Présentation

Article

1 - CLASSIFICATION DES BARDAGES

2 - RÈGLES GÉNÉRALES DE CONCEPTION ET DE MISE EN ŒUVRE

3 - DÉFINITIONS ET EXIGENCES DES CONSTITUANTS

4 - MISE EN ŒUVRE DES OSSATURES BOIS

5 - DISPOSITIONS ANNEXES RELATIVES AUX OSSATURES BOIS

6 - GÉNÉRALITÉS CONCERNANT LES OSSATURES MÉTALLIQUES

7 - CONCEPTION ET MISE EN ŒUVRE DES OSSATURES MÉTALLIQUES POUR BARDAGES RAPPORTÉS

| Réf : TBA2161 v1

Mise en œuvre des ossatures bois
Bardages rapportés sur ossature bois ou métal

Date de publication : 10 mars 2013

Pour explorer cet article
Télécharger l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !

Sommaire

Présentation

RÉSUMÉ

Les revêtements extérieurs traités dans cet article sont les bardages rapportés sur une ossature généralement en bois (éventuellement métallique) fixée sur la structure porteuse (mur, voile). Cette famille de revêtements se distingue des revêtements directement attachés tels que les pierres dures minces.

Lire cet article issu d'une ressource documentaire complète, actualisée et validée par des comités scientifiques.

Lire l’article

INTRODUCTION

Le principal avantage du bardage rapporté, qu'il soit monté sur ossature bois ou sur ossature métallique, est de pouvoir être appliqué sur une structure porteuse accusant des défauts :

  • de planéité et de verticalité ;

  • des hétérogénéités de constitution (vieilles maçonneries dans le cas d'opérations de réhabilitation) ;

  • d'imperméabilité ou d'étanchéité (exemple : mur fissuré).

L'ossature mise en place ainsi permet la reconstitution d'un nouveau plan vertical de référence pour recevoir une nouvelle peau.

Les profilés porteurs sont solidarisés au gros œuvre support au moyen d'ancrages comportant des pattes de longueurs ou variables ajustables (pattes équerres à coulisses). Lorsque la verticalité et la planéité de la surface d'appui le permettent, les profilés porteurs peuvent être fixés directement sur des fixations traversantes. Ce cas concerne les bardages simples constituant un habillage, sans isolation thermique.

Compte tenu des défauts de planéité, dans le cas de fixation directe (sans patte), les calages sont pratiquement toujours nécessaires et réalisés avec des matériaux résistants et durables.

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 95% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

VERSIONS

Il existe d'autres versions de cet article :

DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-tba2161


Cet article fait partie de l’offre

Techniques du bâtiment : le second oeuvre et les lots techniques

(90 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

ABONNEZ-VOUS

4. Mise en œuvre des ossatures bois

4.1 Généralités

Le réseau de chevrons, permettant de poser la peau ou le revêtement, constitue un nouveau plan vertical de référence.

Afin de réaliser cette structure, ou support, les chevrons sont posés sur des pattes fixes ou réglables. Lorsque la verticalité et la planéité de la surface d'appui, ainsi que l'épaisseur du chevron, le permettent, les chevrons peuvent être fixés directement à l'aide d'une fixation traversante. C'est le cas courant d'utilisation en rez-de-chaussée exposé. La fixation est disposée dans l'axe médian du chevron ; elle le traverse dans toute son épaisseur (figure 24).

La tête de la fixation est complétée par une rondelle métallique (∅ 16 mm) qui vient se noyer dans le chevron si nécessaire, notamment pour la fixation directe de plaques sur les chevrons ou lorsque l'appui d'une lisse horizontale se situe au droit de la fixation.

HAUT DE PAGE

4.2 Pose des pattes

HAUT DE PAGE

4.2.1 Répartition des pattes

  • Positionnement

    Les pattes sont positionnées selon un alignement vertical parallèle au trait correspondant à l'axe du chevron à poser et décalé de celui-ci d'une distance égale à la demi-largeur du chevron (figure 25).

    Les pattes sont posées de préférence en alternance de part et d'autre du chevron. Lorsque cette disposition n'est pas possible (cas d'un angle de bâtiment) comme pour les chevrons de rive, il faut augmenter le nombre de pattes.

    La disposition alternée des pattes permet :

    • de contrarier la rotation (autour de la cheville) de la patte sous l'action du poids propre du bardage rapporté ;

    • de contrarier la déformation des pattes sous l'action du poids propre et sous l'effort de dépression dû au vent ;

    • de freiner la tendance au vrillage du chevron en bois ;

    • de conserver constant l'entraxe entre chevrons, même en cas de tassement sous charge, ce qui permet d'éviter les contraintes résultantes dans...

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 95% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

Cet article fait partie de l’offre

Techniques du bâtiment : le second oeuvre et les lots techniques

(90 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

ABONNEZ-VOUS

Lecture en cours
Mise en œuvre des ossatures bois
Sommaire
Sommaire

1 Sources bibliographiques

HAUT DE PAGE

1.1 Documents

Document CSTB (GS7) Produits d'étanchéité et isolation des parois verticales

Document CSTB (GS2) Ossature métallique et isolation thermique des bardages faisant l'objet d'un avis technique ou d'un constat de traditionnalité

HAUT DE PAGE

2 Normes et standards

DTU 41.2 - 1996 - Revêtements extérieurs en bois - -

DTU 31.2 - 1989 - Construction de maisons et bâtiments à ossature bois - -

DTU 20.1 - 1994 - Ouvrages en maçonnerie de petits éléments – parois et murs - -

DTU 27.1 - 1993 - Réalisation de revêtements par projection pneumatique de fibres minérales avec liant - -

NF B 52-001 - 1998 - Niveaux de résistance des pièces à bois - -

HAUT DE PAGE

Cet article est réservé aux abonnés.
Il vous reste 95% à découvrir.

Pour explorer cet article
Téléchargez l'extrait gratuit

Vous êtes déjà abonné ?Connectez-vous !


L'expertise technique et scientifique de référence

La plus importante ressource documentaire technique et scientifique en langue française, avec + de 1 200 auteurs et 100 conseillers scientifiques.
+ de 10 000 articles et 1 000 fiches pratiques opérationnelles, + de 800 articles nouveaux ou mis à jours chaque année.
De la conception au prototypage, jusqu'à l'industrialisation, la référence pour sécuriser le développement de vos projets industriels.

Cet article fait partie de l’offre

Techniques du bâtiment : le second oeuvre et les lots techniques

(90 articles en ce moment)

Cette offre vous donne accès à :

Une base complète d’articles

Actualisée et enrichie d’articles validés par nos comités scientifiques

Des services

Un ensemble d'outils exclusifs en complément des ressources

Un Parcours Pratique

Opérationnel et didactique, pour garantir l'acquisition des compétences transverses

ABONNEZ-VOUS