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RÉSUMÉ
Dès l’avènement de l’holographie opérationnelle, des technologies de mémoires holographiques ont été proposées et partiellement validées. Pourtant, aucun produit industrialisé n’a vu le jour jusqu’à présent, en partie par absence de source laser puissante et fiable. Avec l’évolution des microcomposants électroniques, des mémoires holographiques compétitives peuvent maintenant être envisagées. Pour cela, il suffit d’exploiter des matériaux non cristallins formant des gels durcis, aux caractéristiques appropriées, tels que certaines photoprotéines à la structure en spirale, la production de masse devient alors possible.
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INTRODUCTION
Des mémoires holographiques compétitives face aux mémoires traditionnelles existent maintenant. Elles exploitent des photomatériaux aux caractéristiques appropriées tels que certaines photoprotéines. Une production à l’échelle industrielle peut être prochainement envisagée.
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5. Holographie de Fourier pour mémoires holographiques
Afin de maximiser le nombre de données que l’on peut stocker dans une mémoire holographique, on a intérêt à utiliser des faisceaux objets de taille limitée afin d’augmenter le nombre d’hologrammes que l’on peut géométriquement inscrire dans le matériau photosensible. La meilleure densité d’information est obtenue lorsque l’on n’enregistre pas directement le faisceau objet modulé par le SLM mais sa transformée de Fourier . À cet effet, on focalise le faisceau incident sur la plaque holographique à l’aide d’une lentille, afin de réaliser une quasi-transformée de Fourier optique . Dans cette configuration, chaque hologramme n’occupera pas une place supérieure à celle du disque central de la tache d’Airy formée par la diffraction de la lumière à travers la lentille. Le diamètre du disque d’Airy peut être déterminé par la formule suivante :
avec :
- λ :
- la longueur d’onde du faisceau objet
- f :
- la focale de la lentille
- D :
- son diamètre.
De manière similaire, il faudra interposer entre le volume holographique et le photodétecteur une autre lentille afin d’effectuer une transformée de Fourier inverse et récupérer l’information dans le domaine spatial.
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