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1 - RÉSEAU BAS DÉBITS

2 - RÉSEAU LAN / ETHERNET

3 - RÉSEAU VIDÉO

Article de référence | Réf : S8131 v1

Réseau vidéo
Réseau ATM du tramway de Strasbourg - Intégration des services

Auteur(s) : Philippe LECLERE

Date de publication : 10 juin 2003

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RÉSUMÉ

Le réseau ATM du tramway de Strasbourg est en charge de transmettre trois types de données   les services téléphoniques, les systèmes d’aide à l’information et la sonorisation via une réseau bas débit, les services de signalisation ferroviaire, de gestion technique centralisée, d’énergie et de billétique via un réseau LAN/Ethernet et enfin les services vidéosurveillance via un réseau vidéo. Cet article détaille les principes et les choix d'installation pour chacun de ces trois réseaux.

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Auteur(s)

  • Philippe LECLERE : Responsable systèmes à la direction des études et projet de la Compagnie des transports strasbourgeois CTS

INTRODUCTION

Pet article vient à la suite de l’article Choix du réseau ATM pour le tramway de Strasbourg sur le choix du réseau ATM pour le tramway de Strasbourg.

Le principe du réseau de transmission sol/sol consiste à transmettre les informations suivant trois réseaux :

  • le réseau bas débits pour les services téléphoniques, les systèmes d’aide à l’information et la sonorisation ;

  • le réseau LAN/Ethernet pour les services de signalisation ferroviaire, de gestion technique centralisée, d’énergie et de billétique ;

  • le réseau vidéo pour les services vidéosurveillance.

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De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-s8131


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3. Réseau vidéo

3.1 Principe général

Un certain nombre de caméras est disposé dans des stations de la ligne B.

Ces caméras délivrent un signal analogique de qualité PAL, 25 images par seconde, 625 lignes par image.

Les images de ces caméras doivent pouvoir être visualisées par le personnel d’exploitation sur des moniteurs localisés au PCC de Cronenbourg.

Les différents flux analogiques de ces caméras sont donc :

  • numérisés en station au travers de codeurs vidéo M-JPEG (un par caméra) ;

  • transportés par le réseau TSS (ALR) sur la boucle correspondante ;

  • distribués par les commutateurs ATM (OmniSwitch ) au PCC ;

  • décodés en flux analogiques au PCC au travers de décodeurs vidéo.

Les canaux vidéo analogiques attaquent ensuite une matrice de sélection (déjà existante pour la ligne A) afin de pouvoir être visualisés sur les moniteurs du PCC.

Chaque codeur vidéo numérise le flux analogique de la caméra qui lui est raccordée, en utilisant un mécanisme de compression. Ce mécanisme de compression ainsi que la largeur de bande allouée définissent principalement la qualité de l’image restituée.

L’acceptation de cette qualité par le personnel d’exploitation repose sur des critères subjectifs.

Cela étant, le réseau a été dimensionné pour une largeur de bande de 16 Mo par flux vidéo, ce qui correspond à l’excellente qualité d’image requise par les spécifications.

Les équipements codeurs et décodeurs vidéo utilisés permettent de modifier, par flux vidéo, un certain nombre de critères, dont la largeur de bande et le taux de compression, et ainsi d’optimiser pour une largeur de bande donnée la qualité de l’image restituée.

Le principe général adopté pour le réseau vidéo est représenté sur la figure 15.

Les commutateurs ATM OmniSwitch permettent de collecter les flux vidéo des stations sur une interface ATM à 155 Mbit/s depuis le/les ALR du PCC (STM-1) et de les redistribuer de manière différente sur les décodeurs vidéo. Cela permet une meilleure optimalisation de la bande passante utilisée à l’interface de l’ALR.

Les ALR transportent les flux vidéo des stations au PCC en utilisant...

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