- Article de bases documentaires
|- 10 juil. 2004
|- Réf : BN3190
. Parmi eux, les réacteurs à haute température, connus sous le sigle HTR (High Temperature Reactors)ont... des réacteurs à haute température, connus sous le sigle HTR ( High Temperature Reactors ), dont le cœur... à son implication dans la filière des réacteurs à haute température. Ayant pris conscience des raisons du désintérêt... pour les réacteurs refroidis au gaz, à l’étude de la nouvelle filière à haute température utilisant également un gaz...
Les articles de référence permettent d'initier une étude bibliographique, rafraîchir ses connaissances fondamentales, se documenter en début de projet ou valider ses intuitions en cours d'étude.
- Article de bases documentaires
|- 10 juil. 2007
|- Réf : BN3640
est le concept de référence des réacteurs à haute ou très haute température à caloporteur gaz, appelés High or... et à un haut niveau de sûreté (dossier BN 3 190, Réacteurs à haute température, § 4, sûreté). Même... [ ] sur les réacteurs à haute température), la viabilité du concept, y compris pour des températures de sortie hélium... aux hautes températures et à un haut niveau de sûreté. Né à la fin des années 1950, le concept...
Les articles de référence permettent d'initier une étude bibliographique, rafraîchir ses connaissances fondamentales, se documenter en début de projet ou valider ses intuitions en cours d'étude.
- Article de bases documentaires
|- 10 déc. 2012
|- Réf : COR378
de sélectionner des matériaux pouvant supporter de hautes températures, de manière continue ou non... thermiques (résistances électriques des fours). De hautes températures sont aussi requises dans les procédés... en fonction des hautes températures rencontrées. À ce stade il est nécessaire de définir ce que l'on entend... par « corrosion », par « hautes températures » et par « matériaux réfractaires ». La corrosion est assez facile...
Les articles de référence permettent d'initier une étude bibliographique, rafraîchir ses connaissances fondamentales, se documenter en début de projet ou valider ses intuitions en cours d'étude.
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
- |
- 06 sept. 2012
- |
- Réf : 0541
La quantification des risques industriels nécessite d’évaluer les deux composantes du risque que sont la probabilité et la gravité de phénomènes dangereux tels que les incendies ou les explosions.
De plus en plus, l’évaluation de la probabilité repose sur la mise en œuvre de méthodologies dites probabilistes qui prennent en compte de nombreux paramètres parmi lesquels on peut citer la fréquence des événements redoutés, les probabilités de défaillances des barrières de sécurité et les probabilités d’inflammation.
Ces différents paramètres peuvent être quantifiés en ayant recours à des banques de données. Cette manière de procéder a pour principal intérêt d’être relativement simple à mettre en œuvre. En revanche, une question subsiste : les valeurs rapportées dans les banques de données sont-elles représentatives du cas étudié ?
Dès lors, afin d’adapter les valeurs issues des banques au cas étudié, il est fréquent que l’analyste « pondère » les valeurs pour tenter de retranscrire certaines spécificités du cas étudié. Dans le cadre des analyses de risques quantifiées, le paramètre le plus fréquemment « pondéré » est incontestablement la fréquence de fuite sur canalisation.
Les fiches pratiques répondent à des besoins opérationnels et accompagnent le professionnel en le guidant étape par étape dans la réalisation d'une action concrète.
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
- |
- 07 nov. 2023
- |
- Réf : 1817
La consommation d’énergie primaire de la France s’élève à 2 571 TWh en 2020 (en données non corrigées des variations climatiques). Le bouquet énergétique primaire réel de la France se compose de 40 % de nucléaire, 28 % de pétrole, 16 % de gaz naturel, 14 % d’énergies renouvelables et déchets et 2 % de charbon. À l’exception des énergies hydraulique, photovoltaïque et éolienne (qui représentent à elles trois une somme de 117 TWh), les énergies primaires sont dans un premier temps transformées en énergie thermique puis pour certaines en énergie mécanique et électrique. L’énergie finale alors consommée pour les usages du bâtiment, des transports et de l’industrie, est évaluée à près de 1 600 TWh annuels (année 2020).
Dans cette fiche, nous nous limitons aux usages thermiques strictement industriels (hors production d’électricité) pour les utilités et les procédés de transformation industrielle par l’intermédiaire de chaudières ou de fours.
Comprendre les implications concrètes de la transition énergétique, et bâtir une stratégie d’entreprise à la hauteur de ces enjeux.