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Chimie industrielle

Chimie industrielle dans les livres blancs


Chimie industrielle dans les conférences en ligne


Chimie industrielle dans les ressources documentaires

  • Article de bases documentaires
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  • 10 déc. 2023
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  • Réf : COR1000

Inhibiteurs de corrosion dans le traitement des circuits d’eau

Un inhibiteur de corrosion est une substance chimique qui, ajoutée en concentration appropriée dans un système soumis à la corrosion, diminue la vitesse de corrosion sans changer la concentration en agent corrosif. Les inhibiteurs de corrosion sont rarement utilisés seuls. Ils sont souvent associés à des inhibiteurs d’entartrage, à des réactifs modifiant sensiblement le milieu (pH et conductivité principalement) et à des biocides. L’emploi de ces produits a souvent un effet sur les processus d’inhibition de la corrosion. Leur rôle et leur mode d’action sont présentés dans cet article. L’emploi d’un inhibiteur doit être conforme à la législation. Les textes à consulter sont précisés chaque fois que nécessaire.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 déc. 2024
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  • Réf : J8080

Usines chimiques miniaturisées en flux

Les caractéristiques des réacteurs miniaturisés à flux continu leur permettent de s’affranchir de certaines limites des réacteurs batch macroscopiques classiques pour la synthèse chimique, avec des résultats impressionnants en chimie fondamentale comme en production. Après avoir présenté les propriétés des réacteurs fluidiques, cet article décrit leur apport en sécurité et leur application en maîtrise de composés toxiques d’une part et en synthèse d’actifs pharmaceutiques d’autre part, en mettant l’accent sur l’aspect « usine miniature autonome ».

  • Article de bases documentaires
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  • 10 oct. 2024
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  • Réf : M7600

Aciéries

Depuis les inventions qui ont lancé la sidérurgie entre 1850 et 1900, les techniques d’aciérie ont connu des développements spectaculaires, mus essentiellement par les besoins croissants en acier, en quantité et en qualité. Cet article retrace les grandes étapes de ces développements, marqués après 1950 par l’utilisation d’oxygène pur au convertisseur, l’apparition des mini-aciéries électriques, et la naissance de la métallurgie en poche. Il montre en particulier comment le four électrique est devenu un outil hautement productif et polyvalent à la fois pour les matières premières et les sources d’énergie.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 31 mars 2015
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  • Réf : 1422

La formation continue du personnel

La formation continue est utile, voire indispensable quel que soit le métier pratiqué, et ceci pour au moins deux raisons. La première c’est que les technologies évoluent et que tous les cinq ans au minimum il faut « apprendre les nouveautés ». La seconde est liée au fait que les collaborateurs de l’entreprise changent d’activité, soit dans la même entreprise, soit en changeant d’entreprise. Dans les deux situations, la formation complémentaire est tout indiquée. Mais il peut y avoir également d’autres raisons. La pratique du métier de métrologue nécessite aussi, et pour les raisons citées, une formation continue des opérateurs et des managers.

Les fiches pratiques répondent à des besoins opérationnels et accompagnent le professionnel en le guidant étape par étape dans la réalisation d'une action concrète.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 02 avr. 2015
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  • Réf : 1469

La mole et le système international d’unités (SI)

La métrologie est la « science des mesures et ses applications » (VIM §2.2). En fait, historiquement, la métrologie avait plutôt un but politique : il s’agissait d’instaurer un système unique d’unités de mesure qui régulerait les activités techniques et économiques d’un pays. C’est en Chine, durant le 2siècle avant JC, qu’aurait eu lieu la création d’un premier système unique de mesure et de monnaie. Aujourd’hui, on parle de système international d’unités ou SI car la grande majorité des pays l’ont adopté. Il existe cependant quelques persistances obsolètes, comme le gallon ou le mile aux États-Unis, ou le baril pour les pétroliers et le degré Celsius en chimie.

Si vous êtes dans un laboratoire accrédité, régulièrement audité par le CoFRAC, la norme ISO 17025 vous demande « d’assurer la traçabilité des étalonnages et des mesurages effectués par le laboratoire par rapport au système international d’unités (SI) ». En conséquence, il n’est pas inutile de se pencher sur la façon dont fonctionne le SI.

Les fiches pratiques répondent à des besoins opérationnels et accompagnent le professionnel en le guidant étape par étape dans la réalisation d'une action concrète.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 07 nov. 2023
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  • Réf : 1817

Produire de la chaleur à faible contenu carbone pour les usages industriels

La consommation d’énergie primaire de la France s’élève à 2 571 TWh en 2020 (en données non corrigées des variations climatiques). Le bouquet énergétique primaire réel de la France se compose de 40 % de nucléaire, 28 % de pétrole, 16 % de gaz naturel, 14 % d’énergies renouvelables et déchets et 2 % de charbon. À l’exception des énergies hydraulique, photovoltaïque et éolienne (qui représentent à elles trois une somme de 117 TWh), les énergies primaires sont dans un premier temps transformées en énergie thermique puis pour certaines en énergie mécanique et électrique. L’énergie finale alors consommée pour les usages du bâtiment, des transports et de l’industrie, est évaluée à près de 1 600 TWh annuels (année 2020).

Dans cette fiche, nous nous limitons aux usages thermiques strictement industriels (hors production d’électricité) pour les utilités et les procédés de transformation industrielle par l’intermédiaire de chaudières ou de fours.

Comprendre les implications concrètes de la transition énergétique, et bâtir une stratégie d’entreprise à la hauteur de ces enjeux.


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