- Article de bases documentaires
|- 10 nov. 2020
|- Réf : BM7970
La fabrication additive occupe en 2020 des marchés stabilisés comme ceux liés à la réalisation de pièces prototypes, de pièces mécaniques, d’éléments artistiques et de mode, etc. Ces marchés se développent de manière continue exploitant des innovations incrémentales. Indépendamment de cet aspect, de nombreux verrous scientifiques et technologiques sautent les uns après les autres pour que la technologie 3D occupe de nouvelles niches comme le bio-printing et le 4D printing (association du temps aux trois paramètres d’espace). Cet article rassemble des éléments de prospective reliés à ces nouveaux horizons qu’il s’agisse d’échelles aussi bien nanométriques que d’échelles de tailles plus « humaines », sans oublier l’importance qu’a pris la fabrication additive dans la pandémie de la Covid-19…
- Article de bases documentaires
|- 10 janv. 2023
|- Réf : BM7996
La fabrication additive regroupe un large ensemble de procédés mettant en œuvre une grande diversité de matériaux sous des formes variées. Chaque procédé présente des spécificités qui lui sont propres. Afin d’accompagner les entreprises à la mise en sécurité de leurs installations, il est important de prendre en compte ces spécificités et d’en recenser les risques connus et émergeants. Ce recensement et les recommandations associées s’effectuent sur l’ensemble des étapes de la chaîne de fabrication. Cet article se focalise sur les quatre procédés ne mettant pas en œuvre des matériaux pulvérulents : extrusion de matière, projection de matière, stratification de couches et photopolymérisation en cuve.
- Article de bases documentaires : RECHERCHE ET INNOVATION
|- 10 sept. 2021
|- Réf : RE289
Eviter la mise en place de couches en fabrication additive (stéréolithographie) ou oublier l’introduction de supports de réalisation d’un objet 3D complexe non déformé, c’est ce que fait l’impression 3D « volumique » par apport précis dans le volume de l’énergie « utile » à la transformation souhaitée. Il s’agit d’exploiter des processus non-linéaires, simultanés ou séquentiels, qui, pour la plupart, font intervenir la lumière. Les avantages précités doivent donc être mis en regard avec le besoin de transparence des milieux réactifs classiques en 3D, empêchant par exemple la réalisation d’objets en métal. Cet article présente l’état de l’art, les tendances actuelles avec des limites, et tout le potentiel de cette technologie en devenir (en particulier en termes de résolution spatiale).