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Détection

Détection dans les livres blancs


Détection dans les conférences en ligne


Détection dans les ressources documentaires

  • Article de bases documentaires
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  • 10 mars 2023
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  • Réf : BM7125

Machine-outil

Cet article traite du lien entre les exigences techniques générales de l’usinage et les principaux critères de choix d’une machine-outil. Il s’intéresse également à valider ces choix dans le cadre de l’ultime phase de réception/vérification. Il permet ainsi d’introduire des notions techniques fondamentales et participe à mieux appréhender un investissement dans l’outil productif afin d’éviter de mauvaises surprises en service. La maîtrise des principaux critères de choix d’une machine-outil permet ainsi de contribuer à aboutir à une prédétermination efficace d’un processus techniquement et économiquement viable afin d’être concurrentiel et compétitif.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 août 2024
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  • Réf : BN3767

Comportement des tubes des condenseurs des centrales thermiques

Dans les installations de production d’électricité utilisant un cycle eau-vapeur, le condenseur constitue la source froide du cycle thermodynamique. Après avoir travaillé dans la turbine, la vapeur est condensée par échange thermique au contact d’un faisceau de tubes à l’intérieur desquels circule l’eau de refroidissement  [B 1 540]. L’eau de refroidissement est prise en rivière ou en mer (circuit ouvert) ou est elle-même refroidie par l’air atmosphérique dans un aéroréfrigérant avant d’être réutilisée (circuit fermé). La chimie du circuit secondaire contribue à la maîtrise de l’ensemble des phénomènes de corrosion et de leurs conséquences (en particulier leur impact sur la propreté des générateurs de vapeur). Le condenseur doit donc limiter les risques de pollution par l’eau condensée, que ce soit par introduction d’eau du circuit de refroidissement ou par entrée d’air entraînant une dissolution de l’oxygène dans l’eau condensée. Ainsi l’intégrité du faisceau tubulaire du condenseur joue un rôle prépondérant dans le conditionnement chimique du circuit secondaire. En fonctionnement, la surveillance en continu des paramètres chimiques du circuit secondaire permet de détecter l’entrée de polluants et participe à l’identification de leur origine. Cette surveillance a pour objectif de détecter au plus tôt une dérive de ces paramètres pour enclencher une recherche de l’origine de la pollution. Lorsque cette pollution a pour origine une fuite au niveau d’un tube du faisceau, cette recherche nécessite dans un premier temps d’identifier le module du condenseur dans lequel le tube percé est situé. Différentes méthodes peuvent être mises en œuvre : méthode de scrutation par sodium-mètre, méthode de concentration sur résines ou test global d’étanchéité par hélium. Une fois que le module incriminé est identifié, il est isolé, selon la configuration du condenseur, soit par arrêt de la pompe de circulation l’alimentant en eau de refroidissement ou soit par fermeture des vannes d’isolement situées en amont et en aval du module. Dans le premier cas, il est nécessaire de baisser la charge de l’unité entre 50 et 60 % de sa charge nominale afin de limiter le risque de vibration des tubes (sauf si ce risque vibratoire est pris en compte). Dans le second cas, ce mode de fonctionnement (avec un module isolé) provoque une perte de rendement de l’ordre de un pourcent de la puissance produite. Le module ainsi isolé est vidangé et ouvert. Les tubes sont nettoyés et séchés afin de mettre en œuvre une ou plusieurs des méthodes de recherche de fuite. Parmi ces méthodes, celles nécessitant le vide au condenseur (et donc un maintien de la tranche en fonctionnement) sont distinguées de celles mises en œuvre lorsque l’installation est en arrêt pour maintenance : installation en fonctionnement : test d’étanchéité par hélium, test au savon ou à la mousse, test à la bougie ou à la fumée, bouchons déformables ; installation en arrêt pour maintenance : test au poids d’eau, test par mise en pression ou mise sous vide des tubes. Lorsque la fuite a été identifiée au moyen de l’une de ces méthodes, le tube percé est bouché. Le tube doit avoir été au préalable nettoyé et séché. Les dégradations des tubes peuvent avoir différentes origines. Sont distinguées celles liées à la nuance du tube et à son environnement de celles provoquées par une intervention de maintenance à l’intérieur de la boite à eau ou du corps du condenseur : perte d’épaisseur de la paroi interne du tube en laiton par abrasion régulière provoquée par le passage de l’eau de refroidissement, fissuration du tube par hydruration du titane causée par un mauvais réglage de la protection cathodique de la plaque tubulaire en alliage cupro-aluminium, perte d’épaisseur de la paroi externe par érosion causée par la vapeur issue des corps basse pression de la turbine, fissuration par fatigue vibratoire, etc. ; endommagement des tubes lors des interventions de nettoyage par jet d’eau à haute pression, erreur de bouchage, mauvaise tenue du bouchon, etc. ; chute d’objet sur les tubes du faisceau lors des interventions de maintenance sur la turbine.

  • ARTICLE INTERACTIF
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  • 10 oct. 2021
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  • Réf : E6300

Fibres monocristallines

Cet article revient sur la cristallisation de fibres monocristallines à partir de l’état liquide par le procédé micro-pulling down (µ-PD). Les avancées technologiques récentes dans l’ingénierie des procédés, la maîtrise et le contrôle de la cinétique de cristallisation par la technique µ-PD ont permis d’obtenir d’énormes progrès dans la croissance de fibres monocristallines performantes sur mesure pour un large domaine d’applications, en particulier les lasers et les scintillateurs. La croissance de fibres monocristallines de grenats pour des applications lasers et scintillation, ainsi que de saphir pour la détection des ondes gravitationnelles est détaillée et discutée dans cet article.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 23 févr. 2023
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  • Réf : 0554

Gérer les produits non conformes

La gestion des produits ou services non conformes consiste à mettre en place un traitement pour résoudre la situation détectée. L’ISO 9001 exige la conservation d’informations documentées décrivant la prise en charge des produits ou services non conformes ainsi que les actions menées, et indiquant l’autorité de décision de ces actions.

Une procédure formelle n’est plus exigée par le référentiel ISO 9001 ; cependant des dispositions systématiques et partagées dans toute l’entreprise sont nécessaires pour assurer une gestion efficace des non-conformités, passant par les étapes suivantes :

  • gestion de la détection des produits ou services non conformes et gestion des enregistrements associés ;
  • gestion physique, le cas échéant, des produits ou services non conformes et gestion des enregistrements associés ;
  • gestion de l’analyse de la situation et décision de traitement pour rétablir une situation conforme et gestion des enregistrements associés ;
  • gestion de l’analyse approfondie des causes pour remédier aux non-conformités et éviter leur réapparition.

Amélioration des performances, Certification ISO 9001, Management intégré...

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 06 déc. 2011
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  • Réf : 0586

Appliquer la maîtrise statistique des procédés (MSP)

Vous mettez en œuvre un procédé de fabrication pour élaborer un produit dont les caractéristiques mesurées varient de manière aléatoire en fonction des variations aléatoires des paramètres du procédé. La maîtrise statistique des procédés, MSP, autorise une détection précoce des déviations du procédé avant qu’elles n’aient pu affecter la qualité du produit.

Les bénéfices de la méthode MSP sont :

  • d’aider à différencier les variations « normales » aléatoires du procédé de celles dues à une cause assignable (un déréglage d’un des paramètres opératoires). Cela permet ainsi de n’appliquer une correction que quand cela est nécessaire, et ainsi contribue à stabiliser le procédé et à réduire la variabilité du produit ;
  • de permettre une correction des paramètres opératoires avant que la qualité du produit ne soit affectée et ainsi de réduire les coûts de non-qualité ;
  • de permettre aux opérateurs de mieux « visualiser » la qualité du produit et de savoir quand agir. La responsabilité et l’autonomie des opérateurs peuvent ainsi être améliorées tout en stabilisant mieux la qualité du produit.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 20 mai 2014
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  • Réf : 1263

Détecter les substances sensibilisantes grâce aux tests chez l’animal et chez l’homme

Il est important de savoir utiliser les tests de sensibilisation et de pouvoir interpréter les résultats des études afin de reconnaître et d’évaluer les potentialités allergisantes d’une substance chimique pour l’homme.

La sensibilisation à une substance chimique survient après des contacts répétés, à faibles doses, pendant une période plus ou moins longue. Les réactions de sensibilisation (allergie) se déclenchent d’une manière inattendue lors d’un nouveau contact fortuit avec la substance sensibilisante.

Les tests chez l’animal de laboratoire suivent le même schéma : induction – temps de latence – déclenchement, suivis de la cotation des effets.

Les fiches pratiques répondent à des besoins opérationnels et accompagnent le professionnel en le guidant étape par étape dans la réalisation d'une action concrète.


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