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1 - DÉFINITIONS ET PRINCIPES

2 - TRAITEMENTS EN MILIEU LIQUIDE. BAINS DE SELS

3 - TRAITEMENTS EN MILIEU GAZEUX

4 - TRAITEMENTS ASSISTÉS PAR PLASMA OU IONIQUES

5 - AUTRES PROCÉDÉS EN DÉVELOPPEMENT

6 - NITRURATION ET PARACHÈVEMENT OXYDANT

7 - MATÉRIAUX EMPLOYÉS

8 - TRAITEMENTS THERMIQUES PRÉALABLES

9 - MISE EN ŒUVRE

10 - ASPECTS MÉTALLOGRAPHIQUES DES COUCHES OBTENUES

11 - NORMALISATION ET SPÉCIFICATIONS

12 - PROPRIÉTÉS DES PIÈCES NITRURÉES

13 - DÉFAUTS ET DÉFORMATIONS

14 - COMPARAISON DES DIVERS PROCÉDÉS

| Réf : M1227 v1

Défauts et déformations
Nitruration, nitrocarburation et dérivés

Auteur(s) : Dominique GHIGLIONE, Claude LEROUX, Christian TOURNIER

Date de publication : 10 janv. 1996

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Auteur(s)

  • Dominique GHIGLIONE : Ingénieur de l’École Centrale de Lyon (ECL) - Ingénieur au Service Matériaux et Traitements thermiques du Centre Technique des Industries Mécaniques (CETIM)

  • Claude LEROUX : Ingénieur du Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM) - Directeur Général de Partiot SA

  • Christian TOURNIER : Ingénieur Diplômé par l’État (DPE) - Directeur Technique et qualité de la Société Vide et Traitements Services

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INTRODUCTION

La nitruration ou apport d’azote par diffusion à des températures comprises entre 350 et 600 oC est à la base d’une famille de traitements qui diffèrent par la nature des éléments complémentaires d’apport (C, O, S...) et les modes de mise en œuvre.

Le durcissement de la couche traitée est obtenu par transformation in situ lors de la diffusion et, de ce fait, aucun traitement complémentaire n’est nécessaire.

Les propriétés d’emploi des pièces nitrurées ou nitrocarburées dépendent fortement des nuances d’acier utilisées et des microstructures obtenues par traitement.

Le choix d’un procédé est donc conditionné par les possibilités de réalisation de la structure souhaitée et, bien entendu, par les critères économiques.

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-m1227


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13. Défauts et déformations

Les remarques faites dans l’article Pratiques des traitements thermochimiques. Cémentation-Carbonitruration  restent valables pour ce qui concerne les nitrurations. Nous ne les reformulerons donc pas.

13.1 Contrôle et mise en évidence des défauts

La notion de défaut se conçoit par rapport à un état de référence réputé correct. Il faut donc toujours évaluer les écarts en se référant aux spécifications du traitement. Le constat d’un défaut peut être fait à différents niveaux. On peut distinguer, parmi les moyens de contrôle, ceux qui sont du domaine de l’atelier de production et qui se caractérisent par une mise en œuvre simple : contrôle visuel, attaques macrograhiques, CND... de ceux qui demandent des appareillages ou des mises en œuvre plus spécifiques et qui sont, le plus souvent, du domaine du laboratoire de contrôle (microdureté, examen micrograhique), voire de laboratoires plus spécialisés (rayons X, MEB).

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13.1.1 Contrôle visuel

Ce type d’examen permet d’apprécier, avec certains procédés de traitement, l’homogénéité de répartition de la nitruration, en vérifiant la présence et la régularité de la couleur grise caractéristique apportée par la nitruration. Il va de soi que les résultats de telles observations méritent souvent une confirmation.

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13.1.2 Contrôles de dureté

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13.1.2.1 Mesures réalisées en surface des pièces nitrurées

Ces mesures permettent de s’assurer que le niveau de dureté atteint (Rockwell ou plus souvent Vickers), correspond à celui que l’on peut attendre avec la nuance d’acier considérée. C’est une mesure globale qui intègre les propriétés de la couche de diffusion et celles de la couche de...

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