- Article de bases documentaires
|- 10 juil. 2012
|- Réf : BE9816
Cet article présente deux activités voisines : la liquéfaction de l'hélium et la réfrigération à l'hélium (aussi appelées liquéfaction/réfrigération). Il a pour but de permettre de comprendre le fonctionnement des machines, tout en présentant les méthodes de conception et de construction. Il aborde la description des cycles de base de liquéfaction/réfrigération, puis les calculs simples des paramètres principaux de ces cycles, sur des exemples. Les cycles particuliers pour l'obtention des très fortes puissances ou des températures inférieures à -268,65 °C sont ensuite décrits et commentés. Quelques rappels technologiques succincts sont faits sur les composants principaux, en insistant sur les aspects spécifiques de l'emploi de ces composants pour la réfrigération/liquéfaction. Finalement, le contrôle de procédé est décrit en s'attachant à l'aspect maintien de l'efficacité selon les régimes de fonctionnement.
- Article de bases documentaires
|- 10 mars 2024
|- Réf : J3603
Cet article présente l’évolution de la technologie de liquéfaction de l’hydrogène qui, longtemps dédiée à un marché de niche avec des unités de petites capacités (quelques tonnes par jour), connait un renouveau dans le contexte de la transition énergétique en général et de la mobilité hydrogène en particulier. La liquéfaction de l’hydrogène est un procédé basé sur l’utilisation de cycles frigorifiques. Les propriétés particulières de l’hydrogène imposent des étapes spécifiques inhabituelles par comparaison aux procédés de liquéfaction d’autres gaz.
- Article de bases documentaires
|- 10 déc. 2010
|- Réf : J5210
Technologie ancienne, qui produisait à l’époque des carburants et des bases pour la chimie, la liquéfaction du charbon revient à l’ordre du jour pour sécuriser notre approvisionnement énergétique futur. Les technologies antérieures ont été revues et améliorées en vue de doter le liquéfiat des spécifications requises. Dans la voie directe, un réacteur d’hydroconversion convertit directement le charbon, préalablement broyé et dissout, en liquide. Dans la voie indirecte, le charbon est tout d’abord transformé en gaz de synthèse, puis en un mélange d’hydrocarbures paraffiniques, avant une étape finale d’hydrocraquage isomérisant. Ces deux procédés analytiques présentent des rendements et qualités de produits légèrement différents, pour autant ils ont en commun la problématique de l’émission des gaz à effet de serre.