Présentation
Auteur(s)
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Gérard CORVÉE : Ingénieur électrochimiste du Conservatoire national des arts et métiers - Chef du Laboratoire GLACIER VANDERVELL s.a.s. Automotive & Industrial Bearings, Part of the Bearings Group of Dana Corporation (États-Unis)
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Lire l’articleINTRODUCTION
L’étamage des matériaux métalliques est réalisable en phase aqueuse, soit par voie électrolytique, soit par voie chimique. Les applications industrielles de l’étamage chimique sont relativement peu nombreuses par rapport à l’étamage électrolytique ; celles d’importance notable en production concernent l’industrie automobile.
Le procédé chimique a pour avantage essentiel la simplicité de mise en œuvre et d’installation, car il ne nécessite ni anodes, ni générateur, ni amenées de courant.
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3. Symbolisation
Selon la norme NF A 91-010, l’étamage chimique est à classer comme « revêtement métallique » plutôt que comme « traitement de surface ». Il fait partie des traitements chimiques (II) dont le principe est selon la norme : « traitement en phase liquide provoquant un dépôt métallique, obtenu à partir d’un électrolyte approprié en l’absence de source extérieure de courant selon deux modes, électrochimique ou chimique ».
De fait l’étamage chimique est un procédé électrochimique, qui fait appel à des réactions « par déplacement » ou « par contact ».
La norme précise que « le métal plongé dans l’électrolyte se recouvre instantanément d’un autre métal, l’épaisseur étant limitée et faible (inférieure ou égale à 1 micromètre) ». Il sera vu plus loin, 4.2 et 4.6.1 d’une part, que le dépôt de l’étain n’est pas instantané et que, d’autre part, les épaisseurs de dépôt sont pratiquement toujours égales ou supérieures au micromètre.
Les caractéristiques utiles pour le concepteur (le service méthodes) sont les suivantes :
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dépôt : étamage
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symbole : Sn
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numéro atomique : 50
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masse atomique : 118,7 g
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masse volumique théorique : 7,3 g/cm3
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température de fusion : 232 oC
La...
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