- Article de bases documentaires : RECHERCHE ET INNOVATION
|- 10 janv. 2014
|- Réf : IN167
Beaucoup d'efforts ont été conduits ces dernières années pour démontrer le potentiel des nanotubes de carbone (NTC) dans le domaine biomédical. Afin de pouvoir intégrer les NTC dans les systèmes biologiques et exploiter pleinement leurs propriétés, la fonctionnalisation chimique de leur surface est une étape indispensable. La structure des NTC peut s'apparenter à celle de longues fibres d'amiante, ce qui génère des inquiétudes quant à l'impact des nanotubes sur la santé. Dans ce contexte, nous avons démontré que seule une fonctionnalisation chimique, introduisant des groupements fonctionnels capables de désagréger et de raccourcir les nanotubes, peut atténuer les éventuels risques toxiques des NTC.
- Article de bases documentaires
|- 10 janv. 2016
|- Réf : NM2035
Les nanotubes de carbone monofeuillets (SWNT) présentent des propriétés physiques originales dues à leur composition –ils sont constitués uniquement d’atomes de carbone– et à leur faible dimensionnalité. En ce qui concerne leurs propriétés optiques, les SWNT semi-conducteurs émettent de la lumière dans le proche infrarouge –on parle de photoluminescence ou de fluorescence– à des longueurs d’onde qui dépendent de leur structure et de leur environnement diélectrique. Cet article traitera des phénomènes physiques à l’origine de la photoluminescence des SWNT, et en particulier leurs propriétés excitoniques, l’influence de la structure et de l’environnement sur le spectre de photoluminescence, ainsi que les perspectives d’applications en photonique.
- ARTICLE INTERACTIF
|- 10 oct. 2018
|- Réf : NM8155
Du fait d'un nombre grandissant d'applications commerciales des nanotubes de carbone, les questions relatives à leur impact potentiel sur la santé humaine et sur l'environnement sont toujours d'actualité et font encore l'objet de recherches très actives. Cet article fait le point sur les connaissances actuelles en prenant en compte la diversité des nanoparticules qui se cachent sous la dénomination générale de «nanotubes de carbone». Il ambitionne de traiter la question de manière générale, de l’échelle cellulaire, sur cultures in vitro, à l’échelle complexe de l’écosystème par des approches simplifiées, notamment en micro et mésocosmes.