Présentation
Auteur(s)
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Jean-Claude CATONNÉ : Docteur-Ingénieur - Docteur ès Sciences Physiques - Sous-Directeur du Laboratoire d’Électrochimie industrielle - Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)
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Lire l’articleINTRODUCTION
Les traitements de surface réalisés par voie humide (TSVH) représentent aujourd’hui, et pendant longtemps encore sans doute, l’essentiel du marché des traitements et revêtements de surface des matériaux métalliques.
En France (début des années 90), on estime que cette branche industrielle, désolidarisée de celle des peintures et autres revêtements organiques, occupe entre 50 000 et 60 000 salariés, traditionnellement répartis entre deux formes d’activité : d’une part l’activité spécifique des ateliers intégrés, d’autre part l’activité plus diversifiée des ateliers à façon.
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2. Nature des phénomènes en jeu
Réalisées en phase aqueuse, toutes ces opérations ont un dénominateur commun : l’électrochimie, tant dans ses principes [maîtrise des connaissances relatives à l’ensemble des interactions métal-solution (électrode-électrolyte)], que dans ses conditions de mise en application (connaissance de la distribution des flux à l’interface, ainsi que dans le proche électrolyte). Cette démarche permet de proposer une présentation originale, dans laquelle on prend successivement en compte les phénomènes interfaciaux, puis les conditions d’application.
Les phénomènes mis en œuvre peuvent être de nature électrolytique ou chimique ; les mécanismes réactionnels, d’ordre anodique ou cathodique (tableau 1). Les méthodes d’application dépendent du type de réacteur avec lequel on travaille (in situ ou ex situ), des conditions de mise en œuvre des électrodes (stationnaires ou non stationnaires) et enfin (procédés électrolytiques) des formes d’ondes (tableau 2). Dans les premier cas, on se préoccupe de l’aspect physico-chimique de la structure interfaciale, dans le second, c’est une démarche de type génie des procédés (GP) qu’il convient d’emprunter.
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