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Capillarité : définition et propriétés

Phénomène physique se traduisant par la montée d'un liquide dans un tube de faible diamètre de la taille d'un capillaire.

Capillarité dans l'actualité

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Capillarité dans les ressources documentaires

  • Article de bases documentaires : RECHERCHE ET INNOVATION
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  • 10 nov. 2014
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  • Réf : IN178
  • Article de bases documentaires
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  • 10 sept. 2017
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  • Réf : M1690

Mouillabilité des surfaces superhydrophobes et superoléophobes

Les surfaces superhydrophobes et superoléophobes sont le plus souvent qualifiées de la sorte par rapport au comportement d’une goutte posée. Cette approche n’est cependant pas représentative d’un grand nombre d’applications pour lesquelles il est nécessaire de connaître la stabilité de ces états non mouillants dans des conditions que la technique de la goutte posée ne permet pas de simuler. Cet article présente ainsi les différents régimes de mouillage de surfaces texturées, des exemples de surfaces non mouillantes, naturelles et synthétiques, ainsi que différentes techniques alternatives à la goutte posée, permettant de caractériser plus en avant la mouillabilité de telles surfaces.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 sept. 2017
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  • Réf : M67

Tension superficielle des métaux liquides et capillarité

Cet article définit la tension de surface ? d’un liquide et précise son origine physique à l’aide d’un modèle atomistique. L’influence de la tension de surface des métaux liquides sur différents phénomènes capillaires (mouillage, infiltration, convection Marangoni) est mise en évidence. Les principales méthodes de mesure de ? des métaux sont brièvement décrites et comparées. Les valeurs sélectionnées de ? et du coefficient de température d?/dT sont présentées pour un grand nombre de métaux purs. L’influence de l’oxygène et des éléments d’alliage sur ? et d?/dT est discutée et illustrée.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 18 mai 2014
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  • Réf : 0315

Capitaliser les innovations

Votre organisation innove et/ou crée :

  • des solutions fonctionnelles ;
  • des procédés de fabrication ;
  • des modes de production (schémas industriels) ;
  • des offres produits ;
  • de nouveaux positionnements sur le marché ;
  • des évolutions de processus, méthodes et outils ;
  • des solutions à des problèmes techniques…

Et il s’agit d’assurer :

  • la transmission optimale des innovations vers les équipes et les acteurs devant exploiter et transformer celles-ci dans le cadre de développements – par exemple pour leur implémentation opérationnelle chez les clients ;
  • l’intégration de ces nouveaux éléments de savoir-faire dans le patrimoine existant ;
  • leur « sauvegarde » adéquate en vue d’une réutilisation ultérieure, dans le cas où une innovation est temporairement mise de côté ;
  • la construction d’un socle robuste pour la mise au point et/ou l’exploitation de nouveaux axes d’innovation (innovation incrémentale) ;
  • une formalisation conforme au cadre de la protection intellectuelle (dépose de brevet, etc.).

La capitalisation fait partie intégrante du cycle d’innovation, c’est-à-dire du développement du savoir-faire des entreprises : innovation et capitalisation représentent ensemble les capacités d’apprentissage de l’entreprise.

Méthodes, outils, pilotage et cas d'étude

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 06 août 2012
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  • Réf : 0962

Améliorer vos assemblages actuels

Votre projet de conception de produit comprend les assemblages de différentes pièces. Vous êtes régulièrement confronté à des non-conformités dans les assemblages que vous produisez et souhaitez les améliorer.

Pour accroître les performances de vos assemblages, vous devez :

  • contrôler l’assemblage et analyser les problèmes de fracture ;
  • anticiper les principaux facteurs d’échec ;
  • agir sur les paramètres de l’assemblage.

Un outil incontournable pour comprendre, agir et choisir- Nouveauté !

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 25 mars 2014
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  • Réf : 1278

Découvrir la soudure au gaz chaud (azote)

Dans le soudage des thermoplastiques, les appareils standards générant de l’air chaud utilisent l’air atmosphérique tel que nous le connaissons dans notre environnement, avec tout ce qu’il comporte.

L’air composé d’oxygène, combiné à la chaleur, oxyde les matériaux. Ce phénomène est observé et plus ou moins effectif dans toutes techniques de soudage par fusion de matière.

Cette fiche est un panorama complet des paramètres de soudure directs et connexes.

Un outil incontournable pour comprendre, agir et choisir- Nouveauté !


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