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Auteur(s)
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Jacques BOULANGER : Ingénieur des Arts et Métiers - Métrologies et techniques de contrôle aux Automobiles Peugeot
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Le présent article constitue une refonte de l’article Tolérances. États de surface de A. Grandadam, ingénieur au CETIM.
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3. Tolérances géométriques
Il est souvent nécessaire, pour remplir la fonction de la pièce, que la forme géométrique de la surface et sa position par rapport à d’autres surfaces fonctionnelles soient spécifiées avec plus de précision : c’est le rôle des tolérances de forme, d’orientation, de position et de battement.
Les tolérances de forme délimitent les déviations d’un élément individuel de sa forme géométrique idéale.
Les tolérances d’orientation, position et battement délimitent les déviations d’orientation et /ou de position relative de deux ou plusieurs éléments. Par rapport à une référence fonctionnelle, un ou plusieurs éléments peuvent être indiqués. La forme d’un élément de référence doit être suffisamment précise pour qu’il puisse être utilisé comme tel ; il est nécessaire d’indiquer des tolérances de forme pour les éléments de référence.
3.1 Ordres de grandeur des écarts
Les écarts géométriques sont, par définition, d’ordre de grandeur supérieur aux irrégularités géométriques de surface appelées états de surface, comprenant la rugosité et l’ondulation (tableau 4).
Alors que les états de surface sont mesurés sur une longueur d’évaluation limitée (généralement de quelques millimètres à 50 mm), les écarts géométriques sont mesurés sur toute la longueur de la surface considérée (sauf spécification particulière portée au plan).
Il sera donc nécessaire d’éliminer les écarts du deuxième et du troisième ordre par filtrage mécanique, électrique ou mathématique.
Les limites pour la séparation entre l’ondulation et les écarts géométriques ne sont pas normalisées. Les appareils de circularité permettent de filtrer électriquement un certain nombre d’ondulations par tour, tandis que les touches à pointe sphérique ou toroïdale permettent de filtrer mécaniquement la rugosité. La norme NF E 10-103 préconise d’utiliser une touche de rayon « aussi grand que possible ».
En attendant que cette lacune de la normalisation soit comblée, il est...
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