Patrick MEYRUEIS
Dès l’avènement de l’holographie opérationnelle, des technologies de mémoires holographiques ont été proposées et partiellement validées. Pourtant, aucun produit industrialisé n’a vu le jour jusqu’à présent, en partie par absence de source laser puissante et fiable. Avec l’évolution des microcomposants électroniques, des mémoires holographiques compétitives peuvent maintenant être envisagées. Pour cela, il suffit d’exploiter des matériaux non cristallins formant des gels durcis, aux caractéristiques appropriées, tels que certaines photoprotéines à la structure en spirale, la production de masse devient alors possible.