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Theorie du flow

Theorie du flow dans les ressources documentaires

  • Article de bases documentaires
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  • 10 févr. 1989
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  • Réf : B5570

Théorie du freinage

Quels que soient le système de freinage et son emploi, un frein absorbe une énergie mécanique extérieure pouvant être soit une énergie potentielle due à la gravité (cas des appareils de levage), soit une énergie cinétique (cas des véhicules), soit les deux à la fois (cas, par exemple, d’un véhicule lancé abordant une descente). L’énergie mécanique absorbée est restituée par le frein sous une a...

Les articles de référence permettent d'initier une étude bibliographique, rafraîchir ses connaissances fondamentales, se documenter en début de projet ou valider ses intuitions en cours d'étude.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 oct. 2015
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  • Réf : TRI500

Théorie de l’usure

L'objectif de cet article est de fournir des modèles permettant de prévoir la durée de vie des contacts frottants. Il précise les enjeux associés à la maîtrise de l'usure, définit l'usure, décrit des méthodes de mesure, rappelle deux critères permettant de caractériser les interactions entre pièces frottantes: épaisseur réduite du film lubrifiant de Tallian et index de plasticité de Greenwood-Wil...

Les articles de référence permettent d'initier une étude bibliographique, rafraîchir ses connaissances fondamentales, se documenter en début de projet ou valider ses intuitions en cours d'étude.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 mars 2016
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  • Réf : TRI501

Théorie de l’usure

plus récemment par Akaki et Kato AKAKI (T.), KATO (K.) - Plastic flow process of surface layers in flow wear... entraînées inférieures à 2 nm selon la théorie de la lubrification EHD entre pièces sans rugosité...

Les articles de référence permettent d'initier une étude bibliographique, rafraîchir ses connaissances fondamentales, se documenter en début de projet ou valider ses intuitions en cours d'étude.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 12 sept. 2011
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  • Réf : 0235

Atelier Lego® Serious Play® : augmenter la capacité de collaboration créative ?

L’atelier Lego® Serious Play® est un outil collaboratif puissant, pour augmenter l’intelligence collective de vos équipes. Participer à un atelier Lego, c’est vivre tout son potentiel créatif, dans la fluidité.

Afin d’engager toute votre équipe dans l’innovation, vous souhaitez mettre en œuvre un atelier Lego. Par la succession d’objectifs et de challenges croissants, chacun contribue aux apports de solutions jusqu’à leur concrétisation pour une meilleure performance de l’innovation collective. Cette fiche vous permettra de :

  • déverrouiller la pleine créativité des personnes et des équipes ;
  • gagner en confiance sur leur potentiel créatif ;
  • augmenter leur motivation et leur engagement.

Méthodes, outils, pilotage et cas d'étude

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 16 mai 2014
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  • Réf : 0236

Générer et expérimenter des scénarios conceptuels d'innovation

Vous voulez tester de nouveaux champs d’innovation pour vos produits et process ? Vous souhaitez explorer sans risque les solutions conceptuelles qui ont été générées en équipes multiculturelles ?

Au-delà des techniques classiques de créativité, la méthode LEGO® SERIOUS PLAY® décale l’imagination par la construction en 3D des produits et des process. Elle permet de visualiser les solutions dans leur contexte et leur cycle de vie.

Cette fiche vous permettra de :

  • clarifier l’environnement et le marché ;
  • co-construire des scénarios d’usages de produits et process ;
  • simuler des scénarios conceptuels par l’expérimentation.

Méthodes, outils, pilotage et cas d'étude

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 09 sept. 2012
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  • Réf : 0874

Maîtriser les risques et opportunités du projet (MDR)

Lorsque l’Institut pour la sûreté de fonctionnement est devenu l’Institut pour la maîtrise des risques (IMDR), il y a eu discussion pour savoir si l’on pouvait vraiment « maîtriser les risques », compte tenu de leur caractère souvent imprévisible.

Approche simple et pratique : on ne peut évidemment pas contrôler le futur de systèmes technico-humains, compte tenu du libre arbitre, de l’effet papillon et autres notions de ce type. Au mieux, on maîtrise un risque (négatif) comme on maîtrise un cheval ou un félin :

  • nous avons la connaissance et les moyens nécessaires pour nous rendre compte à temps de tout comportement « anormal » : observation et symptôme sont les maîtres mots ;
  • l’environnement dans lequel évolue le système dompteur-cavalier/animal est soit partiellement contrôlable, soit contraint (une cage, un manège, un respect de l’autorité, etc.).

En projet, l’emploi de « maîtrise » est adapté : in fine, les acteurs s’intéresseront davantage aux bénéfices attendus de la prise de risque qu’à la couverture nécessaire des dangers potentiels.

Cette fiche pratique sur le processus de management du risque le plus important pour un chef de projet rappelle les éléments essentiels à mettre en place ainsi que les exigences minimales vis-à-vis des acteurs du risque. Elle considère les risques menaces autant que les risques opportunités : pas de projet sans prise de risque.

Gestion et pilotage du projet : les fiches pour évaluer, planifier, communiquer, capitaliser


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