Présentation

Article

1 - DÉCOUVERTE ET ÉVOLUTION DE LA TECHNIQUE

2 - CARACTÉRISTIQUES DE LA PRÉCIPITATION STRUCTURALE

3 - MÉTHODES EXPÉRIMENTALES D’ÉTUDE DE LA PRÉCIPITATION STRUCTURALE

  • 3.1 - Métallographie optique et microscopie
  • 3.2 - Diffraction des rayons X et des neutrons
  • 3.3 - Méthodes physiques macroscopiques

4 - MÉCANISMES DE PRÉCIPITATION

5 - SÉQUENCES DE PRÉCIPITATION DES ALLIAGES D’ALUMINIUM TREMPANTS

6 - MÉCANISMES PHYSIQUES DU DURCISSEMENT PAR PRÉCIPITATION

7 - CONCLUSION

8 - ANNEXE : IMAGES DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE EN TRANSMISSION ET DIAGRAMMES DE MICRODIFFRACTION ÉLECTRONIQUE

Article de référence | Réf : M240 v1

Caractéristiques de la précipitation structurale
Durcissement par précipitation des alliages d’aluminium

Auteur(s) : Bruno DUBOST, Pierre SAINFORT

Date de publication : 10 oct. 1991

Pour explorer cet article
Télécharger l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !

Sommaire

Présentation

Version en anglais English

Auteur(s)

  • Bruno DUBOST : Ingénieur des Arts et Manufactures - Master of Science (MIT) - Direction de la Recherche et du Développement Pechiney

  • Pierre SAINFORT : Ingénieur des Arts et Manufactures - Docteur-Ingénieur de l’Institut Polytechnique de Grenoble - Centre de Recherche de Voreppe SA Pechiney

Lire cet article issu d'une ressource documentaire complète, actualisée et validée par des comités scientifiques.

Lire l’article

INTRODUCTION

Afin de respecter le langage des professionnels, nous employons, dans cet article, certains symboles et noms de grandeurs en désaccord avec la normalisation.

Ainsi, nous parlons de concentration en soluté pour désigner la fraction massique en soluté et nous notons fV et f m respectivement la fraction volumique et la fraction molaire alors que les normes préconisent ϕ et x.

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 93% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-m240


Cet article fait partie de l’offre

Étude et propriétés des métaux

(202 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

Doc & Quiz

Des articles interactifs avec des quiz, pour une lecture constructive

ABONNEZ-VOUS

Version en anglais English

2. Caractéristiques de la précipitation structurale

2.1 Critères de composition et séquence de traitements thermiques des alliages

Considérons un alliage binaire aluminium-élément Al-M (figure 2 a ). Pour qu’il soit apte au durcissement par précipitation, il faut que l’élément d’alliage dans la matrice d’aluminium à l’état solide présente une solubilité croissante avec la température. Pour simplifier, nous supposons qu’il existe pour cet alliage une réaction eutectique à la température T E pour la concentration x E . Le rapport des pentes moyennes du liquidus et du solidus, appelé coefficient de partage, est alors inférieur à 1. Il s’agit du cas le plus général pour les alliages d’aluminium à durcissement structural élaborés par solidification classique (Diagrammes d’équilibre : alliages binaires dans ce traité). De nombreux alliages hypertrempés depuis l’état liquide (c’est-à-dire solidifiés très rapidement) et aptes au durcissement par précipitation (par exemple Al-Cr, Al-Zr) font toutefois exception à cette règle et ont un coefficient de partage supérieur à 1.

À l’aide de la figure 2 a , portons l’alliage de concentration x 1 (concentration inférieure à la limite de solubilité x S de l’élément d’addition) à une température T 1 supérieure à la température de solvus T S pendant une durée suffisante pour atteindre l’équilibre thermodynamique et donc obtenir une mise en solution totale des atomes de soluté M.

  • Si l’alliage est refroidi très lentement depuis la température T 1 jusqu’à une température inférieure à T S , la solution solide de M dans l’aluminium, qui conserve sa structure cubique à faces centrées (désignée par α), tend à se décomposer sous forme de particules plus ou moins grossières du composé intermétallique stable ...

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 93% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

Cet article fait partie de l’offre

Étude et propriétés des métaux

(202 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

Doc & Quiz

Des articles interactifs avec des quiz, pour une lecture constructive

ABONNEZ-VOUS

Lecture en cours
Caractéristiques de la précipitation structurale
Sommaire
Sommaire

BIBLIOGRAPHIE

  • (1) - WILM (A.) -   Recherches sur la métallurgie physique des alliages aluminium-magnésium.  -  Métallurgie 8, p. 225-7 (1911).

  • (2) - MERICA (P.D.), WATTENBURG (R.G.), SCOTT (R.) -   Heat Treatment of Duralumin.  -  Sci. Paper US Bureau of Standards, 15, p. 271 (1919).

  • (3) - GUINIER (A.) -   Un nouveau type de diagramme de rayons X.  -  CR Acad. Sci. 226, p. 1641-3 (1938).

  • (4) - PRESTON (G.D.) -   The Diffraction of X-Rays by Age-Hardened Al-Cu Alloys.  -  Proc. Royal Soc., A 167, p. 526-38 (1938).

  • (5) - MOTT (N.F.), NABARRO (F.R.N.) -   *  -  Proc. Phys. Soc., 52, p. 86 (1940).

  • (6) - OROWAN (E.) -   Symposium on Internal Stresses in Metals and Alloys Session III Discussion. Institute of Metals.  -  London, p. 451 (1948).

  • ...

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 93% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

Cet article fait partie de l’offre

Étude et propriétés des métaux

(202 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

Doc & Quiz

Des articles interactifs avec des quiz, pour une lecture constructive

ABONNEZ-VOUS