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Abrasion

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Abrasion dans les ressources documentaires

  • Article de bases documentaires
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  • 10 janv. 2009
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  • Réf : BM7052

Usinage par abrasion

Basées sur l'utilisation de grains d'abrasifs libres ou liés entre eux (meules) ou à un support (bandes, papier…), les opérations d'usinage par abrasion (abrasive machining) sont extrêmement variées : elles vont des opérations d'écriquage à la meule des brames ou blooms d'acier élaborés par coulée continue à la réalisation par polissage des circuits micro-électroniques ou des pièces d'optique de haute résolution, en passant par la fabrication ou la finition par rectification des pièces mécaniques de toutes sortes (outils de mise en forme par déformation plastique des métaux ou par injection des polymères, pièces de roulements, éléments de machines…), le ponçage du bois, le polissage du marbre et du granit… Ainsi, certains auteurs estiment que le coût des seules opérations de rectification représente 20 à 25 % du coût des opérations d'usinage dans un pays industrialisé. Par ailleurs, le travail par abrasion est la seule possibilité économique pour : usiner les matériaux de très hautes dureté et/ou de haute fragilité : aciers à roulement martensitiques, aciers rapides dans l'état métallurgique d'utilisation, alliages réfractaires, carbures métalliques, verres, céramiques ; réaliser les très faibles rugosités (de l'ordre du nm) indispensables à certaines applications optiques, microélectroniques, micromécaniques… Il faut noter enfin que les interactions entre les grains abrasifs et la pièce usinée sont très proches des interactions entre pièces frottantes qui conduisent à leur usure par abrasion, un des modes d'usure les plus importants des outils de mise en forme (cylindres de laminoir, matrices de forgeage, filières de filage et tréfilage…), des éléments de machines ou des produits manufacturés. Les performances des procédés d'usinage par abrasion ne cessent de s'améliorer du fait des besoins industriels croissants. Toutefois, malgré leur grande importance économique, les procédés d'usinage à l'abrasif restent largement méconnus et leurs aspects scientifiques mal compris et mystérieux. Cet article, consacré aux aspects mécaniques de l'abrasion, a pour objectif de commencer un bilan des connaissances scientifiques sur ce type d'usinage ; le lecteur pourra également se reporter aux articles spécialisés de la présente rubrique pour une description plus précise des modalités de mise en œuvre des divers procédés. Les méthodes d'étude expérimentale et théorique des phénomènes microscopiques impliqués dans l'abrasion feront l'objet de l'article  [BM 7 053] (avril 2009), deuxième partie de ce dossier sur l'usinage par abrasion.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 avr. 2009
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  • Réf : BM7053

Usinage par abrasion

Basées sur l'utilisation de grains d'abrasifs libres (abrasion à trois corps) ou liés entre eux (meules) ou à un support (abrasion à deux corps), les opérations d'usinage par abrasion (abrasive machining) sont extrêmement variées et d'un très grand intérêt pratique : opérations d'écriquage à la meule des brames ou des blooms d'acier élaborés par coulée continue, fabrication ou finition par rectification des pièces mécaniques de toutes sortes (outils de mise en forme par déformation plastique des métaux ou par injection des polymères, pièces de roulements, éléments de machines...), ponçage du bois, polissage du marbre, du granit..., réalisation par polissage des circuits microélectroniques ou des pièces d'optique de haute résolution. Par ailleurs, le travail par abrasion est la seule possibilité économique pour : usiner les matériaux de très hautes dureté et/ou de haute fragilité : aciers à roulement martensitiques, aciers rapides dans l'état métallurgique d'utilisation, alliages réfractaires, carbures métalliques, verres, céramiques ; réaliser les très faibles rugosités (de l'ordre du nm) indispensables à certaines applications. Il faut noter que les interactions entre les grains abrasifs et la pièce usinée sont très proches des interactions entre pièces frottantes qui conduisent à leur usure par abrasion, un des modes d'usure les plus importants des outils de mise en forme, des éléments de machines ou des produits manufacturés. Les performances des procédés d'usinage par abrasion ne cessent de s'améliorer du fait des besoins industriels croissants. Toutefois, malgré leur grande importance économique, les procédés d'usinage à l'abrasif restent largement méconnus et leurs aspects scientifiques mal compris et mystérieux. L'article [BM 7 052] , première partie de ce dossier sur l'usinage par abrasion, présente les principaux procédés et effectue quelques rappels sur la rhéologie des matériaux. Il énonce la loi de Preston-Archard, montre comment elle permet une analyse mécanique à l'échelle macroscopique des procédés d'usinage par abrasion, en prenant pour exemple le rodage, et en discute l'origine physique. L'objectif de cet article [BM 7 053] est de décrire plus en détail les phénomènes mécaniques impliqués à l'échelle microscopique dans l'usinage par abrasion et, ainsi, fournir des modèles d'estimation de la vitesse d'abrasion k de la loi de Preston-Archard et l'état de surface final des pièces. Pour cela, il décrit les modalités de mise en œuvre et les résultats des diverses méthodes d'étude expérimentale et théorique des phénomènes impliqués dans l'abrasion ; il s'agit de deux types d'essais : les essais de rayure qui permettent l' étude directe des phénomènes élementaires en abrasion deux corps en simulant l'interaction entre un matériau, ductile ou fragile, et un abrasif de cinématique et de forme connues ; les essais d'abrasion qui permettent de rendre compte des phénomènes à l'échelle globale en abrasion deux corps et trois corps réalisée en mode ductile comme en mode fragile. Cet article est consacré aux aspects mécaniques de l'abrasion. Les aspects thermiques qui concernent principalement la rectification et y jouent un grand rôle seront présentés dans un autre article dédié à la rectification. Les phénomènes chimiques, quant à eux, sont présents et exploités dans le procédé de polissage chimio-mécanique et le point des connaissances à ce sujet sera effectué dans un article consacré au polissage. Un tableau des notations et symboles est présenté en fin d'article.

  • Article de bases documentaires : RECHERCHE ET INNOVATION
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  • 10 oct. 2013
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  • Réf : RE237

Méthodologie spécifique à l'usinage des composites par jet d'eau abrasif

Le protocole expérimental d'usinage par jet d'eau abrasif (JEA) proposé et validé sur une pièce isotrope (aluminium) est adapté aux matériaux composites. Sont mises en exergue deux différences majeures liées à l'effet du JEA entre les composites et l'aluminium que sont l'usinabilité et les variabilités. L'usinabilité des matériaux composites étant plus importante que celle de l'aluminium pour le JEA, des plages de paramètres d'usinage différentes sont retenues pour les composites. Plusieurs modèles concernant, d'une part, le débit d'abrasif optimal et, d'autre part, la vitesse d'avance en fonction des paramètres de coupe, sont donc proposés, ainsi qu'un modèle unique applicable aux deux matériaux. Pour finir, la pertinence du procédé d'usinage et des modèles identifiés en présentant des applications industrielles est illustrée.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 20 mai 2014
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  • Réf : 1170

Comment se traduit l’action localisée des substances chimiques sur l’organisme ?

L’action toxique locale d’une substance chimique peut se traduire par une action néfaste localisée à l’endroit de contact avec l’organisme (voies respiratoires, peau, œil).

Elle est le résultat de contacts accidentels et limités dans le temps à concentrations/doses élevées.

La tolérance locale est un problème d’innocuité à court terme.

Il vous faut comprendre les mécanismes d’irritation et de corrosion respiratoire, cutanée et oculaire afin de savoir choisir les tests qui permettront d’évaluer le danger d’irritation et de corrosion. Vous pourrez ainsi procéder au classement et à l’étiquetage des substances chimiques et mettre en place les moyens de prévention adaptés.

Les fiches pratiques répondent à des besoins opérationnels et accompagnent le professionnel en le guidant étape par étape dans la réalisation d'une action concrète.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 25 mars 2014
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  • Réf : 1279

La soudure par friction linéaire ou vibration

La soudure par frottement permet d’assembler par simples déplacements linéaires relatifs deux pièces de matière thermo-fusibles compatibles. Le principe fonctionne donc pour tous les matériaux quels qu’ils soient mais, dans ces fiches pratiques, nous nous limiterons aux assemblages de pièces en thermoplastique.

Recherchons les paramètres pertinents en essayant d’expliquer l’environnement matériel de ce procédé de soudage.

  • Vous connaissez la soudure des thermoplastiques, mais vous ne connaissez pas la soudure par friction linéaire.
  • Vous avez des pièces en 3D injectées et vous souhaitez les assembler.
  • Vos pièces sont longues ou volumineuses ; vous ne réussissez pas à les souder en ultrason.
  • Vous devez changer de technologie et la soudure par vibration peut être une solution.

Avec les thermoplastiques, et lorsque toutes les conditions sont réunies, la soudure par vibration permet d’obtenir des soudures très résistantes et étanches à l’air.

  • Comment y parvenir ?
  • Quelle machine choisir ?
  • Quels types de problèmes rencontre-t-on ?
  • Sur quels paramètres agir alors ?

Un outil incontournable pour comprendre, agir et choisir- Nouveauté !

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 31 mars 2014
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  • Réf : 1282

Stratégie de l’innovation : la DFHN (définition fonctionnelle de haut niveau)

Pour une entreprise qui élabore une stratégie d’innovation, le point de départ du processus consiste à se poser cette question de fond : quelle est la finalité des produits et/ou services qu’elle souhaite vendre aux clients ?

La réponse passe par une réflexion conduisant à établir la « définition fonctionnelle de haut niveau » (DFHN). La définition fonctionnelle (DF) – ainsi que la méthodologie associée – sont par ailleurs connues dans l’AVF (analyse de la valeur fonctionnelle), et plus généralement dans la gestion de projets. Cependant, la définition fonctionnelle de haut niveau est une approche élargie aux différentes gammes et lignes de produits et/ou services fournis, voire à l’entreprise elle-même.

Un outil incontournable pour comprendre, agir et choisir- Nouveauté !


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