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1 - PROPRIÉTÉS DE L’ALUMINIUM

2 - COMPATIBILITÉ ALIMENTAIRE DE L’ALUMINIUM ET DE SES ALLIAGES

  • 2.1 - Aluminium non allié
  • 2.2 - Alliages d’aluminium
  • 2.3 - Anodisation

3 - TENUE AU FEU DE L’ALUMINIUM

Article de référence | Réf : M4661 v1

Compatibilité alimentaire de l’aluminium et de ses alliages
Propriétés générales de l’aluminium et de ses alliages

Auteur(s) : Christian VARGEL

Date de publication : 10 déc. 2005

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NOTE DE L'ÉDITEUR

07/02/2019

La norme NF EN 485-2 citée dans cet article a été remplacée par la norme NF EN 485-2+A1 (A50-420-2) : Aluminium et alliages d'aluminium - Tôles, bandes et tôles épaisses- Partie 2 : caractéristiques mécaniques.
Pour en savoir plus, consultez le bulletin de veille normative VN1811 (novembre 2018).

RÉSUMÉ

Métal pauvre, malléable, de couleur argent, très oxydable, remarquable pour sa résistance à l’oxydation et sa faible densité, l’aluminium est le métal le plus abondant de l’écorce terrestre, mais présent sous forme combinée.  Cet élément est un produit industriel important, utilisé pur ou allié. Cet article détaille ses propriétés les plus usuelles, notamment la viscosité, les diffusivité, conductivité et résistivité thermiques, les propriétés physiques mais également magnétiques et optiques. Il termine par l’étude de la compatibilité alimentaire de l’aluminium et de ses alliages et sa tenue au feu.

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Auteur(s)

  • Christian VARGEL : Ingénieur Conseil - Ancien Ingénieur en chef – Groupe Pechiney - Auteur de « Corrosion de l’aluminium », Dunod, http://www.corrosion-aluminium.com

INTRODUCTION

Seules les propriétés physiques les plus usuelles de l’aluminium sont répertoriées dans ce dossier dont le lecteur trouvera l’origine dans les nombreuses références citées en fin de texte.

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-m4661


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2. Compatibilité alimentaire de l’aluminium et de ses alliages

Les premières applications de l’aluminium dans l’industrie alimentaire datent de la fin du XIXe siècle, en brasserie, en particulier. La très bonne conductivité thermique de ce métal explique son développement rapide dans les articles de cuisine familiale et collective au point qu’il ait remplacé en moins de 20 ans le cuivre étamé.

S’il est tout à fait admis que l’aluminium ne modifie pas les propriétés organoleptiques des aliments, la question de ses effets éventuels sur la santé qui relève très souvent de la polémique, dépasse le cadre de cet ouvrage .

Deux normes européennes (NF EN 601 et NF EN 602 ) précisent la composition chimique des pièces moulées et des demi-produits utilisés pour la fabrication d’articles destinés à entrer en contact avec les aliments.

2.1 Aluminium non allié

Pour l’aluminium corroyé, « la teneur massique en éléments autres présents » ne doit pas dépasser les limites suivantes :

  • fer + silicium ≤ 1 % ;

  • chrome, magnésium, manganèse, nickel, zinc, titane, étain ≤ 0,10 % chacun ;

  • cuivre ≤ 0,10 %. Une teneur en cuivre supérieure à 0,10 % mais ne dépassent pas 0,20 % est autorisée, à condition que ni la teneur en chrome ni celle en manganèse ne dépassent 0,05 % ;

  • autres éléments ≤ 0,05 % chacun ».

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BIBLIOGRAPHIE

  • (1) -   *  -  International Union of Pure and Applied Chemistry, 1989.

  • (2) -   *  -  Handbooks of Chemistry and Physics, 73rd edition, 1992-1993, pp. 11-31/32.

  • (3) - MONDOLFO (L.F.) -   Aluminium alloys – Structure and properties  -  , Butterworths, 1976, p. 17.

  • (4) - ELLWOOD (E.C.) -   Factors affecting equilibrium in certain aluminium alloys  -  , Journal of Institute of Metals, 1952, vol. 80, p. 605.

  • (5) - AWBERY, GRIFFITHS -   *  -  Proceedings Physical Society of London, 38, 378, 1926.

  • (6) - KUBASCHEWSKI, BRIZGYS, HUCHLER, JAUCH, REINARTZ -   Die Schmelz-und Umwandlungswären der Metalle  -  . Z. Elektrochem, vol. 54, p. 275, 1950.

  • ...

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