| Réf : TBA1535

Recommandations essentielles pour la restauration et la réhabilitation des ouvrages anciens
Les recommandations de conception architecturale en terre

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Sommaire

Présentation

INTRODUCTION

L’auteur s’attache ici à lister un ensemble de recommandations, à la fois techniques, expérientielles, mais aussi esthétiques, voire culturelles, nécessaires à la (re)valorisation d’une architecture en terre qui soit simultanément moderne et traditionnelle.

Un chapitre est consacré au rappel des pathologies classiques de la construction en terre. L’eau d’abord, ennemi d’autant plus redoutable qu’il est insidieux, puis les faiblesses de la structure en elle-même. Un autre traite de la question particulière de la restauration du bâti ancien, patrimonial ou non.

La seconde moitié de l’article est dédié au sujet délicat des risques parasismiques. Une interrogation est au centre des recherches actuelles : comment concilier résistance aux séismes et recours aux ressources artisanales locales, souvent seules accessibles aux populations à risques ?

Pour tous ceux qui veulent aller plus loin dans la connaissance de la construction en terre, il est conseillé de lire les articles suivants :

  • sur l’introduction à la construction en terre [TBA1500]  ;

  • sur le matériau « terre » [TBA1505]  ;

  • comment stabiliser une construction en terre [TBA1510]  ;

  • pratiques les bons essais en architecture de terre [TBA1515]  ;

  • tout savoir sur les qualités de la terre [TBA1520]  ;

  • les normes à connaître en construction de terre [TBA1525]  ;

  • les bases de l’architecture en terre [TBA1530]  ;

  • à propos de l’actualité de la construction en terre [TBA1540] .

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VERSIONS

Il existe d'autres versions de cet article :

DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-tba1535


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L’importance d’un bon diagnostic

Avant d’engager la restauration ou la réhabilitation d’un édifice en terre crue, il importe d’établir un diagnostic clair de son état. Il faut bien observer les symptômes mais surtout en comprendre les causes. Sans cela, les interventions ne seront que des pis-aller pouvant repousser l’échéance de problèmes plus graves. Un bon diagnostic distingue et analyse les problèmes « extrinsèques », liés à l’environnement du bâtiment (prendre du recul, observer autour), les problèmes « intrinsèques », liés au bâtiment lui-même, à l’évolution de ses matériaux, structures et systèmes construits. C’est le plus souvent un déséquilibre de la relation entre le bâti et son environnement, ou une rupture accidentelle de l’équilibre initial, qui est à l’origine des problèmes et des symptômes qui en sont la manifestation. Un édifice en terre peut être sujet à deux types de pathologies : celles d’humidité et celles de structure.

La terre ne fait pas bon ménage avec l’eau

Elle est particulièrement sensible aux effets de la pluie qui ruisselle le long des murs (voie d’eau en toiture, chéneau ou descente dégradés), qui rejaillit en pied de mur, et aux remontées d’humidité par ascension capillaire (terrain saturé d’eau, mal drainé, rupture de canalisation). D’autres facteurs peuvent accentuer cette présence d’humidité : des trottoirs étanches en base des murs à l’extérieur, un dallage en béton en intérieur, des enduits trop étanches au ciment, une végétation immédiate abondante et mal entretenue.

Faire respirer le bâtiment

Une règle essentielle doit être rappelée : un édifice en terre et ses abords immédiats doivent « respirer » : l’humidité, sous quelque forme qu’elle soit, doit pouvoir s’évaporer, être évacuée. Des drains français classiques, en rigole comblée de pierres et galets, mais éloignés du mur (à 80 cm au minimum), sont recommandés. Au pied des murs, le sol compacté en pente légère et une bande de graviers favoriseront la respiration du sol et une évaporation naturelle de l’humidité. Il faut éviter de planter...

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