- ARTICLE INTERACTIF
|- 10 août 2021
|- Réf : BM4080
Un certain nombre de procédés industriels ou d’expérimentations nécessite "le vide", c’est à dire une pression très inférieure à la pression atmosphérique. Des pompes à vide et des canalisations permettent d' évacuer le gaz pompé. Cet article explique comment déterminer les points de fonctionnement d’une installation pour concevoir une installation sous vide, choisir les pompes et fixer les dimensions des éléments de canalisation.
- Article de bases documentaires
|- 10 oct. 2024
|- Réf : R2220
Cet article traite des mesures de débit par pression différentielle (ou organes déprimogènes) pour les écoulements en conduites cylindriques fermées en charge. Le principe de mesure consiste à créer localement une restriction de la veine fluide, ce qui crée une différence de pression locale dont la valeur dépend du débit massique. Il existe autant de débitmètres basés sur ce principe que de réalisations géométriquement possibles de cette restriction locale. Les organes déprimogènes les plus utilisés dans l’industrie sont les diaphragmes ou plaques à orifice, les venturis et les tuyères. Les points forts de cette technologie de mesure résident dans le fait qu’elle bénéficie d’une documentation normative importante et d’un retour d’expérience exhaustif.
- Article de bases documentaires
|- 10 déc. 2022
|- Réf : R2265
Cet article traite de la débitmétrie par la méthode ultrasonore en temps de transit. Il s’agit d’une méthodologie de mesure basée sur la propagation d’ondes ultrasonores au sein d’un fluide en écoulement dans une conduite cylindrique pleine fermée. Cette mesure présente la particularité de se décliner sous une forme intrusive - sondes ultrasonores installées dans un élément de tuyauterie - mais également sous une forme non-intrusive - sondes ultrasonores accrochées en paroi externe d’une conduite. L’exactitude des débitmètres basés sur cette technologie dépend fortement des conditions d’installations et du profil de vitesse de l’écoulement à l’endroit de la mesure.
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 15 avr. 2014
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- Réf : 0548
Pour estimer les probabilités d’inflammation, deux approches coexistent :
- la quantification à l’aide de banques de données ;
- la quantification à l’aide de modèles mathématiques.
Dans le cadre des Études De Dangers, l’utilisation de banques de données constitue l’approche la plus répandue. Comme pour d’autres paramètres (exemple : fréquence de fuite), la banque de données retenue doit être justifiée. Hormis, la notoriété de la source retenue, il est important de s’assurer que les valeurs extraites de la banque de données sont bien représentatives du cas étudié. Les probabilités rapportées dans les banques de données sont en effet souvent associées à des critères ou conditions justifiant leur domaine de validité. Dans le cadre d’une Étude De Dangers, avant de recourir aux banques de données pour estimer des probabilités d’inflammation, il est nécessaire de se poser les questions suivantes :
- Quels sont les paramètres pris en compte dans les banques de données qui rapportent des probabilités d’inflammation ?
- Quels sont les points faibles de la quantification de la probabilité d’inflammation à l’aide de banques de données ?
- Quelles sont les banques de données connues de l’Administration (DREAL et/ou DGPR) ?
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