Bien sûr Russes et représentants de l’OPEP nient avoir des discussions sur des objectifs communs de réduction des volumes d’extraction, mais il est utile de rappeler que leurs productions cumulées proches des 40 millions de barils/jour représentent autour des 55% du flux de production mondiale.
Leur puissance sur ce marché du pétrole leur donne un pouvoir considérable sur les prix. Seules des raisons d’ordre géopolitique, peuvent freiner leurs échanges vers de possibles accords.
Or, les discussions entre dirigeants US et l’Iran chiite, semblent avoir distendu les liens historiques entre Arabie Saoudite et Etats-Unis ce qui ne peut que favoriser une entente conjoncturelle sur le pétrole entre Russes et Saoudiens.
Les uns et les autres sont intéressés par un prix du pétrole nettement au-dessus des 100 dollars le baril, là est l’essentiel.
Par Raymond Bonnaterre
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