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1 - SYSTÈME GPS

2 - SYSTÈMES DE RÉFÉRENCE EMPLOYÉS

  • 2.1 - Réseaux anciens
  • 2.2 - WGS 84 et référentiels modernes de la géodésie
  • 2.3 - Stations GPS permanentes

3 - CONTRAINTES OPÉRATIONNELLES POUR LES USAGERS

4 - PERSPECTIVES DE LOCALISATION PAR SATELLITES : EGNOS, GALILÉO

  • 4.1 - EGNOS
  • 4.2 - GALILÉO

5 - EXEMPLES D’UTILISATION

| Réf : R1384 v1

Système GPS
Le GPS : utilisation en positionnement et surveillance

Auteur(s) : Michel KASSER

Date de publication : 10 juin 2001

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Auteur(s)

  • Michel KASSER : Professeur des Universités - Ingénieur en Chef Géographe - Responsable de la Géodésie à l’Institut Géographique National IGN

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INTRODUCTION

Le GPS (Global Positionning System) représente un moyen de positionnement mis au point et réalisé par l'armée des USA, dont la conception date des années 1970, et réellement opérationnel (industrialisation des récepteurs, nombre de satellites en service...) depuis environ 1991.

C'est aujourd'hui le système de positionnement qui est de loin le plus employé par une gamme d'usagers techniques (navigation aérienne, navigation automobile, géométrie et génie civil...) et grand public (randonnée, navigation de plaisance, automobile, etc.)

La gamme de précision du GPS est très variable, du centimètre jusqu'à quelques mètres.

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De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

VERSIONS

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-r1384


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1. Système GPS

1.1 Principes généraux

Un ensemble de 27 (afin de garantir un effectif de 24 en permanence) satellites « Navstar », lancés par le ministère américain de la défense à partir de 1978, orbite vers 20 000 km d’altitude (figure 1). Ceux-ci émettent en permanence des signaux radioélectriques sur des porteuses à des fréquences de 1,2236 GHz (appelée L2 ) et 1,57542 GHz (appelée L1 ) pour lesquels chaque bit d’information est émis à une date extrêmement bien connue, grâce à l’emploi dans chaque satellite d’une horloge atomique. Ces bits par ailleurs décrivent la position du satellite concerné, superposés à deux niveaux de codes pseudo-aléatoires (l’un est public : le code C/A, et l’autre est confidentiel : le code P), avec un débit élevé (de l’ordre de 10 Mbit/s), ce qui conduit à une émission à spectre très large et donc à une grande insensibilité aux émissions parasites.

Au niveau du sol, l’usager emploie un récepteur, dont le travail consiste à observer avec précision la date de réception de ces mêmes bits, et à décoder ceux-ci. Pour ce faire, le récepteur effectue une corrélation entre les signaux reçus et le code pseudo-aléatoire C/A qu’il connaît. Lorsque la corrélation maximale est obtenue, l’écart entre le code théorique et le code observé produit directement les messages transmis par le satellite (no du satellite, para-mètres de l’orbite et de l’horloge de bord, modèle grossier de l’état de l’ionosphère...). Cette corrélation maximale est ensuite maintenue par un asservissement qui permet, si on le souhaite, de mesurer en continu la phase de l’onde porteuse de L1 et éventuellement de L2. Si cet asservissement se fait avec une bande passante étroite, le temps d’initialisation du verrouillage sera long mais le rapport signal/bruit sera élevé, alors que si le temps d’initialisation est très bref, cela implique en général une qualité de réception moindre et une plus grande sensibilité aux bruits. La mesure élémentaire peut donc se faire pour chaque fréquence à deux niveaux soit uniquement par datation des bits formant le code C/A, soit en y rajoutant la mesure du nombre de tours de phase...

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BIBLIOGRAPHIE

  • (1) - BOTTON (S.), DUQUENNE (F.), EGELS (Y.), EVEN (M.), WILLIS (P.) -   GPS, localisation et navigation  -  . Éditions Hermès, 1997, 159 pages.

  • (2) - HOFMANN-WELLENHOF (B.) -   GPS Theory and Practice  -  . Éditeur Springer, 1995.

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