- Article de bases documentaires
|- 10 déc. 2012
|- Réf : J1030
Il n´y a pas d´appareil universel susceptible de permettre la détermination des équilibres de phases sous pression quelles que soient les pressions ou températures, ou encore la nature des composés (visqueux, toxiques, corrosifs…). Au contraire de nombreux appareillages ont été conçus pour des applications particulières. Ils ont chacun des avantages et des inconvénients . Une classification comparative est donnée en séparant les méthodes en deux types : celles en circuit fermé et celle en circuit ouvert. Les méthodes du deuxième type font l´objet du dossier suivant [J1031].
- Article de bases documentaires
|- 10 déc. 2012
|- Réf : J1031
Ce dossier paraît à la suite du dossier [J1030] "Mesure des Équilibres de Phases sous Pression. Méthodes en circuit fermé" et s´intéresse ici aux différentes variantes des méthodes en circuit ouvert. Une discussion critique des diverses méthodes permet a l'expérimentateur de choisir la méthode en circuit ouvert ou fermée adaptée à son étude.
- Article de bases documentaires
|- 10 mars 2011
|- Réf : M7221
Les non métaux intervenant en sidérurgie sont peu nombreux, il faut compter essentiellement l’oxygène, l’azote, le soufre et le carbone. A cette liste, il convient d’ajouter le phosphore qui représente une impureté nuisible. Le sujet de cet article traite des équilibres entre deux phases condensées, puis les équilibres de dissolution, pour lesquels une seule phase condensée est en équilibre avec une phase gazeuse. Les expressions d’enthalpies libres en fonction de la température ont été simplifiées pour être utilisables. Elles n’en restent pas moins suffisamment précises dans l'intervalle de températures considéré. Les équilibres entre le métal et chaque non-métal cité sont envisagés, ainsi que les principaux équilibres métal-phosphures.
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 22 mars 2013
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- Réf : 1205
Durant un projet industriel, depuis le démarrage jusqu'à la mise en production (d'un produit) ou à la mise à la disposition des utilisateurs (d'un service), l'entreprise se préoccupe de la performance économique.
Dans la plupart des cas, les projets de développement de produits et/ou de services sont soumis à des aléas, notamment techniques, ou liés aux quantités vendues. Ce que l'on cherche à maîtriser, c'est le gain généré après un certain temps, et au plus tard à la fin de la phase de production du produit et/ou du service. La méthode du bilan cumulé permet de répondre à cette question.
Un outil incontournable pour comprendre, agir et choisir- Nouveauté !
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 13 oct. 2015
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- Réf : 1514
La norme 21504 est une norme générique qui s’applique au management de portefeuilles de projets et de programmes. Comme la 21500, elle s’adresse à tous types d’organismes dans tous les secteurs d’activité. Résultat d’un consensus international, ce fascicule d’une quinzaine de pages présente les principes généraux d’élaboration et de fonctionnement d’un portefeuille de projets et de programmes. La décision et la mise en œuvre d’un portefeuille sont en effet très structurantes pour le management d’un organisme. Il importe donc de mettre toutes les chances de son côté pour la réussite d’une telle opération.
Cette fiche présente les points essentiels de cette norme, et répond à une thématique d’actualité dans les entreprises
Gestion et pilotage du projet : les fiches pour évaluer, planifier, communiquer, capitaliser