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PHÉNOMÈNE BIOLOGIQUE : DÉFINITION ET PROPRIÉTÉS

Phénomène (ou processus) traduisant toute fonction ou activité chez tout système vivant (humain, animal, plante, champignon, bactérie) au niveau moléculaire, cellulaire, ou d’un organe.
Les phénomènes biologiques sont d’une extrême diversité, la vie se présentant sous un très grand nombre de formes. Leurs études contribuent à nourrir notre connaissance du vivant, vaste sujet qui implique de nombreuses disciplines et sous-disciplines interagissant les unes avec les autres : anatomie, biologie moléculaire et cellulaire, biochimie, botanique, chimie organique, cytologie, histologie, microbiologie, physiologie animale et végétale, zoologie.
Citons quelques phénomènes biologiques.
Chez un être vivant, la respiration est un phénomène périodique biologique, tout comme l’activité cardiaque.
Tout système vivant possède la capacité de donner naissance à d’autres organismes par divisions cellulaires successives. Ce phénomène biologique permet la reproduction des espèces.
La photosynthèse est un phénomène biologique par lequel les plantes vertes synthétisent des matières organiques en présence de lumière.
Le traitement des déchets organiques par voie biologique exploite certaines activités microbiennes. Il englobe notamment l’étude du processus de digestion anaérobie, et peut être qualifié de phénomène biologique [G2060].

Phénomène biologique dans les ressources documentaires

  • Article de bases documentaires
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  • 10 juin 2023
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  • Réf : F6156

Produits de l’érable

Le sirop d’érable est un marqueur historique et incontestable d’une tradition ancestrale canadienne mondialement connue. À l’origine, les premières nations amérindiennes ont fabriqué du sucre d’érable, seul produit capable de se conserver, et peu à peu, l’artisanat est devenu une industrie florissante. Cet article se propose d’étudier la filière de transformation de la sève d’érable, dynamique et innovante, non seulement pour l’obtention de produits de l’érable tels que l’eau, le sirop, le nectar, le beurre, le sucre d’érable, mais aussi pour la création de toute une panoplie de dérivés de l’érable, tels que la gelée, le vin, les spiritueux, la bière, la moutarde, le vinaigre, etc.

  • Article de bases documentaires : RECHERCHE ET INNOVATION
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  • 10 nov. 2022
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  • Réf : IN198

Particules minérales-organiques à base d’apatite pour applications biomédicales

Cet article fait le point sur l’utilisation et les principales caractéristiques de particules hybrides composées d’un cœur minéral d’apatite bio-inspirée – possiblement dopée en ions (bio)actifs – entouré d’une couronne organique permettant de conférer des propriétés biologiques ou de contrôler la taille des particules. De tels (nano)systèmes sont utilisés pour de nombreuses applications biomédicales, en oncologie, dermatologie, hématologie, thérapie génique ou encore pour le diagnostic médical. Ces particules hybrides présentent deux avantages majeurs : leur biocompatibilité intrinsèque et leur possible multifonctionnalisation.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 mars 2024
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  • Réf : PHA1007

Structures chimiques privilégiées vectrices d’activités thérapeutiques

De très nombreuses classes de médicaments sont issues de familles chimiques ayant un motif structural commun. En fonction des substitutions effectuées sur ce squelette de base, la molécule synthétisée aura une affinité pour tel ou tel récepteur ou enzyme. L’analyse successive de ces structures privilégiées (sulfamides, dérivés azolés, stéroïdes, systèmes polycycliques, bases puriques et pyrimidiques…) permet d’aborder dans cet article la plupart de l’arsenal thérapeutique à la disposition du corps médical : antalgiques, antibiotiques, anti-hypertenseurs, psychotropes, anticancéreux, traitements hormonaux…

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 15 avr. 2014
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  • Réf : 0186

Étude des dangers : identifier les risques d’origine interne

L’ED étudie le fonctionnement d’une installation (comportant des activités) en prenant en considération les risques de défaillance, qu’ils soient d’origine interne ou externe. L’objectif en est la gestion des risques.

L’élaboration d’une étude de dangers conduit à inventorier :

  • les substances ou préparations dangereuses éventuellement utilisées (que ce soit au stade des matières premières ou des produits finis) ;
  • les équipements dangereux (enchaînements de matériels industriels complexes, appareillages sous pression, thermogénérateurs, silos, etc.) ;
  • et les opérations et/ou situations dangereuses (surplomb de zones habitées, mise à jour des nappes phréatiques, zone en PPRT ou PPRN, présence de zones ATEX, présence d’ICPE AS, etc.).

Cet inventaire s’intéresse donc au recensement et à l’évaluation des caractéristiques de la zone d’implantation d’un site d’exploitation (vulnérabilité de l’environnement, configuration du site, etc.), associées aux produits et équipements du site en lui-même, pouvant présenter un danger lors de son fonctionnement.

Cette fiche s’applique à la détermination des principaux événements initiateurs de dangers, existants ou potentiels, présentés par les installations et activités (mettant en œuvre des produits) présentes sur un site industriel, et dont il faut définir les origines.

Le risque lié à ces événements initiateurs de dangers et leurs impacts potentiels sur leur environnement sont à évaluer dans l’étude de dangers au niveau de l’analyse des risques.

180 fiches actions pour auditer et améliorer vos réponses aux obligations relatives aux installations classées pour la protection de l'environnement

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 17 déc. 2017
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  • Réf : 1645

Le vivant : méthodes de traitement, corps humain… que peut-on breveter ?

En pratique, les inventions portant sur le vivant ne sont pas de facto exclues de la brevetabilité. Pour autant, les statistiques de l’Office européen des brevets (OEB) montrent que moins de 30 % des demandes de brevet européen déposées dans le domaine des biotechnologies aboutissent à la délivrance effective d’un brevet.

Ce taux, particulièrement faible, s’explique par la volonté de maintenir un équilibre entre le droit au brevet et les considérations éthiques soulevées par ce type d’invention.

Cette fiche présente les particularités propres à la brevetabilité du vivant et plus particulièrement des inventions portant sur :

  • les traitements appliqués au corps humain ;
  • l’être humain et ses dérivés.

La brevetabilité des inventions portant sur les plantes et les animaux fait l’objet d’une fiche spécifique (cfLe vivant : comment protéger les inventions sur les plantes et les animaux ?).

Les fiches pratiques pour protéger vos innovations.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 17 déc. 2017
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  • Réf : 1646

Le vivant : comment protéger les inventions sur les plantes et les animaux ?

La rigueur dans l’appréciation de la brevetabilité du vivant s’explique par les considérations éthiques soulevées. Si la brevetabilité des inventions sur le corps humain et ses dérivés fait l’objet d’une appréciation stricte (cf. Le vivant : méthodes de traitement, corps humain… que peut-on breveter ?), les inventions portant sur les plantes et les animaux doivent, elles aussi, faire l’objet d’une approche spécifique.

Cette fiche présente les particularités propres à la brevetabilité des inventions portant sur :

  • les animaux ;
  • les plantes et variétés végétales ;
  • les procédés d’obtention biologiques.

Les fiches pratiques pour protéger vos innovations.


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