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Article

1 - HALLES INDUSTRIELLES

2 - VOILES MINCES. VOÛTES ET COQUES

3 - MURS EN BÉTON BANCHÉ

4 - DALLAGES

5 - MURS DE SOUTÈNEMENT

6 - OUVRAGES À SECTION ANNULAIRE

7 - OUVRAGES DESTINÉS À CONTENIR OU À RETENIR DES LIQUIDES

8 - SILOS, MAGASINS DE STOCKAGE ET SILOS-RÉSERVOIRS

9 - PONTS EN BÉTON ARMÉ

| Réf : C2315 v2

Ouvrages destinés à contenir ou à retenir des liquides
Béton armé : Règles BAEL - Ouvrages particuliers

Auteur(s) : Jean PERCHAT

Date de publication : 10 févr. 1997

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Auteur(s)

  • Jean PERCHAT : Ingénieur des Arts et manufactures - Professeur honoraire à l’École spéciale des travaux publics, du bâtiment et de l’industrie - Professeur au Centre des hautes études de la construction

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INTRODUCTION

L’article A1.1 « Domaine d’application » des Règles BAEL précise que « certains ouvrages peuvent faire l’objet de règles particulières auxquelles il est alors fait référence ». Les textes auxquels il est fait ainsi allusion sont soit d’autres CCTG (cuves et réservoirs, par exemple), soit des documents techniques unifiés DTU (murs en béton banché), soit encore des règles, ou même seulement des recommandations professionnelles (dallages, silos...). Au cours des dernières années, ces divers textes ont fait l’objet d’une mise en conformité avec la philosophie du calcul aux états-limites, et donc avec les Règles BAEL.

Pour cette raison, une refonte totale du paragraphe consacré aux ouvrages particuliers en béton armé s’imposait. Elle s’imposait également par suite de l’évolution des techniques de construction et de la progression des solutions en béton précontraint, qui ont entraîné l’abandon progressif de certains types de constructions en béton armé, gros consommateurs de coffrages et de main-d’œuvre, encore courants il y a quelques années.

Il a donc paru plus opportun de faire état, dans cette refonte, des textes relatifs à des solutions constructives très utilisées de nos jours, telles que les murs en béton banché et les dallages. Il a également paru opportun de développer le calcul des murs de soutènement en béton armé, même si les textes concernant ces ouvrages demeurent encore à l’état de projets.

Nota :

La série « Béton armé » fait l’objet de plusieurs articles :

— Béton arméBéton armé- Avant-propos

— GénéralitésBéton armé- Généralités

— Évolution des méthodes de calculBéton armé- Évolution des méthodes de calcul

— Règles BAEL.

Caractères des matériaux

Actions et sollicitationsBéton armé. Règles BAEL- Caractères des matériaux Actions et sollicitations

— Règles BAEL. Sollicitations normalesBéton armé. Règles BAEL- Pièces soumises à des sollicitations normales

— Règles BAEL.

Sollicitations tangentes

Sollicitations d’adhérenceBéton armé. Règles BAEL- Pièces soumises à des sollicitations tangentes Sollicitations d’adhérence

— Règles BAEL.

Dispositions constructives

Dispositions particulièresBéton armé. Règles BAEL- Dispositions constructives Dispositions particulières

— Règles BAEL. Établissement des projetsBéton armé. Règles BAEL- Établissement des projets

— Règles BAEL. Ossatures et éléments courants[C 2 314]

— Règles BAEL. Ouvrages particuliersBéton armé : Règles BAEL- Ouvrages particuliers

— Règles BAEL. Exécution et estimation des travauxBéton armé : Règles BAEL- Exécution et estimation des travaux

— Règles BAEL. Pathologie et réparation des ouvragesBéton armé : Règles BAEL- Pathologie et réparation des ouvrages

— Règles BAEL. Béton de granulats légers artificielBéton armé : Règles BAEL- Bétons de granulats légers artificiels

— Règles BAEL. Comportement expérimentalBéton armé : Règles BAEL- Comportement expérimental

— Pour en savoir plus[C 2 320]

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VERSIONS

Il existe d'autres versions de cet article :

DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v2-c2315


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7. Ouvrages destinés à contenir ou à retenir des liquides

Ce paragraphe concerne de façon générale les réservoirs, cuves, bassins, piscines, etc. On peut y rattacher les cuvelages, ouvrages destinés à s’opposer à l’entrée d’eau dans les parties immergées des bâtiments.

Les réservoirs et cuves sont des ouvrages destinés au stockage de liquides. Il peut s’agir d’ouvrages parallélépipédiques à un ou plusieurs compartiments accolés et/ou superposés, comportant des parois communes (figure 36), ou d’ouvrages de révolution.

Un réservoir – ou une cuve – peut reposer directement sur le sol ou être partiellement ou totalement enterré. Il peut aussi être surélevé et supporté par une tour, par des murs ou par des poteaux. Les ouvrages surélevés destinés au stockage de l’eau sont habituellement désignés sous le nom de châteaux d’eau.

Dans le passé, à côté d’indéniables réussites architecturales, les châteaux d’eau ont souvent fait l’objet de réalisations d’une esthétique discutable. Actuellement, on tend à leur substituer, quand on le peut, des réservoirs enterrés, d’une exécution plus commode que les ouvrages surélevés et ne modifiant pas de façon sensible l’environnement. L’installation comporte alors des surpresseurs permettant un réglage précis de la pression dans les canalisations de distribution.

Les piscines sont des ouvrages dont le calcul s’apparente à celui des réservoirs. La paroi constituant le fond des bassins peut reposer directement sur le sol ou être supportée par des poteaux.

Les décanteurs ou digesteurs des usines d’assainissement des eaux sont des ouvrages ayant des fonctions très particulières, mais leur calcul est analogue à celui des réservoirs enterrés.

Tous ces ouvrages, exclus du domaine d’application des Règles BAEL, font ou ont fait l’objet de règles spécifiques pour leur conception, leur calcul et leur exécution. Actuellement, le texte réglementaire applicable à la plupart des ouvrages visés dans le présent paragraphe est le CCTG fascicule 74 [179]. Ce texte fait suite aux « Recommandations professionnelles de mai 1990 » applicables aux réservoirs, cuves, bassins, châteaux d’eau enterrés, semienterrés, aériens, ouverts ou fermés [103]. Les piscines sont visées par ce dernier texte, mais les cuves...

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