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En anglaisRÉSUMÉ
L’universalité du langage XML favorise son emploi dans tous les domaines techniques relatifs à la gestion de l’information. Depuis sa standardisation par le W3C en 1998, XML est utilisé dans tous les compartiments de l’architecture des systèmes d’information. Ces dernières années ont vu se développer quantité de standards et de protocoles dérivés de XML pour faciliter l’accomplissement de telle ou telle fonction du système d’information de l’entreprise. Aujourd’hui, l’architecture orientée services, ou SOA s’impose comme référence pour les applications d’informatique d’entreprise déployées sur le Web.
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The universality of the XML language favors its use in every technical field related to information management. Since its standardization by the W3C in 1998, XML has been used in every aspect of the architecture of information systems. Over the last few years, a significant number of standards and protocols derived from XML have been developed in order to facilitate the completion of a given function of the company information system. The service-oriented architecture or SOA has become the reference for company computer applications deployed on the Web.
Auteur(s)
-
Jean-Marie CHAUVET : Directeur associé, LC Capital
INTRODUCTION
L’universalité du langage XML [H 7 148] XML : syntaxe XML : gestion de contenus Web favorise son emploi dans tous les domaines techniques relatifs à la gestion de l’information. Depuis sa standardisation par le W3C en 1998, XML est utilisé dans tous les compartiments de l’architecture des systèmes d’information :
-
modélisation, classification et stockage des données ;
-
communication des données entre applications et services, et entre applications et utilisateurs ;
-
transformation et, plus généralement, traitement des données.
Dans chacun de ces volets, ces dernières années ont vu se développer quantité de standards et de protocoles dérivés de XML pour faciliter l’accomplissement de telle ou telle fonction du système d’information de l’entreprise. Ces développements ont fait l’objet de travaux de normalisation soit au sein d’organismes internationaux ad hoc de standardisation comme l’ISO, le W3C et l’OASIS, soit dans des alliances industrielles, parfois opportunistes, entre grands acteurs de l’industrie informatique regroupant des fournisseurs et des utilisateurs.
Cet ensemble cohérent de normes et de spécifications est devenu essentiel dans l’implémentation et le déploiement des applications Web fondées sur l’architecture orientée services, ou SOA, qui s’impose rapidement comme référence pour les applications d’informatique d’entreprise déployées sur le Web.
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2. Architecture orientée services
Lancée par le Gartner Group, une firme d’analystes américaine, la notion de SOA (pour architecture orientée services) définit un modèle d’interaction entre applications mettant en œuvre des connexions en couplage lâche entre divers composants logiciels (ou agents). Dans ce modèle, on entend par « service » une action exécutée par un composant « fournisseur » à l’attention d’un composant « consommateur », éventuellement basé sur un autre système d’exploitation ou localisé sur une autre machine. Si, dans ses grandes lignes, l’architecture SOA rappelle certains des modèles qui l’ont précédé comme celui des objets répartis de l’OMG (Corba CORBA : des concepts à la pratique pour Common Object Request Broker Architecture) ou de Microsoft (DCOM pour Distributed Component Object Model), les objectifs visés et les moyens mis en œuvre diffèrent considérablement.
Le modèle SOA se place d’emblée au-dessus d’un socle ancré dans les standards et les protocoles rendus populaires par la généralisation du Web. Il présuppose que les systèmes d’information des entreprises sont connectés au Web et propose une solution d’interopérabilité entre applications d’entreprises communiquant via Internet. Répondant aux besoins de flexibilité fonctionnelle généralement exprimés par les entreprises dans le contexte actuel, et s’inspirant de la simplicité et de la souplesse des protocoles du Web, l’architecture SOA cherche également à simplifier la configuration et la reconfiguration de ces services en interaction. C’est le sens du « couplage faible » entre les services.
La mise en œuvre de connexions en couplage faible implique l’utilisation d’interfaces d’invocation et de vocabulaires de description de données qui soient communs à l’ensemble des agents, à la fois côté fournisseur et côté consommateur. Plus ces éléments seront avancés, en termes de schémas de structuration...
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BIBLIOGRAPHIE
DANS NOS BASES DOCUMENTAIRES
ANNEXES
Request for comments (RFC)
HOUSLEY (R.) - FORD (W.) - POLK (W.) - SOLO (D.) - Internet X.509 Public Key Infrastructure Certificate and CRL Profile - . RFC 2 459, IETF (1999).
HAUT DE PAGE
ISO 8879 - 10-86 - Traitement de l’information. Systèmes bureautiques. Langage normalisé de balisage généralisé (SGML) - -
ISO/CEI 13250 - 5-03 - Technologies de l’information. Applications SGML. Plans relatifs à des sujets - -
ISO/TS 15000-1 - 5-04 - Commerce électronique en langage de balisage extensible (ebXML). Partie 1 : spécification de l’accord et du profil de protocole de collaboration (ebCPP) - -
ISO/TS 15000-2 - 5-04 - Commerce électronique en langage de balisage extensible (ebXML). Partie 2 : spécification du service de messagerie (ebMS) - -
ISO/TS 15000-3 - 5-04 - Commerce électronique en langage de balisage extensible (ebXML). Partie 3 : spécification du modèle d’information des registres (ebRIM) - -
ISO/TS 15000-4 - 5-04 - Commerce électronique en langage de balisage extensible (ebXML). Partie 4 : spécification des services de registre (ebRS) - -
ISO/TS 15000-5 - 9-05 - Commerce électronique en langage de balisage extensible (ebXML). Partie 5 : spécification technique des composants principaux (ebXML), Version 2.01 (ebCCTS) - -
ISO/CEI...
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