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Auteur(s)
-
Robert LÈBRE : Directeur-Adjoint du Centre Technique du Zinc et de ses Alliages
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Comme tous les alliages qui présentent des changements de structure à l’état solide, les alliages de zinc sont susceptibles d’avoir certaines de leurs propriétés modifiées par un traitement thermique approprié.
VERSIONS
- Version courante de juin 2008 par Michel STUCKY
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1. Généralités
Les modifications citées dans l’introduction, dont l’ampleur reste toujours faible, ont un caractère provisoire qui en diminue beaucoup l’intérêt et limite les applications industrielles des traitements thermiques sur alliages de zinc à quelques cas particuliers que nous allons étudier ci-après.
Les alliages de zinc sont essentiellement mis en œuvre par fonderie sous pression (en France, plus de 95 % du tonnage coulé fait appel à cette technologie), ce qui limite les formes, les dimensions et surtout les épaisseurs des pièces (article Fonderie et moulage des alliages de zinc [M 670], dans ce traité). En pratique, il est rare de rencontrer des parois de plus de 5 mm et la moyenne des épaisseurs se situe vers 2 à 3 mm avec parfois des valeurs inférieures à 1 mm.
Par ailleurs, le procédé de moulage sous pression implique l’emploi d’une empreinte qui est un bloc d’acier dont la capacité thermique est importante. Dans ces conditions, le refroidissement des pièces après solidification de l’alliage coulé est rapide et sa vitesse est à peu près homogène. Il s’ensuit que la structure est elle-même homogène, mis à part l’effet de peau provoqué par le refroidissement plus rapide de la couche d’alliage coulée en contact avec l’empreinte (l’épaisseur de la peau est de quelques dixièmes de millimètre).
Dans le cas de pièces coulées par gravité dans des coquilles métalliques ou dans des moules en sable, les mêmes phénomènes se produisent mais de façon beaucoup moins marquée.
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