- ARTICLE INTERACTIF
|- 10 déc. 2023
|- Réf : M1465
La technologie du nettoyage par CO 2 dense sous pression apparue dans les années 2000 a fortement évolué durant ces deux dernières décennies. Grâce à une mobilisation importante des centres de recherche, de technologie et d’industriels, des progrès importants, sur la compréhension des milieux denses apolaires et des phénomènes de solubilisation et de l’évolution du matériel, ont permis d’élargir les domaines d’application. Les multiples exemples industriels présentés dans cet article montrent que les procédés au CO 2 sous pression ont atteint une complète maturité. Ils permettent la substitution de procédés existants qui ne répondent plus aux standards environnementaux et sanitaires tout en apportant une solution de très haute qualité.
- Article de bases documentaires
|- 10 déc. 2022
|- Réf : R2265
Cet article traite de la débitmétrie par la méthode ultrasonore en temps de transit. Il s’agit d’une méthodologie de mesure basée sur la propagation d’ondes ultrasonores au sein d’un fluide en écoulement dans une conduite cylindrique pleine fermée. Cette mesure présente la particularité de se décliner sous une forme intrusive - sondes ultrasonores installées dans un élément de tuyauterie - mais également sous une forme non-intrusive - sondes ultrasonores accrochées en paroi externe d’une conduite. L’exactitude des débitmètres basés sur cette technologie dépend fortement des conditions d’installations et du profil de vitesse de l’écoulement à l’endroit de la mesure.
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 08 déc. 2022
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- Réf : 1798
La contribution à l’émission de gaz à effet de serre des dispositifs de production de froid, dont la plupart sont fondés sur l’évaporation d’un fluide – appelé fluide frigorigène – puis sur la compression et la condensation de la vapeur formée, est double :
- une contribution par émission à l’atmosphère des fluides frigorigènes suite à des fuites ou des manipulations lors de la maintenance ou à l’arrêt définitif de l’installation ;
- une contribution associée à la consommation d’énergie électrique du compresseur et des auxiliaires tels que pompes et ventilateurs.
Un ensemble d’obligations réglementaires s’appliquent depuis plusieurs années à l’activité de production de froid et tend à imposer des contraintes nouvelles pour les années à venir.
Comprendre les implications concrètes de la transition énergétique, et bâtir une stratégie d’entreprise à la hauteur de ces enjeux.
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 07 nov. 2023
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- Réf : 1817
La consommation d’énergie primaire de la France s’élève à 2 571 TWh en 2020 (en données non corrigées des variations climatiques). Le bouquet énergétique primaire réel de la France se compose de 40 % de nucléaire, 28 % de pétrole, 16 % de gaz naturel, 14 % d’énergies renouvelables et déchets et 2 % de charbon. À l’exception des énergies hydraulique, photovoltaïque et éolienne (qui représentent à elles trois une somme de 117 TWh), les énergies primaires sont dans un premier temps transformées en énergie thermique puis pour certaines en énergie mécanique et électrique. L’énergie finale alors consommée pour les usages du bâtiment, des transports et de l’industrie, est évaluée à près de 1 600 TWh annuels (année 2020).
Dans cette fiche, nous nous limitons aux usages thermiques strictement industriels (hors production d’électricité) pour les utilités et les procédés de transformation industrielle par l’intermédiaire de chaudières ou de fours.
Comprendre les implications concrètes de la transition énergétique, et bâtir une stratégie d’entreprise à la hauteur de ces enjeux.