- ARTICLE INTERACTIF
|- 10 oct. 2017
|- Réf : BE8115
Dans cet article sont décrits les différents types du stockage stationnaire d'électricité associés aux énergies renouvelables intermittentes solaire ou éolienne : dans des batteries pour des sites isolés, pour les véhicules électriques ou pour de l'autoconsommation solaire, mais aussi dans des stations de transfert d'énergie par pompage STEP. Les perspectives de développement technologique et les conditions à respecter pour concevoir et installer un stockage lithium-ion de grande taille sont particulièrement étudiées.
- Article de bases documentaires
|- 10 juil. 2013
|- Réf : BE8572
Les marées, les vagues et les courants marins constituent un réel potentiel énergétique. Historiquement en France, il y a deux exemples principaux d'utilisation de l'énergie marémotrice : l'Usine marémotrice de l'Estuaire de La Rance ainsi que le projet des Îles Chausey. Les hydroliennes sont un autre moyen d'exploiter l'énergie des courants marins. La technologie des hydroliennes est encore au stade expérimental. Les projets les plus avancés concernent essentiellement la Grande-Bretagne.
- Article de bases documentaires : RECHERCHE ET INNOVATION
|- 10 avr. 2014
|- Réf : RE178
Le principe des hydroliennes est économique, mais peu de sites naturels marins ou fluviaux présentent des conditions favorables à leur utilisation et notamment une vitesse de courant suffisante. Pour autant, il est possible de créer de grands bassins à marée adossés au littoral, dont la digue de clôture est ouverte localement sur la mer par de larges chenaux de 1 ou 2 km de longueur perpendiculaires à la digue. Ces chenaux sont équipés de 10 à 20 rangées d'hydroliennes opérant dans des conditions optimales, dont la vitesse du courant. La production électrique peut atteindre, à un coût compétitif, 10 % des besoins mondiaux et 20 % des besoins français. Ces aménagements, rentabilisés par la production électrique, permettent aussi une protection essentielle du littoral contre les niveaux extrêmes défavorables, les tempêtes ou les typhons. Une partie de la surface des bassins peut être utilisée pour un stockage d'énergie très important. Un nom spécifique, les « maréliennes », peut s'appliquer à cette utilisation spécifique.