Janvier 2019
LEDs et lumière bleue : l’homme est-il fait comme un rat ?
Analyse des risques des LEDs et de la lumière bleue sur les Hommes.
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Le silicium est le matériau sur lequel repose toute la technologie des détecteurs matriciels dans le domaine du visible (entre 0,4 et 0,8 μm de longueur d’onde). Il est en effet utilisé aussi bien pour absorber la lumière que pour traiter le signal électrique ainsi généré. À ce jour, l’architecture de lecture dite CMOS (Complementary Metal-Oxyde Semiconductor) s’est imposée pour les applications grand public, même si l’architecture CCD (Charge Coupled Device) reste utilisée pour certaines applications telles que l’astronomie. On trouve couramment des détecteurs matriciels pour le visible de format supérieur au mégapixel (10 3 × 10 3 pixels). Il est même possible d’aller jusqu’à la centaine de mégapixels sans aboutage (10 4 × 10 4 pixels) et jusqu’au gigapixel (10 9 pixels) par aboutage de plusieurs matrices. Dans le domaine infrarouge, il n’est plus possible d’utiliser le silicium comme matériau absorbant. En effet, son énergie de bande interdite ou gap est de 1,12 eV à température ambiante, ce qui rend impossible l’absorption de longueurs d’ondes supérieures à 1,11 μm. Il faut donc se tourner vers d’autres matériaux. Les semiconducteurs candidats ne manquent pas, et il existe en conséquence de nombreuses filières technologiques pour l’infrarouge. Ainsi, le concepteur de caméras infrarouge doit, à chaque nouveau développement, se poser la question du choix de la filière de détecteurs qu’il retiendra, sachant que ce choix influencera les performances de la caméra (sensibilité, résolution, portée…), ses caractéristiques (volume, masse, consommation électrique…) et sa mise en œuvre (besoin éventuel en cryogénie, fréquence de rafraîchissement de l’étalonnage…). L’objectif de cet article est de donner au lecteur les informations nécessaires pour réaliser un choix éclairé en matière de détecteur infrarouge pour des applications en imagerie passive. Nous ne traitons pas ici du cas de l’imagerie active qui nécessite l’utilisation d’un laser en régime impulsionnel combiné à un détecteur spécifique. Nous commençons par rappeler au paragraphe 1 quelques généralités sur l’infrarouge et sur la physique de la détection dans ce domaine spectral. Aux paragraphes 2 et 3 , nous présentons les deux grandes familles de détecteurs infrarouge, à savoir les détecteurs quantiques et les détecteurs thermiques. Dans le paragraphe 4 , nous passons en revue les fonctions de mérite utilisées pour tenter de comparer leurs performances. Nous expliquons ensuite au paragraphe 5 comment modéliser les performances de la brique détecteur pour l’intégrer à un modèle global de performances d’un instrument infrarouge. Enfin, dans le paragraphe 6 , nous présentons un panorama des filières commerciales de détecteurs matriciels et nous concluons sur les tendances actuelles et les évolutions attendues dans les années à venir. Le lecteur trouvera en fin d’article un glossaire et un tableau des sigles et des symboles utilisés.
Les lasers à cascade quantique sont des sources cohérentes qui peuvent émettre dans une bande spectrale qui s’étend de l’infrarouge moyen (quelques micromètres) jusqu’aux THz (quelques centaines de micromètres). Ils exploitent des transitions entre niveaux confinés électroniques issus du confinement spatial dans un puits de potentiel semi-conducteur. Cet article présente les principes de fonctionnement des lasers à cascade quantique, à commencer par les règles fondamentales de l’ingénierie des structures de bande, permettant de réaliser l’inversion de population. Sont ensuite discutées les propriétés de ces lasers, l’état de l’art de leurs performances et quelques applications.
L’émission thermique de lumière par un objet chauffé est souvent prise comme l’exemple du rayonnement incohérent. Ces sources sont réputées émettre de manière isotrope, avoir un spectre large et un temps de réponse long. Elles sont aussi connues pour leur mauvais rendement. La nano-photonique, interaction lumière-matière aux échelles sub-longueur d’onde, permet de révolutionner le concept de source thermique. Cet article aborde les notions principales qui permettent de traiter du rayonnement thermique, et présente des exemples de réalisation de sources chauffées qui peuvent être directionnelles, monochromatiques, rapides, efficaces, ouvrant la voie vers de nouvelles sources infrarouges.
Vous avez un assemblage de pièces complexes, de plaques, de feuilles ou de films à réaliser. Vous recherchez un assemblage permanent et sans nuire à la géométrie initiale des pièces ou sans endommager des composants électroniques ou chimiques avoisinants. Vous voulez mieux connaître la soudure par laser afin de déterminer si elle répondra à vos besoins et à vos exigences de qualité.
L’objectif de cette fiche est donc de définir les principaux termes relatifs à cette technologie et, pour chacun d’eux, de présenter des exemples vous permettant d’appréhender au mieux ces notions et de les situer dans leur contexte.
Un outil incontournable pour comprendre, agir et choisir- Nouveauté !
Cette fiche vous permettra de découvrir et maîtriser les spécificités du soudage à gaz chaud (azote) des thermoplastiques.
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Cette fiche vous permet d’approcher les différentes techniques de prélèvement de polluants atmosphériques. En milieu professionnel, l’employeur doit s’assurer que les concentrations des agents chimiques dangereux ne dépassent pas les valeurs limites d’exposition professionnelle. De plus, certains exploitants d’établissements recevant du public (ERP) doivent également surveiller la qualité de l’air intérieur de leurs locaux.
Cette fiche ne traite pas le cas particulier de l’amiante.
Les fiches pratiques répondent à des besoins opérationnels et accompagnent le professionnel en le guidant étape par étape dans la réalisation d'une action concrète.
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