Bibliographie & annexes
Présentation
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RÉSUMÉ
Cette étude de cas permet d'appréhender scientifiquement la pathologie survenue, en moins de 10 ans, sur les murs d'un ensemble pavillonnaire R +1. L'étude hygrothermique a pour objectif de diagnostiquer les causes à l'origine des désordres, de retenir des solutions curatives, afin d'aboutir à la suppression des causes produisant les effets observés. Une analyse visuelle menée à l'extérieur et à l'intérieur permet d'établir des constats, afin de dégager la pathologie dominante. Ensuite l'analyse des diagrammes de Glaser, basés sur la variation des valeurs de température extérieure, conduit à statuer sur les causes et à valider des solutions potentielles.
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Lire l’articleAuteur(s)
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Paul DAHAN : Ingénieur ETP, European engineer, ex-professeur à l’ESTP
INTRODUCTION
Cette étude de cas a pour objectif de comprendre, par une approche scientifique, la pathologie qui est survenue, en moins de 10 ans, sur les murs périmétriques d’un ensemble pavillonnaire R + 1 (rez-de-chaussée + 1 étage).
Remarque : les caractéristiques physiques des matériaux de construction, les tables de Regnault et les coefficients d’échange superficiels conventionnels sont consultables dans le dossier [Form ].
L'expertise technique et scientifique de référence
VERSIONS
- Version archivée 1 de nov. 2009 par Paul DAHAN
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Étude hygrothermique de la solution curative
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4. Analyse et commentaires
4.1 Condensations
Pour évaluer la quantité de vapeur d’eau condensable ou évaporable, en fonction des degrés/jours issus des relevés hygrothermiques annuels (établis par le centre régional de Météo France dont dépend le lieu de la construction), il faut calculer les périodes de temps où il y a condensation et celles où il y a évaporation.
En fonction du bilan « condensation/évaporation », on pourra statuer sur les désordres potentiels ou réels.
À titre d’exemple, nous établissons ce bilan à partir des relevés de Météo France du mois de février 1997 à Villacoublay, en région parisienne (cf. tableau du Pour en savoir plus).
On note (cf. En savoir plus tableau ), jour par jour, le nombre d’heures pendant lesquelles la température extérieure « T e » reste dans la même tranche de température de 5 °C, ainsi que l’humidité relative moyenne correspondante « HR e ».
Le tableau récapitule les phases potentielles totales des condensations et évaporations, au cours du mois de février 1997 (d’après les relevés de Météo France de la station de Villacoublay).
Nous constatons, que le bilan annuel dont la quantité totale « Qtotale » est égale à :
est en faveur de la condensation potentielle.
Remarques
-
Ainsi, le plâtre « 1 » après avoir absorbé 500 g/m2 de vapeur d’eau condensable, atteindra son taux d’humidité critique de 5 %. Le reste, à savoir : 2 359,8063 − 500,0000 = 1 850,8063 g/m2,...
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Analyse et commentaires
BIBLIOGRAPHIE
-
(1) - DAHAN (P.) - Pathologie de l’humidité. Paroi simple. Cas concret - [C 7 132] (2008).
-
(2) - DAHAN (P.) - Pathologie de l’humidité. Parois revêtues. Isolation par l’intérieur - [C 7 142] (2008).
-
(3) - DAHAN (P.) - Pathologie de l’humidité. Paroi simple. Phénomène de condensation - [C 7 130] (2008).
-
(4) - DAHAN (P.) - Pathologie de l’humidité. Parois revêtues. Analyse du phénomène - [C 7 144] (2008).
-
(5) - DAHAN (P.) - Pathologie de l’humidité. Paroi simple. Exemples courants - [C 7 134] (2008).
-
(6) - DAHAN (P.) - Pathologie de l’humidité. Paroi simple - [Form. C 7 137] (2008).
-
...
AFNOR
Agence qualité et construction
http://www.qualiteconstruction.com
Météo France
http://france.meteofrance.com/
ESTP – École spéciale des travaux publics
HAUT DE PAGE
NF DTU 42.1 (2007), Travaux de bâtiment – Réfection de façades en service par revêtements d’imperméabilité à base de polymères – Partie 1-1 : cahier des clauses techniques – Partie 1-2 : critères généraux de choix des matériaux – Partie 2 : cahier des clauses spéciales – Référence commerciale des parties P 1-1, P 1-2 et P 2 du NF DTU 42.1 de novembre 2007 (indice de classement : P 84-404).
NF EN 1062-1 (2004), Peintures et vernis – Produits de peinture et systèmes de revêtements pour maçonnerie et béton extérieurs – Partie 1 : classification (indice de classement : T 34-721-1).
NF EN 1062-11 (2002), Peintures...
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