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Article

1 - TRAVAUX PRÉPARATOIRES

2 - OUVRAGES EN BÉTON

  • 2.1 - Fondations
  • 2.2 - Ouvrages en élévation

3 - OUVRAGES EN MAÇONNERIE DE PETITS ÉLÉMENTS

4 - MURS DE SOUTÈNEMENT. DISPOSITIONS PARTICULIÈRES

5 - OUVRAGES DE PLÂTRERIE

Article de référence | Réf : C2103 v2

Ouvrages en maçonnerie de petits éléments
Maçonnerie - Mise en œuvre des ouvrages

Auteur(s) : Jean‐Daniel MERLET

Date de publication : 10 mai 1996

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  • Jean‐Daniel MERLET : Ingénieur de l’École centrale de Paris - Directeur technique du Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB)

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INTRODUCTION

Li l’on excepte l’utilisation du béton pour les fondations et les soubassements, ou encore en renfort ponctuel de la maçonnerie, la matière de cet article consacré à la mise en œuvre des ouvrages est extraite, avec les commentaires explicatifs utiles, du DTU Maçonnerie, outre les indications déjà données dans l’article Maçonnerie. Conception des ouvrages Maçonnerie- Conception des ouvrages de ce traité.

Il a cependant paru nécessaire d’y ajouter les dispositions particulières propres aux murs de soutènement ainsi qu’aux ouvrages de plâtrerie très spécifiques tant en raison des parties de la construction concernées que de la nature des matériaux utilisés.

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VERSIONS

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v2-c2103


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3. Ouvrages en maçonnerie de petits éléments

3.1 Dispositions communes à toutes les maçonneries

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3.1.1 Maçonneries enterrées

  • Choix des matériaux

    Les matériaux doivent être choisis non gélifs et d’une épaisseur compatible avec les sollicitations que les ouvrages correspondants auront à supporter (charges verticales, poussées des terres) : il est donc possible, sous certaines conditions, d’utiliser des éléments creux du même type que ceux utilisés en élévation.

    Cette possibilité a fait l’objet de deux amendements (P 10 202-1 et P 10 202-2) au DTU 20.1.

    Cette modification a été proposée pour, notamment, introduire l’utilisation des briques creuses en terre cuite en parallèle avec celle des blocs creux en béton qui figurait déjà de manière explicite dans les éditions antérieures du DTU sans poser de problèmes particuliers.

    À cette occasion, il a paru utile à la commission de normalisation de préciser que le risque à éviter était la concomitance du gel et de la stagnation prolongée de l’eau le long des parties enterrées sur les deux faces ; cela concerne, de ce fait, plus spécialement les murs de vide sanitaire et les murs périphériques de terre‐plein.

    En effet, dans le cas des sous‐sols, les parties de murs immédiatement au‐dessus de la semelle de fondation sont pratiquement, dans tous les cas, à une profondeur telle qu’elles se trouvent à l’abri du gel ; pour le risque de stagnation d’eau, l’exécution d’un drainage est, le cas échéant, techniquement et économiquement justifiée.

    Ce n’est pas le cas pour les vides sanitaires et les terre‐pleins. Dans ce cas, l’utilisation d’éléments creux est possible, comme cela s’est toujours fait jusqu’à présent pour les blocs creux en béton, car il n’existe en général pas de risque d’accumulation prolongée le long de ces parois si l’on fait exception des terrains inondables ou de ceux dans lesquels la nappe phréatique est susceptible de remonter : c’est ce que précise d’ailleurs le commentaire de l’article 6.1 du DTU 20.1 Règles de calcul d’ailleurs inchangé dans l’amendement P 10...

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