Article de référence | Réf : C3614 v1

Mise en œuvre évoluée
Fenêtres et portes extérieures bois - Mise en œuvre

Auteur(s) : Marcel DENANCÉ

Date de publication : 10 août 2004

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Auteur(s)

  • Marcel DENANCÉ : Ingénieur ESB, Expert Menuiserie - Panneaux au Centre technique du bois et de l’ameublement

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INTRODUCTION

Comme son nom l’indique, la mise en œuvre consiste à mettre l’ouvrage de menuiserie dans le premier œuvre qu’est le mur. Elle est codifiée dans le Document Technique Unifié (DTU) 36.1 (référence Afnor DTU P 23-201).

Tout en étant conforme aux règles de l’art, la mise en œuvre peut être d’une conception traditionnelle ou plus évoluée.

Toutefois, avant de mettre en œuvre, il convient de choisir l’ouvrage adapté.

Remarque : ce document traite de tous les travaux de menuiserie tant extérieure (fenêtres, portes, volets…) qu’intérieure.

La pose des fenêtres commence par le choix des performances en fonction de l’exposition du site où elles vont être mises en place.

Cette partie a été traitée dans la partie [C 2 610, § 1.3] (DTU 36.1/ 37.1 ou FD P 20-201).

Nota :

La rubrique « Fenêtres et portes extérieures » se compose des articles suivants :

  • Fonctions de base et terminologie  ;

  • Conceptions des profils de la liaison ouvrant-dormant  ;

  • Techniques d’assemblage  ;

  • Remplissages. Profilés d’étanchéité  ;

  • Mise en œuvre [C 3 614] ;

  • Rôle thermique. Choix du bois  ;

  • Stabilité des portes extérieures et portes-fenêtres .

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De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-c3614


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2. Mise en œuvre évoluée

Exception faite de la pièce d’appui, la mise en œuvre traditionnelle prévoit des calfeutrements dits « à un étage », c’est-à-dire assurant l’étanchéité à l’air et à l’eau.

Par ailleurs, la disposition des menuiseries au nu des doublages intérieurs conduit à la mise en place de fourrures, créant ainsi un périmètre de joint supplémentaire à étancher.

Il s’ensuit que la réalisation doit être parfaite car les calfeutrements se trouvent dans le clos. De plus, il faudrait que les calfeutrements réalisés ne vieillissent pas ou soient rigoureusement entretenus ; aucun de ces deux cas ne se rencontre dans la pratique courante.

L’autre démarche consiste à réaliser un joint « à deux étages » sur toute la périphérie du dormant (croquis figures 4 et 5) :

  • arrêt d’eau dans le plan du nu extérieur du dormant ;

  • rupture de capillarité dans l’épaisseur du dormant ;

  • barrière de perméabilité à l’air à partir du nu intérieur du dormant.

Il s’agit en fait d’une conception identique, dans le principe, à celle proposée pour la liaison entre ouvrant et dormant.

Ce montage conduit à abandonner la pose du dormant en applique sur le mur et à proposer, à la place, une pose en tableau (dite aussi en tunnel). La pose peut se faire aussi bien de l’intérieur (fourrures intérieures avec recouvrement sur le nu intérieur du mur) que de l’extérieur (pose sur précadre servant alors de feuillure extérieure).

Les figures 4 et 5 montrent :

  • l’isolation intérieure (pose de l’intérieur et de l’extérieur) ;

  • l’isolation extérieure (pose de l’extérieur, associée à celle de l’isolation).

La conception fait aussi que la menuiserie est plus petite que la baie alors que, dans la méthode traditionnelle, elle est plus grande (typiquement + 6 cm en largeur et + 3 cm en hauteur). Si ce changement présente des inconvénients au niveau des habitudes, il permet de mieux s’affranchir des tolérances d’exécution des baies.

Mais la conception présente...

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