- Article de bases documentaires
|- 10 mars 2013
|- Réf : M2357
Le scandium, largement dispersé dans la lithosphère, a été produit à l'origine à partir de la thortveitite et, comme sous-produit, à partir de solutions de lixiviation de minerais d'uranium. Il peut aussi être extrait de rejets miniers et de résidus métallurgiques. Les principaux usages du scandium sont les équipements sportifs, les alliages à haute résistance, les lampes à halogène, l'électronique et les lasers. Dans ses applications spécifiques, le scandium n'est pas sujet à des substitutions.
- Article de bases documentaires
|- 10 sept. 2012
|- Réf : M2380
Le molybdène est un métal réfractaire utilisé principalement dans les alliages et les aciers inoxydables. Il est essentiellement issu de la molybdénite (MoS2), présente généralement dans les gisements de porphyres de molybdène ou de cuivre. La molybdénite est flottée pour produire des concentrés de MoS2, qui sont purifiés ou convertis en trioxyde MoO3 par grillage, selon les utilisations industrielles. Le molybdène métal est obtenu à partir de MoO3 pur ou d'un molybdate d'ammonium.
- Article de bases documentaires
|- 10 juin 2011
|- Réf : P2136
Les techniques polarographiques couvrent un large domaine d'applications en analyse et peuvent être utilisées en particulier dans les domaines de l'environnement, de l'analyse de l'eau et des eaux résiduaires, de l'industrie pharmaceutique, alimentaire, cosmétique, pétrolière et nucléaire, de la galvanoplastie, de l'analyse des fluides biologiques et de l'industrie des plastiques et des polymères. Elles sont appliquées à l'analyse de constituants principaux et à l'analyse de traces et d'ultratraces. Elles concernent l'analyse en solution de métaux, de molécules inorganiques, organométalliques ou organiques ou des molécules d'intérêt biologique et biochimique. Elles permettent des analyses multiélémentaires et sont non destructives des solutions analysées puisque les quantités de solutés impliqués dans les mesures polarographiques sont négligeables par rapport aux quantités en solution, permettant ainsi des mesures répétitives sur une même solution. Elles nécessitent quelques millilitres à une cinquantaine de millilitres de solution selon la taille de la cellule électrochimique utilisée et peuvent être appliquées, soit directement sur l'échantillon lorsque c'est une solution, avec éventuellement une adaptation de ses conditions chimiques (ajout d'un électrolyte support, modification du pH, ajout d'un complexant) ou un ajustement des concentrations avec une étape de dilution, soit après une étape de prétraitement de l'échantillon (filtration, extraction, digestion, oxydation, solubilisation, dissolution, purification) pour des matrices complexes ou solides comme c'est le cas pour de nombreuses autres méthodes d'analyse. En pratique, il résulte de l'application des méthodes d'analyse polarographiques la mesure d'un courant ou parfois d'une quantité de charges, à un potentiel caractéristique de l'analyte, proportionnel à sa concentration en solution. Pour les analyses quantitatives, on procède, soit à l'établissement d'une droite d'étalonnage à partir de concentrations connues du soluté à laquelle on se reporte pour la détermination d'une concentration inconnue, soit pour éviter des erreurs de mesures dues aux effets de matrices, à la méthode des ajouts dosés, en effectuant des ajouts de concentrations connues dans la solution contenant le ou les solutés à analyser. Les différentes techniques polarographiques couramment utilisées seront décrites dans cette seconde partie du fascicule en présentant le principe de leurs mises en œuvre, leurs performances (limite de détection, précision, répétabilité des mesures, sélectivité et pouvoir séparateur) et les applications qui les concernent illustrées de quelques exemples pratiques. Ainsi seront abordées la polarographie classique et les techniques de polarographie impulsionnelle qui utilisent une électrode à goutte de mercure tombante (DME ou SMDE) et qui sont adaptées au domaine de concentration allant des centaines de mg · L –1 à la centaine de μg · L –1 . Pour les analyses de traces et d'ultratraces, les méthodes de redissolution anodique et cathodique utilisant une électrode de mercure statique (HMDE, TFME) seront également présentées. La polarographie à tension alternative surimposée n'est plus beaucoup utilisée et tous les appareillages récents ne la proposent pas dans les méthodes disponibles. Cette méthode polarographique ne sera donc pas abordée dans cet article ; pour plus d'information, consulter les références SMITH (D.E.) - AC Polarography and related techniques : theory and practice (Polarographie à tension alternative et techniques couplées : théorie et pratique) . HENZE (G.) - Analytical voltammetry and polarography (Voltampérométrie et polarographie analytiques) . BREYER (B.), BAUER (H.H.) - Alternating current polarography and tensammetry (Polarographie à courant alternatif et tensioampérométrie) . .
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 30 juil. 2014
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- Réf : 0424
Reformuler une idée initiale en ce qu’on appelle un « besoin idéal » est une étape devant être menée avec le plus grand soin. En effet, son résultat garantit ou non d’avoir ciblé un problème à forte légitimité, qui représente un fort potentiel de création de valeur, condition nécessaire à une innovation radicale. Trois outils vous permettent de réexprimer un besoin idéal :
- l’explicitation des causes, du ou des buts et de la pérennité du besoin ;
- le besoin vu comme une fonction de transfert ;
- le besoin vu comme un service de transformation.
La reproblématisation est le deuxième livrable de la méthodologie d’innovation radicale tirée par les usages, Radical Innovation Design® (RID), décrite en détail au travers de différentes fiches pratiques. Elle permet, après le lancement du projet d’innovation grâce au « Carnet de bord de l’investigation », de définir le périmètre du territoire à explorer, avant de s’intéresser aux situations d’usages et aux problèmes/douleurs existants.
Méthodes, outils, pilotage et cas d'étude
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 25 mars 2014
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- Réf : 1278
Dans le soudage des thermoplastiques, les appareils standards générant de l’air chaud utilisent l’air atmosphérique tel que nous le connaissons dans notre environnement, avec tout ce qu’il comporte.
L’air composé d’oxygène, combiné à la chaleur, oxyde les matériaux. Ce phénomène est observé et plus ou moins effectif dans toutes techniques de soudage par fusion de matière.
Cette fiche est un panorama complet des paramètres de soudure directs et connexes.
Un outil incontournable pour comprendre, agir et choisir- Nouveauté !