ou encore les matériaux à bandes interdites sont étonnantes, jusqu'à leur procédé de fabrication.

Lire cet article issu d'une ressource documentaire complète, actualisée et validée par des comités scientifiques.

Lire l’article

Auteur(s)

  • Jean-Marc DI MEGLIO

INTRODUCTION

Les nanoparticules devraient, comme leur nom le suggérerait, être des particules de taille nanométrique. Bien souvent, et peut-être par effet de l'engouement actuel pour les nanotechnologies, on appelle aussi nanoparticules des particules dont la taille est égale à des dizaines, voire des centaines de nanomètres. Les nanoparticules sont des colloïdes de petite taille.

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 95% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-nm3200

CET ARTICLE SE TROUVE ÉGALEMENT DANS :

Accueil Ressources documentaires Innovation Nanosciences et nanotechnologies Nanosciences : concepts, simulation et caractérisation Colloïdes et nanosciences Introduction

Accueil Ressources documentaires Sciences fondamentales Nanosciences et nanotechnologies Nanosciences : concepts, simulation et caractérisation Colloïdes et nanosciences Introduction

Accueil Ressources documentaires Sciences fondamentales Nanosciences et nanotechnologies Nanomatériaux : propriétés Colloïdes et nanosciences Introduction

Accueil Ressources documentaires Innovation Nanosciences et nanotechnologies Nanomatériaux : propriétés Colloïdes et nanosciences Introduction


Cet article fait partie de l’offre

Matériaux fonctionnels - Matériaux biosourcés

(206 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

Doc & Quiz

Des articles interactifs avec des quiz, pour une lecture constructive

ABONNEZ-VOUS

Lecture en cours
Présentation

1. Introduction

Jean-Marc DI MEGLIO est professeur à l’Université Paris Diderot

Laboratoire Matière et Systèmes Complexes

Les colloïdes doivent leur nom à Thomas Graham (1805-1869), chimiste britannique qui désigna ainsi un état liquide de la matière qui diffusait difficilement au travers des membranes semi-perméables au contraire des cristalloïdes (constitués par exemple d'une solution saline) qui dialysaient quant à eux rapidement. Le mot colloïdes a été construit à partir du grec (kolla : colle, gomme, eidos : apparence). Graham comprit qu'il s'agissait d'un nouvel état de la matière qui correspondait à une structure hétérogène et en fait de dispersions dont la taille caractéristique était comprise entre 10–9 m (1 nanomètre) et 10–6 m (1 micromètre). Dans l'article qui baptise ainsi les colloïdes , Graham rapproche ces nouveaux objets des objets mous du monde vivant et les décrit comme interagissant faiblement avec leur solvant, anticipant ainsi une définition de la matière molle  . L'acception moderne du mot colloïdes fait référence à cette échelle de taille caractéristique plutôt qu'aux caractéristiques macroscopiques de transport ou rhéologiques. Notons que les colles elles-mêmes, qui ont donné leur nom aux colloïdes, sont des solutions de polymère et donc également des dispersions de macromolécules.

Enfin, le champ des nanosciences ...

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 92% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

Cet article fait partie de l’offre

Matériaux fonctionnels - Matériaux biosourcés

(206 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

Doc & Quiz

Des articles interactifs avec des quiz, pour une lecture constructive

ABONNEZ-VOUS

Lecture en cours
Introduction
Sommaire
Sommaire

BIBLIOGRAPHIE

  • (1) - GRAHAM (T.) -   Liquid diffusion applied to analysis.  -  Philosophical Transactions of the Royal Society of London, 151, 183-224 (1861).

  • (2) - DI MEGLIO (J.-M.) -   Les États de la Matière. De la molécule au matériau.  -  Masson Sciences – Dunod (2001).

  • (3) - DI MEGLIO (J.-M.) -   La matière molle.  -  Physique Chimie, A 1 195. Techniques de l'Ingénieur (1994).

  • (4) - FARADAY (M.) -   Experimental relations of gold (and other metals) to light.  -  Philosophical Transactions of the Royal Society of London, 147, 145-181 (1857).

  • (5) - TURKEVICH (J.), STEVENSON (P.C.), HILLIER (J.) -   A study of the nucleation and growth processes in the synthesis of colloidal gold.  -  Discussions of the Faraday Society, 11, 55-75 (1951).

  • (6) - LIU (Y.), TSAPIS (N.), EDWARDS (D.A.) -   Investigating sustained-release nanoparticles...

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 94% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

Cet article fait partie de l’offre

Matériaux fonctionnels - Matériaux biosourcés

(206 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

Doc & Quiz

Des articles interactifs avec des quiz, pour une lecture constructive

ABONNEZ-VOUS