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1 - TYPES D’OUVRAGES CONCERNÉS

2 - CLASSEMENT DES OUVRAGES

3 - CONTRAINTES À PRENDRE EN COMPTE

4 - ACTIONS. SOLLICITATIONS. RÈGLES DE CALCUL

5 - CARACTÈRES DES OUVRAGES COURANTS

  • 5.1 - Châteaux d’eau. Réservoirs. Cuves. Bassins
  • 5.2 - Ouvrages de transport de l’eau

6 - DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES

Article de référence | Réf : C3671 v1

Classement des ouvrages
Stockage de l’eau : ouvrages en béton - Contraintes et dimensionnement

Auteur(s) : Bruno DUCROT, Bernard FARGEOT, Gérard MATHIEU

Date de publication : 10 févr. 1998

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Auteur(s)

  • Bruno DUCROT : Ingénieur de l’École Centrale de Lyon - Ingénieur-Conseil

  • Bernard FARGEOT : Ingénieur-Conseil

  • Gérard MATHIEU : Chargé de recherches au Cemagref (Centre national du machinisme agricole du génie rural des Eaux et Forêts)

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INTRODUCTION

Les responsables du fonctionnement d’un ouvrage de traitement et de stockage d’un service public de distribution d’eau, ou d’un ouvrage d’épuration et d’assainissement d’eaux usées, qu’ils soient propriétaires ou gestionnaires, doivent définir très clairement :

a) les objectifs à atteindre, en particulier l’étanchéité des ouvrages et le choix de la classe (qui correspond au principe de réalisation) ;

b) les fonctions complémentaires :

  • compatibilités avec les liquides contenus dans les ouvrages ;

  • résistance, durabilité, longévité ;

  • entretien des ouvrages ;

  • aptitude à la mise en œuvre et à la réparation.

Les besoins essentiels afférents à l’utilisation d’installations contenant soit des eaux usées, soit des eaux destinées à la consommation humaine, replacées dans leur contexte le plus général, sont de conserver, tout en évitant une contamination des milieux protégés, respectivement l’environnement naturel et l’eau brute ou potable.

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-c3671


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2. Classement des ouvrages

Les ouvrages en béton de stockage et de transport de l’eau sont classés selon le principe de réalisation de leur étanchéité.

  • Classe A : ouvrages dont l’étanchéité est assurée par la structure seule

    Il s’agit essentiellement de structures en béton armé et/ou précontraint, le béton pouvant faire l’objet, éventuellement, d’un traitement d’imperméabilisation de masse ou de surface.

    Les fuites ne doivent pas dépasser, mises à part les variations de volume dues aux variations de température et à l’évaporation, une moyenne de 500 cm3/m2/jour.

    Pour les bassins non enterrés, cette condition peut être considérée comme réalisée si l’on ne constate pas de fuite apparente et de défaut d’esthétique. Une simple tache n’est pas considérée comme une fuite, dans la mesure où elle disparaît rapidement dans les jours qui suivent la mise en eau (une tache qui subsiste empêche toute application de peinture ou d’un revêtement adhérent).

  • Classe B : ouvrages dont l’étanchéité est assurée par la structure complétée par un revêtement d’imperméabilisation

    Pour ces ouvrages, il est admis un léger passage d’eau disparaissant éventuellement par évaporation.

    Pour les bassins non enterrés, cette condition peut être considérée comme remplie si l’on ne constate pas de fuites apparentes.

    Une simple tache n’est pas considérée comme une fuite.

    Les compléments d’imperméabilisation peuvent être des enduits à base de mortiers hydrauliques hydrofugés épais ou minces, des enduits et peintures à base de liants mixtes, des revêtements à base de résines de synthèse non armées.

  • Classe C : ouvrages dont l’étanchéité est assurée par un revêtement d’étanchéité adhérent ou indépendant du support, la structure assurant uniquement une fonction mécanique, le revêtement assurant l’étanchéité

    Le revêtement est suffisamment résistant pour former pontage (après s’être éventuellement décollé de la paroi en cas de légère fissuration).

    Les revêtements sont à base de résines de synthèse armées...

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