- Article de bases documentaires
|- 10 janv. 2024
|- Réf : H1205
Les ensembles de données gigantesques de beaucoup d’applications modernes et des techniques matérielles comme l’empilement 3D de puces dans les DRAM HBT ont donné une nouvelle actualité au calcul en mémoire ou calcul près de la mémoire. L’article présente les problématiques correspondantes : localisation du calcul, quantité de calcul, coordination entre CPU et l’accélérateur en ou près de la mémoire. Cinq exemples significatifs récents sont présentés et discutés : le circuit Untether AI Bocqueria, le circuit Cebras WCS-2, le projet Ambit, la puce PIM d’UPMEM et le circuit Aquabolt-XL de Samsung.
- Article de bases documentaires
|- 10 sept. 2024
|- Réf : H4028
Le traitement automatisé de l’information (informatique) s’appuie sur deux concepts de base : le matériel (hardware) et le logiciel (software). Le logiciel, bien qu’objet immatériel, n’existe qu’après avoir été « fabriqué / construit ». Comme toute réalisation humaine, un objet logiciel est soumis à la notion de cycle de vie. C’est-à-dire à enchaîner les étapes suivantes : conception, développement, tests, mise en production, maintenance, retrait. La maîtrise de ces activités est appelée ingénierie du logiciel. Elle fait appel à des méthodes, des bonnes pratiques et des outils. Au niveau international, la capitalisation des connaissances acquises est formalisée dans plusieurs référentiels.
- Article de bases documentaires
|- 10 mars 2024
|- Réf : H8061
Cet article s’intéresse à l'amélioration de la qualité et de la fiabilité du développement de logiciels critiques en avionique, et vise une meilleure intégration plus agile des exigences de certification dans cette démarche. Il propose pour cela un cadre méthodologique, en démontre la conformité aux exigences des normes de certification et suggère un outillage support basé sur des solutions open source et sur étagère pour mettre en œuvre les propositions.
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 09 sept. 2012
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- Réf : 0874
Lorsque l’Institut pour la sûreté de fonctionnement est devenu l’Institut pour la maîtrise des risques (IMDR), il y a eu discussion pour savoir si l’on pouvait vraiment « maîtriser les risques », compte tenu de leur caractère souvent imprévisible.
Approche simple et pratique : on ne peut évidemment pas contrôler le futur de systèmes technico-humains, compte tenu du libre arbitre, de l’effet papillon et autres notions de ce type. Au mieux, on maîtrise un risque (négatif) comme on maîtrise un cheval ou un félin :
- nous avons la connaissance et les moyens nécessaires pour nous rendre compte à temps de tout comportement « anormal » : observation et symptôme sont les maîtres mots ;
- l’environnement dans lequel évolue le système dompteur-cavalier/animal est soit partiellement contrôlable, soit contraint (une cage, un manège, un respect de l’autorité, etc.).
En projet, l’emploi de « maîtrise » est adapté : in fine, les acteurs s’intéresseront davantage aux bénéfices attendus de la prise de risque qu’à la couverture nécessaire des dangers potentiels.
Cette fiche pratique sur le processus de management du risque le plus important pour un chef de projet rappelle les éléments essentiels à mettre en place ainsi que les exigences minimales vis-à-vis des acteurs du risque. Elle considère les risques menaces autant que les risques opportunités : pas de projet sans prise de risque.
Gestion et pilotage du projet : les fiches pour évaluer, planifier, communiquer, capitaliser
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 16 juil. 2017
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- Réf : 1619
Le brevet délivré confère à son titulaire un monopole d’exploitation que les tiers peuvent avoir intérêt à faire tomber ; même lorsque les offices de propriété industrielle pratiquent un examen renforcé des conditions de brevetabilité, le titre délivré n’est jamais à l’abri d’une invalidation par l’autorité judiciaire.
L’action en nullité peut être engagée, soit comme stratégie de défense dans le cadre d’une action en contrefaçon, soit à titre principal en dehors de toute action en contrefaçon, même si l’hypothèse est plus rare en pratique.
L’annulation du brevet présente la particularité d’avoir un effet dit « absolu », c’est pourquoi elle est la voie privilégiée pour faire tomber un brevet gênant.
À ce titre, cette fiche vise à :
- expliciter les conditions d’ouverture et les spécificités de la procédure d’annulation d’un brevet français ou européen, permettant de faire tomber un brevet gênant ;
- présenter les différentes causes d’invalidation d’un brevet français ou européen.
Les fiches pratiques pour protéger vos innovations.