Présentation
En anglaisAuteur(s)
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Alain CHABENAT : Ingénieur de l’École Nationale Supérieure de Mécanique et Aérotechnique de Poitiers et de l’École Supérieure de Soudure et ses Applications (ESSA) - Responsable de la Section Ingénierie du soudage au Centre Technique de Framatome
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Lire l’articleINTRODUCTION
Souder deux éléments métalliques, pour constituer un ensemble continu, implique :
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d’accoster ces deux parties, c’est-à-dire les mettre en face l’une de l’autre ;
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de les maintenir proches pendant l’opération de soudage, du moins au début ;
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de mettre en mouvement relatif la pièce et la torche de soudage lorsque l’on soude en mode automatique et parfois de mettre en mouvement la pièce lorsqu’un soudeur tient lui-même la torche.
Nous nous intéressons ici aux procédés de soudage à l’arc électrique ; les procédés faisceaux d’électrons, laser, résistance électrique, friction, etc., ne seront pas traités.
Le montage des pièces à souder sera abordé selon les deux aspects suivants :
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préparation en atelier des pièces à souder, en ce qui concerne l’accostage des bords, les moyens de maintien des pièces pendant le soudage, et le bridage vis-à-vis des déformations ;
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description des machines et outillages de mise en mouvement des pièces et des torches de soudage, en vue d’une automatisation de l’opération (chariots sur poutres ou positionneurs, vireurs, potences, tours, rails, etc.).
Le lecteur trouvera une description détaillée du procédé dans l’article Soudage à l’arcSoudage à l’arc.
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3. Mise en mouvement en soudage automatique
3.1 Principe
-
Il s’agit d’assurer le mouvement relatif entre la torche de soudage (MIG - MAG - TIG - plasma - flux en poudre - feuillard sous flux) et les bords à souder ou la surface à recharger ou à revêtir.
On dispose de trois possibilités :
a) déplacer la seule torche de soudage ;
b) déplacer la pièce à souder, la torche restant fixe ;
c) déplacer la pièce et la torche.
Nous ne discuterons pas ici des critères de choix de ces trois possibilités. La solution est parfois immédiate ; mais elle peut être complexe, par exemple dans le cas de nombreuses petites soudures à réaliser sur une pièce de géométrie non simple.
Il est intéressant de rappeler que l’une des raisons d’être de tous ces équipements de mise en mouvement de la torche et/ou de la pièce est de pouvoir souder en position dite « à plat », c’est-à-dire que le plan tangent à la surface à souder doit rester constamment horizontal. Cette position assure le maximum de taux de dépôt et le minimum de risque de défaut.
-
La plupart du temps, les mouvements à assurer seront simples : rectilignes ou circulaires. Les équipements correspondants seront d’autant plus robustes, moins chers et disponibles sur le marché que les mouvements seront simples.
Cependant, pour des raisons fonctionnelles, de masse ou de prix de revient, on est parfois amené :
-
soit à réaliser des soudures de forme plus complexe (ni rectilignes, ni circulaires) ;
-
soit à réaliser, sur une même pièce, plusieurs soudures simples.
Nous dirons quelques mots sur ces cas dans le paragraphe 3.5.
La suite du paragraphe a donc pour objet principal la description des équipements standards qui réalisent des mouvements simples pour des soudures rectilignes ou circulaires.
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3.2 Mouvements rectilignes
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ANNEXES
Cette liste est non exhaustive et sujette à modifications. Elle concerne surtout des fournissseurs de matériels disponible en France, à ce jour.
HAUT DE PAGE1.1 Outillage. Machines diverses
Amantis
Dimetrics-Liburdi
Erfi
Jetline
Magnatec
Pipe
Polysoude
SAF
Talley
HAUT DE PAGE
BUG-O
ESAB
Gullco
SAF
HAUT DE PAGE
ARMCO
ESAB
Jetline
Lambert et Jouty
Lincoln
Ransome-Air Liquide
SAF
HAUT DE PAGE
Jetline
SAF
HAUT DE PAGE
Arc Machine
Dimetrics-Liburdi
Polysoude
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