| Réf : M1605 v1

Normalisation
Cuivrage

Auteur(s) : Yves BADÉ

Date de publication : 10 janv. 1982

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Présentation

NOTE DE L'ÉDITEUR

23/08/2016

Cet article est la version actualisée de l’article M1605 intitulé « Cuivrage » rédigé par Yves BADÉ et paru en 1982.

RÉSUMÉ

Les revêtements de cuivre sont largement utilisés dans le secteur des traitements des matériaux métalliques ou non conducteurs pour ces derniers, un prétraitement est nécessaire. Sa vocation est largement conditionnée par la nature du substrat et par l'application visée : décoration ou fonctions techniques. Classiquement réalisé en milieu aqueux, le cuivrage peut être décliné en deux familles (chimique et électrolytique en milieu acide ou en milieu alcalin). Il sera question dans cet article du cuivrage chimique et électrolytique en milieu acide, en mettant l'accent sur la formulation des bains, les conditions opératoires, la cinétique et les mécanismes des processus mis en jeu ainsi que les propriétés et la structure du revêtement.

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Auteur(s)

  • Yves BADÉ : Ingénieur Électrochimiste du Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)

INTRODUCTION

Les dépôts électrolytiques de cuivre, qu’ils soient brillants ou mats, ont des utilisations décoratives ou techniques.

En raison de sa couleur (métal rouge), de la facilité de son polissage et des patines possibles, le cuivre devient un revêtement attrayant. Pour des applications fonctionnelles, il est déposé pour lui‐même ou comme sous‐couche sur alliages cuivreux destinés à être étamés ou sur alliages de zinc avant dépôt de nickel, or, argent, etc. ; le nivellement de la surface par le dépôt de cuivre réduit ainsi le coût de polissage.

L’industrie électronique est une grande utilisatrice des dépôts de cuivre (métallisation des circuits imprimés). Une autre application importante est le dépôt sur matières plastiques (types ABS, époxy, polypropylène, etc.) où le cuivre assure la liaison interfaciale métal‐résine.

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VERSIONS

Il existe d'autres versions de cet article :

DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-m1605


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4. Normalisation

Il y a très peu de normalisation concernant les épaisseurs de cuivre standard. Selon le degré de résistance à la corrosion requis (ISO R 1456) ou la classe d’utilisation 1 à 4, la norme NF A 91‐101 donne, pour le cuivrage sur acier, des épaisseurs variant de 5 à 20 µm. La norme britannique BS 4601 recommande l’application de 20 µm au moins de cuivre sur matières plastiques. Les alliages de zinc nécessiteront un minimum de 8 à 10 µm et l’épargne contre la cémentation 15 à 25 µm de cuivre.

Pour tenir compte des variations de densités de courant sur les surfaces revêtues, il est nécessaire de majorer les épaisseurs requises de 30 à 50 % selon la forme des pièces et le type de cuivrage employé.

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BIBLIOGRAPHIE

  • (1) - BOUCHY (C.), GOBIN (F.) -   Métallurgie structurale.  -  Colin (1971).

  • (2) - POURBAIX (M.) -   Atlas d’équilibres électrochimiques.  -  Gauthier‐Villars (1963).

  • (3) - BRIMI, LUCK -   Electrofinishing.  -  Elsevier (1965).

  • (4) - LOWENHEIM (F.) -   Modern electroplating.  -  Wiley (1974).

  • (5) -   Metal finishing guidebook and directory  -  (1976).

  • (6) -   Canning handbook on electroplating  -  (22e éd.) Canning (1978).

  • (7) - SAFRANEK (W.) -   The properties of electrodeposited metals and alloys.  -  Elsevier (1974).

  • ...

1 Fournisseurs

[Voir catalogue national du traitement des surfaces (Éd. Du Cartel)]

Canning SARL.

Dalic.

Doyen.

Galvanotechnik‐France.

Imasa.

Lefèbvre‐Otomat.

Neochrome‐Bayer.

Parant‐Michaux.

Parker.

Pelidag.

PMD Continentale.

Schering‐France.

Sevit.

Waldberg.

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2 Organismes

(Organismes professionnels pouvant être consultés)

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2.1 Centre d’information Cuivre, Laiton et alliages

SITS Syndicat Général des Industries de Matériels et Procédés pour les Traitements de Surfaces.

CSPDM Chambre Syndicale de la Protection et de la Décoration des Métaux.

SNTRM Syndicat National des Traitements et Revêtements des Métaux.

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