Présentation

Article

1 - PRINCIPE DU MOTEUR À INDUCTION À ROTOR MASSIF

2 - COMPTEURS À COURANT ALTERNATIF MONOPHASÉ. RÉALISATION PRATIQUE

3 - COMPTEURS À COURANTS ALTERNATIFS POLYPHASÉS. RÉALISATION PRATIQUE

4 - COMPTEURS D’ÉNERGIE RÉACTIVE ET APPARENTE

5 - COMPTEURS À INDICATEUR DE MAXIMUM

Article de référence | Réf : D4953 v1

Compteurs à indicateur de maximum
Compteurs à courant alternatif - Compteurs électromécaniques

Auteur(s) : Pierre FERRAND

Date de publication : 10 févr. 2004

Pour explorer cet article
Télécharger l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !

Sommaire

Présentation

Version en anglais English

RÉSUMÉ

Les compteurs électromécaniques à courant alternatif sont très répandus. Techniquement ce sont des petits moteurs à induction à rotor massif, qui a la forme d’un disque. Après avoir décrit le principe du moteur à induction à rotor massif, cet article présente pour chaque type de compteur, les principes, la compensation et des exemples de réalisation. Quatre types de compteurs sont traités, pour les courants alternatifs monophasés et polyphasés, pour l'énergie réactive et apparente, et les compteurs à indicateur de maximum.

Lire cet article issu d'une ressource documentaire complète, actualisée et validée par des comités scientifiques.

Lire l’article

Auteur(s)

  • Pierre FERRAND : Ingénieur de l’École Nationale Supérieure d’Électricité et de Mécanique (ENSEM)

INTRODUCTION

Actualisation du texte de P. Mercier paru dans ce traité en 1992.

L ’article « Compteurs à courant alternatif » fait l’objet de plusieurs fascicules :

  • « Généralités »  ;

  • « Compteurs électromécaniques » [D 4 953] ;

  • « Compteurs électroniques » .

Partout sauf en France, les compteurs électromécaniques à courant alternatif font l’objet d’une utilisation massive et, chaque année dans le monde, les compteurs d’énergie active, ou wattheuremètres, sont fabriqués par millions.

Ces compteurs sont du type à induction, c’est-à-dire que ce sont de petits moteurs à induction à rotor massif, ce dernier ayant la forme d’un disque.

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 94% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-d4953


Cet article fait partie de l’offre

Réseaux électriques et applications

(178 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

Doc & Quiz

Des articles interactifs avec des quiz, pour une lecture constructive

ABONNEZ-VOUS

Version en anglais English

5. Compteurs à indicateur de maximum

5.1 Domaine d’application

Dans la tarification des clients industriels, il est fréquent d’intégrer dans la facture un terme dépendant de la puissance. Celui-ci peut alors concerner soit une puissance réellement atteinte, soit une puissance théorique. Dans tous les cas, il est nécessaire de mesurer la puissance maximale atteinte au cours d’une ou plusieurs périodes de référence. Cette mesure est réalisée par un appareil intégré au compteur et appelé indicateur de maximum.

L’indicateur de maximum mesure en fait l’énergie consommée sur un court intervalle de temps, appelé période d’intégration, dans la pratique selon le pays, 10 min, 15 min, 30 min ou une heure, et calcule la puissance moyenne consommée sur cet intervalle. Il compare ensuite les valeurs mesurées et n’affiche que la plus grande qui est appelée maximum de puissance. Le traitement de cette grandeur varie selon le type de tarification qui est appliqué.

HAUT DE PAGE

5.2 Principe de fonctionnement

Au début de chaque période d’intégration, un doigt mécanique, partant d’une position de repos, est mû par l’arbre du compteur et entraîne un dispositif indicateur à friction (aiguille ou minuterie). À la fin de la période d’intégration, le doigt d’entraînement est ramené à sa position initiale, grâce à un embrayage et un dispositif de rappel (ressort ou moteur) commandés par une horloge, un moteur synchrone ou un signal de télécommande, puis est entraîné à nouveau pendant la période suivante. Le dispositif indicateur reste, lors du retour du doigt, dans la position extrême qu’il a atteinte et garde ainsi la mémoire de la puissance maximale constatée au cours des périodes d’intégration écoulées. En inspectant, par exemple chaque mois, la position de cet indicateur, on connaît la puissance moyenne maximale atteinte le mois précédent sur une période d’intégration et on remet à zéro cet indicateur à friction qui est alors prêt à indiquer le maximum atteint au cours du mois à venir.

Un tel système est encore largement utilisé mais il nécessite, si l’on veut être rigoureux, que les relevés des compteurs soient effectués à des dates fixes....

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 93% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

Cet article fait partie de l’offre

Réseaux électriques et applications

(178 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

Doc & Quiz

Des articles interactifs avec des quiz, pour une lecture constructive

ABONNEZ-VOUS

Lecture en cours
Compteurs à indicateur de maximum
Sommaire
Sommaire

BIBLIOGRAPHIE

  • (1) - ALLANO (S.) -   Petits moteurs électriques.  -  D 3 720 Traité Génie électrique, juin 1995.

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 92% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

Cet article fait partie de l’offre

Réseaux électriques et applications

(178 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

Doc & Quiz

Des articles interactifs avec des quiz, pour une lecture constructive

ABONNEZ-VOUS