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Article

1 - BOULONS TRADITIONNELS

2 - BOULONS INJECTÉS

3 - RIVELONS ET BOULONS SERTIS PRÉCONTRAINTS

4 - CAS DES GROUPES DE FIXATIONS

  • 4.1 - Résistance de groupes de fixations
  • 4.2 - Assemblages longs

5 - RIVETAGE À CHAUD

6 - PROCÉDÉS NOUVEAUX OU EN COURS DE MISE AU POINT

7 - ATTACHES PAR AXES D’ARTICULATION

8 - CONNECTEURS CLOUÉS

| Réf : C2521 v1

Cas des groupes de fixations
Constructions métalliques - Assemblages par procédés mécaniques

Auteur(s) : Jean-Pierre MUZEAU

Date de publication : 10 mai 2005

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Auteur(s)

  • Jean-Pierre MUZEAU : Ancien élève de l’École Normale Supérieure de Cachan - Docteur d’état ès Sciences Physiques - Professeur des Universités - Responsable du Département Génie Civil du CUST, Institut des Sciences de l’Ingénieur de l’Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand

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INTRODUCTION

Les articles de Constructions métalliques concernant les procédés d’assemblage ont été subdivisés en plusieurs parties :

  • « Moyens d’assemblage » ;

  • [C 2 521] « Assemblage par procédés mécaniques » ;

  • « Assemblage par soudage ou par connecteurs » ;

  • « Pour en savoir plus ».

Les procédés mécaniques sont ceux qui utilisent des assembleurs constitués de pièces métalliques cylindriques disposées dans des trous pratiqués dans les pièces à assembler. Il s’agit donc des différentes catégories de boulons, rivets, clous, etc.

Ces assembleurs assurent la transmission des efforts :

  • soit par butée ;

  • soit par mobilisation du frottement entre les pièces assemblées ;

  • soit par la mise en traction des assembleurs ;

  • soit par combinaison de ces sollicitations.

Dans tous les cas, la vérification de la résistance d’assemblages réalisés par un procédé mécanique nécessite la vérification conjointe de la résistance des assembleurs proprement dits mais aussi celle des pièces assemblées.

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VERSIONS

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-c2521


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4. Cas des groupes de fixations

4.1 Résistance de groupes de fixations

La résistance d’un groupe de fixations peut être prise égale à la somme des résistances individuelles en pression diamétrale F b,Rd des fixations, à condition que la résistance individuelle de calcul au cisaillement F v,Rd de chaque fixation soit supérieure ou égale à la résistance de calcul en pression diamétrale F b,Rd . Sinon, il convient de prendre la résistance d’un groupe de fixations égale au nombre de fixations multiplié par la résistance de calcul la plus faible des fixations considérées individuellement.

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4.2 Assemblages longs

Pour le calcul d’un groupe de fixations, l’hypothèse généralement admise est celle d’une répartition uniforme des efforts entre chacun des organes d’assemblage. Cela n’est bien sûr qu’une hypothèse grossière valable uniquement pour les assemblages relativement courts.

Si la distance L j entre les axes des fixations extrêmes d’un assemblage, mesurée dans la direction des efforts est supérieure à 15 d (figure ), il convient de réduire la résistance de calcul au cisaillement F v, Rd de toutes les fixations en la multipliant par un coefficient réducteur β Lf , donné par :

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