- Article de bases documentaires
|- 10 avr. 2007
|- Réf : H5365
L’intégration des flux téléphoniques, signalisation et communications comprises, est largement... du premier téléphone par Alexandre Graham Bell, en 1869, les systèmes de téléphonie ont considérablement évolué... sur réseau mobile. La téléphonie vit aujourd’hui l’une des périodes les plus critiques de son évolution... des systèmes de téléphonie classiques vers les réseaux informatiques. L’intégration des flux téléphoniques...
Les articles de référence permettent d'initier une étude bibliographique, rafraîchir ses connaissances fondamentales, se documenter en début de projet ou valider ses intuitions en cours d'étude.
- Article de bases documentaires
|- 10 mai 2011
|- Réf : TE7507
Les réseaux IP (Internet Protocol) deviennent de plus en plus le support fédérateur d'une multitude de services et applications. Le protocole IP a ainsi été adopté par les opérateurs pour mutualiser leurs offres de service hétérogènes. Pour anticiper les besoins accrus en termes d'adresses IP, les opérateurs, les constructeurs d'équipements réseau et les universitaires ont collaboré pour spécifier un protocole de nouvelle génération, IPv6 (Internet Protocol version 6). Les spécifications IPv6 ainsi que les documents d'analyse sont suffisamment matures pour considérer un déploiement opérationnel dans les réseaux des opérateurs. Néanmoins, l'introduction de cette nouvelle version du protocole impose des contraintes sensibles quant à l'interopérabilité et l'interfonctionnement des deux versions du protocole : IPv4 et IPv6. IPv4 est aujourd'hui massivement déployé, mais l'espace d'adressage associé atteint ses limites, au point de remettre en cause le développement de l'Internet. L'épuisement annoncé des adresses publiques IPv4 (cf. § 2.1 ) fait du déploiement d'IPv6 un enjeu majeur pour les opérateurs et fournisseurs de services. Mais la mise en place d'une stratégie de migration est compliquée par deux contraintes majeures : la nécessité de garantir la continuité de services IPv4 durant la période de transition caractérisée par l'incapacité à fournir une adresse publique IPv4 à chaque client et l'incompatibilité des protocoles IPv4 et IPv6 rendant difficile l'interconnexion des deux mondes. De plus, les opérateurs et fournisseurs de services doivent aussi prendre en compte plusieurs contraintes pour l'introduction d'IPv6 dans les réseaux et les infrastructures de services et concevoir de nouvelles architectures tirant partie des nouvelles fonctions intrinsèques d'IPv6. Le paragraphe 3 décrit en détail les contraintes à considérer lors de l'activation d'IPv6. Cet article a pour objectif de décrire quelques solutions pour l'activation d'IPv6 dans les réseaux (cf. § 4 ) et l'interconnexion entre les domaines IPv4 et IPv6 (cf. § 5 ). Il décrit également quelques solutions pour rationaliser l'utilisation des adresses IPv4 tout en préparant une migration progressive vers IPv6 (cf. § 6 ). Plusieurs stratégies de migration sont décrites pour trois contextes différents : réseau fixe (cf. § 6.1 ), réseau mobile (cf. § 6.2 ) et service de voix sur IP (cf. § 6.3 ). Les figures de ce dossier sont consultables en couleurs dans leur version électronique sur le site des Techniques de l'ingénieur. Pendant la spécification d'IPng « IP Next Generation », qui deviendra plus tard IPv6, le numéro de version « 5 » n'a pas été alloué car déjà utilisé pour ST2+ « Internet Stream Protocol ». En effet, la version 5 du protocole IP a été associée au protocole expérimental ST2+, spécifié dans le RFC 1819. ST et IPv4 utilisent le même format d'adresse pour identifier les hosts.
- Article de bases documentaires
|- 10 nov. 1999
|- Réf : TE7630
Les installations téléphoniques privées se sont développées en même temps que les grands réseaux téléphoniques publics, dont elles étendent et développent, au sein d’une même organisation, les fonctions de mise en relation de personnes. À l’époque de la commutation manuelle, l’installation téléphonique privée constituait à la fois un outil de mise en communication intérieure et de démultiplication de l’utilisation des lignes extérieures, reliant le groupe au réseau public. Une fonction d’opérateur était chargée de relier les lignes intérieures entre elles ou aux lignes extérieures, suivant la demande des utilisateurs. Cela se faisait manuellement à l’aide d’un cordon de liaison appelé dicorde s’enfichant des deux côtés dans des prises dites jacks correspondant aux lignes à relier, établissant ainsi une liaison de communication entre les utilisateurs. Des systèmes de commutation automatique ont ensuite été introduits. Ils mettaient en œuvre des contacts mobiles et des activateurs électromécaniques permettant d’automatiser les fonctions d’établissement et de rupture des liaisons de communication. La commutation était commandée au moyen de signaux électriques, dits de « signalisation », échangés entre les terminaux des utilisateurs et les commutateurs. Les sélecteurs pas-à-pas au début, puis les commutateurs crossbar, ont permis aux appels sortants vers le réseau extérieur, et aux appels intérieurs d’être traités automatiquement. La fonction d’opérateur restait cependant nécessaire pour les appels entrants (venants de l’extérieur). Ensuite, certaines grosses installations crossbar ont été dotées du service de sélection directe à l’arrivée (SDA) qui permet l’établissement automatique des appels entrants en provenance du réseau public, à condition que les usagers bénéficiant de ce service dans l’installation, se soient vus attribuer un numéro dans le plan de numérotation national. Les techniques de télécommunications ont été marquées par d’importantes mutations à la suite du développement de l’informatique et de l’électronique. Cela s’est traduit par les évolutions fondamentales suivantes : la généralisation de l’électronique en remplacement de l’électromécanique pour les dispositifs de commutation et de signalisation ; le passage à la commutation temporelle en remplacement de la commutation spatiale ; la généralisation des dispositifs à programme enregistré pour la commande des installations, à la place des logiques dites câblées de l’époque. Ces évolutions ont rapidement été appliquées au domaine des PABX (Private Automatic Branch Exchange), modifiant totalement la définition, la forme et même les fonctions des installations téléphoniques privées. Elles ont permis en particulier de faire du PABX un outil offrant de multiples services utiles aux utilisateurs, et débordant largement la simple fonction de commutation de la voix pour laquelle il avait été imaginé au début. Le PABX actuel, tel que nous le décrivons dans la suite, est une machine qui utilise les mêmes technologies de base que l’informatique, mais il met en œuvre des programmes applicatifs spécifiques au domaine de la communication vocale, fournissant ce qu’il est habituel d’appeler des « services » de communication (ce que l’on désignerait plutôt en informatique par le terme « applications »). Ces services restent centrés sur la communication « de personne à personne » (dérivé du terme anglais person to person communication), mais ils débordent largement la simple liaison vocale, pour offrir toute une panoplie de services dits « complémentaires », justement par rapport à la pure liaison vocale. Le PABX est maintenant étroitement associés aux équipements et applications informatiques sur lesquels il s’appuie pour les fonctions orientées vers la gestion, que l’informatique est mieux placée pour traiter. Si l’on veut décrire très simplement la forme que prend l’installation téléphonique privée, on pourrait dire qu’il s’agit d’un ensemble d’entités fonctionnelles interconnectées entre elles, dont on distinguera trois types : le terminal d’utilisateur : poste téléphonique, poste multifonction, microordinateur... ; le nœud de communication, que l’on appellera encore « central » en référence à l’histoire, ou « plate-forme PABX » ; le serveur, qui est un ordinateur portant des applications qui entrent dans le cadre des services offerts par les installations téléphoniques privées. Ces entités sont interconnectées entre elles par des liaisons, que l’on appellera encore des « lignes ». Là encore on en distinguera plusieurs types : la ligne terminale qui relie un terminal au central, et que l’on appelle aussi « ligne de poste » en référence à l’ancienne réglementation, ou « ligne intérieure », sous-entendu à l’organisation desservie par le PABX ; la ligne de réseau, qui relie le central aux réseaux publics qui lui sont extérieurs ou qui réunit plusieurs centraux situés dans des lieux géographiques différents, on l’appelle encore « circuit » par référence à la fonction identique dans le réseau public, ou « ligne extérieure » ; la liaison informatique, qui relie le central au serveur, ou parfois le terminal au serveur.
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 26 sept. 2024
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- Réf : 0337
L’ISO 9001 précise que l’enquête de satisfaction n’est pas le seul outil utilisable pour évaluer la satisfaction des clients. Néanmoins, sous réserve qu’elle soit préparée, menée et analysée méthodiquement, elle reste un outil extrêmement performant à partir duquel une remontée d’informations sur le niveau de satisfaction des clients pourra être effectuée.
L’enquête de satisfaction est devenue assez courante dans le monde de l’entreprise, au point que les taux de retours étant souvent décevants, beaucoup d’entreprises rechignent à les réaliser. Pourtant, menée avec méthode, l’enquête de satisfaction reste un outil fiable et performant qui permet de :
- montrer de l’intérêt à ses clients et travailler son image de marque ;
- sensibiliser le personnel aux attentes des clients ;
- compléter les exigences clients à prendre en compte ;
- définir de nouvelles orientations (stratégie/politique/objectifs) ;
- accroître la satisfaction des clients et les fidéliser ;
- identifier d’éventuelles insatisfactions des clients avant de les perdre ;
- comparer la mesure interne des performances avec la perception du client pour améliorer le système d’indicateurs et affiner les objectifs.
Un outil incontournable pour comprendre, agir et choisir- Nouveauté !
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 15 avr. 2012
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- Réf : 0825
Vous avez été consulté pour fournir un équipement devant répondre à une fonction bien précise ; mais il n’existe pas toujours de méthodes officielles et objectives d’évaluation pour toutes les performances.
Le but de cette démarche est de vous mettre d’accord avec votre client sur le mode d’évaluation du résultat, car chaque projet doit pouvoir être sanctionné par une évaluation de la performance atteinte.
Cela suppose qu’au préalable le niveau à atteindre soit clairement exprimé et si possible chiffré selon des procédures d’essai à appliquer, en cours de déroulement de projet ou à la réception (voire après un délai contractuellement accepté).
Un outil incontournable pour comprendre, agir et choisir- Nouveauté !
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 22 août 2024
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- Réf : 1004
Dans l’économie de marché, il était traditionnellement admis qu’un acteur pouvait adopter l’une des deux grandes stratégies génériques : la domination par les coûts, en proposant la même offre que ses concurrents au meilleur prix (obtenu grâce à une taille critique de production), ou bien la domination grâce à une différenciation perceptible, c’est-à-dire un avantage pour lequel le client accepte de payer le prix fort.
Ce modèle binaire a évolué autour d’un nouveau modèle de différenciation faisant appel à un triptyque « offre premium, offre low cost, offre en rupture » autour d’une offre de référence sur un segment de marché.
Comment analyser les différentes stratégies possibles ?Pour cela, la direction d’une entreprise devra :
- identifier les attributs de valeur de l’offre ;
- identifier l’offre de référence sur un segment ;
- bien situer les acteurs et leurs choix en termes de valeur et de coûts ;
- analyser les différentes catégories de stratégies possibles ;
- consolider un nouveau business model cohérent.
Méthodes, outils, pilotage et cas d'étude